10 Bonnes Raisons de Ne Pas Acheter une Voiture Électrique

10 Bonnes Raisons de Ne Pas Acheter une Voiture Électrique

La liberté d’expression et le débat sont essentiels pour transformer nos sociétés. Nous avons récemment partagé une étude indiquant que les voitures électriques n’inspirent pas confiance. Ainsi, nous avons décidé de publier des articles originaux, avec l’accord de son auteur Alexandre Uldry.

Son point de vue est tranché, mais nous vous invitons à réagir dans les commentaires pour exprimer éventuellement votre désaccord. Bien entendu, la bienveillance est toujours de mise.

La voiture électrique, c’est ça ! Une idée faussement bonne. Une bulle idéologique. Un désastre annoncé. Voici dix bonnes raisons de ne pas acheter une voiture électrique.

Table des matières

1) L’autonomie d’un véhicule électrique indique une distance théorique. Celle-ci diminuera rapidement dès que le conducteur allumera la climatisation ou dépassera les 90 km/h. D’où l’angoisse de la panne sèche et la nécessité de toujours scruter l’écran pour trouver péniblement un endroit où s’arrêter longuement pour recharger la batterie.

2) On dit souvent que les prix des voitures électriques baissent régulièrement. Dans la réalité, ils ne cessent d’augmenter. Cette année, la tendance a été particulièrement accentuée, avec des prix qui ont bondi de 20% rien qu’en mars.

3) Le moment le plus douloureux survient lorsque la batterie d’une voiture électrique rend l’âme. Il faut compter entre CHF 20’000 et CHF 35’000 pour la remplacer. Une vidéo célèbre montre un propriétaire qui, par désespoir, a préféré faire exploser sa voiture.

4) Chaque nouveau modèle de voiture électrique rend obsolète le modèle précédent. Résultat : il n’existe pas de marché pour les voitures électriques d’occasion. Financièrement, acheter une voiture électrique représente donc une triple punition : à l’achat, à l’entretien et à la revente.

5) On mentionne rarement le fait qu’une voiture électrique doit parcourir entre 100’000 et 150’000 km pour devenir écologique. Ainsi, de nombreuses voitures électriques seront mises à la casse avant d’avoir roulé suffisamment longtemps pour être moins polluantes qu’une voiture thermique.

6) Pour faire rouler une voiture électrique, il faut de l’électricité. Tellement qu’on nous a récemment prévenus de possibles coupures d’ici à 2025. La solution prônée est la construction de centrales électriques à gaz, mais qui dit gaz dit Poutine…

7) La Chine domine le marché mondial de l’électrification. Elle produit la plupart des “terres rares” et du cobalt utilisés dans la composition des batteries. Toutefois, la Chine est mille fois plus dangereuse que la Russie…

8) D’ici à 2028, la Chine produira 8 millions de voitures électriques (des Nio, Wey, Ora ou Xpeng) qui inonderont l’Europe. Les grands perdants seront l’Allemagne, la France et l’Italie. Des centaines de milliers d’emplois sont ainsi menacés.

9) Réduire l’utilisation des combustibles fossiles en Europe ne contribue pas à réduire les émissions mondiales de CO2. La baisse du prix du pétrole renforce son attractivité et entraîne son utilisation accrue dans d’autres régions du monde, qui finissent par consommer davantage que si les prix étaient restés élevés.

10) Les ambitions de ceux qui misent sur les voitures électriques se heurtent à la réalité, notamment à la future pénurie des principaux métaux nécessaires à leur fabrication. Tim Gould, chercheur au sein de l’Agence internationale de l’énergie (IEA), l’a affirmé récemment dans une étude : “On n’y arrivera pas !”

Et si nous arrêtions de foncer dans le mur ?

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Source: Linkedin