“4 AM”: L’heure des révélations pour la chanteuse Sareeh

“4 AM”: L’heure des révélations pour la chanteuse Sareeh

La chanson “4 AM”, fraîchement sortie, est au cœur d’un véritable buzz. Florence El Luche et Charlin Bato sont les artistes derrière ce projet, mais la chanteuse Sarah Djine Lauture, connue sous le nom d’artiste Sareeh, est venue récemment sur le plateau de l’émission “Aktyalite HMI” animée par le journaliste culturel Olfton Benoît. Elle y a avancé des preuves démontrant sa propriété intellectuelle sur cette chanson.

Les dessous de la collaboration

Selon les dires de Sareeh, en décembre 2021, son manager, Serge “Pipo” Durandisse, a invité Charlin Bato via Instagram à collaborer sur un projet artistique. Cette invitation a été acceptée par l’interprète de “Sanwont”. Après une séance de répétition en studio entre les deux artistes, quelques couplets ont été créés, sans que le projet ne soit totalement finalisé. D’un côté, Sareeh affirme avoir eu l’accord de Charlin Bato pour collaborer avec un autre artiste sur la chanson. De l’autre côté, la jeune chanteuse affirme avoir été choquée, car elle souhaitait faire le featuring avec l’interprète de “Lage Cha”.

Entre dénonciations et revendications

Lors de son passage à l’émission “Aktyalite HMI”, Sareeh a dénoncé le fait que certaines paroles qu’elle avait écrites se retrouvent chantées par Florence El Luche. Charlin Bato est également intervenu dans le live pour revendiquer la paternité de la chanson. Il explique que la production de la musique revient à Melo, qui travaille actuellement sur le projet “Apachidiz” avec T-Jo Zenny. Honnêtement, Charlin admet avoir contacté Pipo Durandisse pour faire part de son appréhension, car il ne se sentait pas à l’aise de faire un featuring sur une chanson aussi “hardcore” avec la jeune artiste. Charlin a finalement accepté de mettre fin à la production, car, selon lui, Sareeh n’était pas prête pour un tel niveau musical. En réponse, Serge Durandisse lui aurait suggéré d’en discuter directement avec Sareeh, ce qu’il a fait lors de l’émission “Aktyalite HMI”. Charlin Bato se dit prêt à collaborer avec Sareeh, mais pas sur un projet aussi “hardcore”.

À lire aussi  Le Biais Cognitif : un Buzzword ou un Concept Scientifique Révolutionnaire ?

Un cas de plagiat ?

L’animateur Carel Pedre, présent lors du live, donne son avis sur cette affaire. Selon lui, si certaines paroles et mélodies ont été composées par Sareeh et utilisées par Florence dans la chanson réalisée avec Charlin Bato, il s’agit bel et bien d’un cas de plagiat flagrant. En effet, le projet de Sareeh avec Charlin Bato n’a pas abouti et ses idées ont été partagées avec une autre artiste. Pour Sareeh, le problème réside dans le fait que Charlin Bato a utilisé ses idées sans lui donner le crédit qui lui revient.

Quelles conséquences pour chacun ?

Selon Carel Pedre, si cette affaire est avérée, Charlin Bato devrait présenter des excuses publiques, donner le crédit à Sareeh et la dédommager pour ses droits d’auteur. Sinon, Sareeh serait en droit de poursuivre en justice toutes les personnes impliquées. Une autre proposition a été émise par Ghandi, qui suggère une nouvelle collaboration entre Sareeh et Charlin Bato, cette fois avec une pleine reconnaissance de la contribution de Sareeh. Pour l’instant, la jeune artiste ne peut se décider sur cette éventuelle proposition, mais elle rejette catégoriquement la chanson “4 AM”.

En attente de nouvelles évolutions

Sareeh affirme que sa dernière conversation avec Charlin Bato remonte au début de l’année 2023. Elle avait le sentiment d’être trop insistante pour que le projet musical se réalise. En effet, Charlin souhaitait se concentrer sur son album solo, tandis que Sareeh a choisi de prendre du recul. Nous devrons attendre de voir comment cette histoire évolue, car de nouvelles surprises pourraient encore surgir.

À lire aussi  Pourquoi faire appel à un architecte DPLG ou DE ?

Note: The original article contained some styling information which is not applicable in Markdown format. The layout won’t be replicated 1:1, but the content will be preserved in compliance with the guidelines.