9 stratégies d’investisseurs pour financer un achat immobilier sans apport personnel en 2019

9 stratégies d’investisseurs pour financer un achat immobilier sans apport personnel en 2019

Introduction

Vous rêvez d’investir ? Vous savez que c’est un “bon plan” ? Vous souhaitez devenir propriétaire et arrêter de payer un loyer tous les mois ? Oh, je vous comprends tellement… Le seul problème, et pas des moindres, c’est l’apport personnel… Vous n’avez pas (encore) d’apport personnel car votre capacité d’épargne est aujourd’hui trop faible pour commencer à investir. Les banques sont frileuses et votre profil d’investisseur n’inspire pas vraiment confiance. Vous voulez une bonne nouvelle ? 😉

Il est possible de financer un achat immobilier locatif sans apport personnel. Dans la plupart des cas, l’apport personnel est nécessaire à l’obtention d’un prêt immobilier, mais nous allons voir qu’il existe des alternatives pour y arriver sans. Nous allons vous présenter des bonnes pratiques et des techniques simples pour réaliser un achat immobilier sans utiliser votre apport personnel ou le construire intelligemment.

Maintenant que vous savez que c’est possible, nous allons détailler ensemble la question et vous donner toutes les clés pour y parvenir. Attendez, il y a encore des investisseurs sceptiques par ici ? Suivez-moi, je vais vous montrer comment financer votre achat immobilier locatif sans jamais utiliser d’apport personnel. C’est parti !

I. Faire un prêt immobilier classique sans apport personnel

Il est vrai, obtenir un prêt sans apport n’est pas le chemin le plus simple pour investir, mais si votre situation personnelle et professionnelle est stable, c’est tout à fait envisageable. De plus, nous allons voir que si votre projet d’investissement est pertinent, cela augmente vos chances de financer un achat immobilier sans apport personnel. Lorsque la banque étudie votre dossier d’investisseur, elle prend en compte une multitude de facteurs dont, bien sûr, votre apport personnel. L’apport est une carte supplémentaire qui pourra faciliter l’approbation de votre banquier à votre projet. MAIS même sans apports, vous pouvez disposer d’un prêt, et je suis persuadé que vous avez des exemples autour de vous, n’est-ce pas ? Bien entendu, tous les investisseurs n’ont pas accès à un crédit sans apport, et il est fortement recommandé de répondre à bon nombre de critères :

  1. Disposer d’une situation financière solide et bénéficier de sources de revenus suffisamment importantes en les justifiant via des fichiers de paie ou autre.
  2. Bénéficier d’une situation professionnelle stable grâce à une activité fixe et durable qui vous permet d’obtenir une rémunération régulière. Les banques aiment les CDI, les titulaires ou les fonctionnaires, mais il y a toujours des exceptions.
  3. Prouver une situation financière rassurante même en épluchant l’historique de vos dépenses, éventuels découverts, capacité d’épargne et la gestion globale de vos comptes sur les 2, 3 dernières années ou plus.

En fonction des banques, d’autres critères peuvent être demandés mais nous n’avons ici que les principaux. Rappelez-vous que si vous n’avez pas d’apport, vous devez vraiment montrer patte blanche et inspirer une grande confiance.

Vous voulez une autre bonne nouvelle ? Si vous souhaitez faire de la location et non pas acheter une résidence principale, vous avez un atout pour le banquier. Votre plan n’est pas d’avoir un apport personnel, mais de rembourser le crédit via le loyer. En constituant un dossier d’investisseur professionnel, vous allez montrer au banquier que vous n’avez pas d’apport, mais une stratégie efficace pour autofinancer le bien grâce au loyer. Les banques prennent aussi en compte vos revenus locatifs, ce qui pourra adoucir votre taux d’endettement. Donc cette 1ère stratégie est plutôt pour les investisseurs !

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II. L’arme des jeunes investisseurs : le prêt à taux zéro ou PTZ

Oh qu’il est bon de vivre en France, n’est-ce pas les jeunes investisseurs ? 😉 Pour vous donner une définition claire et concise, le PTZ c’est le Graal, ou plutôt un prêt sans aucun intérêt de la part de la banque. C’est comme demander de l’argent à vos parents qui n’attendraient rien en retour. L’État a mis en place ce dispositif en 1995 et depuis, cette aide a subi de nombreuses évolutions mais garde toujours le même objectif : aider les Français aux revenus modestes à devenir “primo-accédants à la propriété”.

Alors je vous vois venir… OUI ! Le PTZ demande des conditions d’obtention préalable, sinon cela serait un peu trop facile. Son montant est fixé en fonction du revenu fiscal de l’emprunteur (justifié par un avis d’imposition) et de la zone où se situe l’achat immobilier que vous souhaitez faire. Le remboursement peut être différé sur 5, 10 ou 15 ans, mais ne peut excéder 25 ans.

Très important ! Le PTZ est attribué sous conditions de ressources pour l’acquisition d’une résidence principale ou vendu par le bailleur social à son occupant. Pour y avoir droit, il ne faut pas avoir été propriétaire de votre domicile durant les 2 années qui précèdent le prêt. En revanche, il existe des conditions particulières que vous pouvez trouver sur le site officiel de l’administration française.

Le petit plus ? Ce prêt peut être un complément d’un autre prêt immobilier (prêt d’accession sociale, prêt conventionné, prêt immobilier bancaire, prêt épargne logement ou autre). Vous pouvez donc emprunter une partie de la somme à taux 0 avec le PTZ et l’autre partie à un taux négocié auprès de votre banque.

Vous avez compris “le tour” ? Le PTZ joue finalement le rôle d’apport personnel que vous n’avez (peut-être) pas et permet de financer un achat immobilier sans apport personnel. Vous souhaitez savoir si vous êtes éligible au PTZ ? Rapprochez-vous d’un courtier (c’est gratuit) ou essayez le simulateur de l’Agence Nationale pour l’Information sur le Logement pour le calculer. Le mieux reste de vous rapprocher d’un professionnel pour ne pas avoir de mauvaise surprise lorsque vous aurez trouvé LA bonne affaire que vous cherchiez. Un professionnel sera toujours plus complet que notre article, car la réponse à vos questions dépend en grande partie de VOTRE situation d’investisseur.

Alors je sais ce que vous allez me dire : “Mais si je ne suis pas éligible au PTZ ?”. Nous n’avons pas dit notre dernier mot, car il vous reste d’autres cartes à jouer. C’est parti, voici la troisième carte !

III. Le prêt pour l’acquisition ou la construction dans le neuf

Ah, vous le connaissiez celui-ci ? Cette aide est proposée par le groupe Action Logement qui œuvre pour faciliter l’accès au logement pour favoriser l’emploi. Action Logement gère la participation des employeurs à l’effort de construction versée par l’ensemble des entreprises du secteur privé d’au moins 20 salariés. Tout comme le PTZ, il peut être utilisé en complément de votre “prêt principal”. L’un des inconvénients majeurs de ce prêt reste son versement réalisé dans les 3 mois après l’acquisition du logement.

Alors je sais ce que vous allez me dire… “Comment financer un achat immobilier sans apport personnel ?” Très juste, mais ce prêt existe et nous souhaitions vous le faire savoir, car chaque situation d’investisseur est différente. Dans l’éventualité où vous pouvez vous faire prêter l’argent par une ou plusieurs personnes, ce prêt peut être avantageux. Pourquoi ? Car son montant se situe entre 7 000 € et 25 000 € en fonction de la zone où est située votre futur logement. Il est plus “facile” de se faire prêter ou de rembourser moins de 25 000€ que 200 000€ par des proches, non ? Ce prêt est proposé aux salariés d’entreprises privées de plus de 10 salariés, à condition que l’entreprise adhère au Comité Interprofessionnel du Logement.

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Pour savoir si vous êtes éligible à ce prêt, vous pouvez directement contacter la structure Action Logement de votre ville sur cette page https://www.actionlogement.fr/implantations.

Introduction

Vous rêvez d’investir ? Vous savez que c’est un “bon plan” ? Vous souhaitez devenir propriétaire et arrêter de payer un loyer tous les mois ? Oh, je vous comprends tellement… Le seul problème, et pas des moindres, c’est l’apport personnel… Vous n’avez pas (encore) d’apport personnel car votre capacité d’épargne est aujourd’hui trop faible pour commencer à investir. Les banques sont frileuses et votre profil d’investisseur n’inspire pas vraiment confiance. Vous voulez une bonne nouvelle ? 😉

Il est possible de financer un achat immobilier locatif sans apport personnel. Dans la plupart des cas, l’apport personnel est nécessaire à l’obtention d’un prêt immobilier, mais nous allons voir qu’il existe des alternatives pour y arriver sans. Nous allons vous présenter des bonnes pratiques et des techniques simples pour réaliser un achat immobilier sans utiliser votre apport personnel ou le construire intelligemment.

Maintenant que vous savez que c’est possible, nous allons détailler ensemble la question et vous donner toutes les clés pour y parvenir. Attendez, il y a encore des investisseurs sceptiques par ici ? Suivez-moi, je vais vous montrer comment financer votre achat immobilier locatif sans jamais utiliser d’apport personnel. C’est parti !

I. Faire un prêt immobilier classique sans apport personnel

Il est vrai, obtenir un prêt sans apport n’est pas le chemin le plus simple pour investir, mais si votre situation personnelle et professionnelle est stable, c’est tout à fait envisageable. De plus, nous allons voir que si votre projet d’investissement est pertinent, cela augmente vos chances de financer un achat immobilier sans apport personnel. Lorsque la banque étudie votre dossier d’investisseur, elle prend en compte une multitude de facteurs dont, bien sûr, votre apport personnel. L’apport est une carte supplémentaire qui pourra faciliter l’approbation de votre banquier à votre projet. MAIS même sans apports, vous pouvez disposer d’un prêt, et je suis persuadé que vous avez des exemples autour de vous, n’est-ce pas ? Bien entendu, tous les investisseurs n’ont pas accès à un crédit sans apport, et il est fortement recommandé de répondre à bon nombre de critères :

  1. Disposer d’une situation financière solide et bénéficier de sources de revenus suffisamment importantes en les justifiant via des fichiers de paie ou autre.
  2. Bénéficier d’une situation professionnelle stable grâce à une activité fixe et durable qui vous permet d’obtenir une rémunération régulière. Les banques aiment les CDI, les titulaires ou les fonctionnaires, mais il y a toujours des exceptions.
  3. Prouver une situation financière rassurante même en épluchant l’historique de vos dépenses, éventuels découverts, capacité d’épargne et la gestion globale de vos comptes sur les 2, 3 dernières années ou plus.

En fonction des banques, d’autres critères peuvent être demandés mais nous n’avons ici que les principaux. Rappelez-vous que si vous n’avez pas d’apport, vous devez vraiment montrer patte blanche et inspirer une grande confiance.

Vous voulez une autre bonne nouvelle ? Si vous souhaitez faire de la location et non pas acheter une résidence principale, vous avez un atout pour le banquier. Votre plan n’est pas d’avoir un apport personnel, mais de rembourser le crédit via le loyer. En constituant un dossier d’investisseur professionnel, vous allez montrer au banquier que vous n’avez pas d’apport, mais une stratégie efficace pour autofinancer le bien grâce au loyer. Les banques prennent aussi en compte vos revenus locatifs, ce qui pourra adoucir votre taux d’endettement. Donc cette 1ère stratégie est plutôt pour les investisseurs !

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II. L’arme des jeunes investisseurs : le prêt à taux zéro ou PTZ

Oh qu’il est bon de vivre en France, n’est-ce pas les jeunes investisseurs ? 😉 Pour vous donner une définition claire et concise, le PTZ c’est le Graal, ou plutôt un prêt sans aucun intérêt de la part de la banque. C’est comme demander de l’argent à vos parents qui n’attendraient rien en retour. L’État a mis en place ce dispositif en 1995 et depuis, cette aide a subi de nombreuses évolutions mais garde toujours le même objectif : aider les Français aux revenus modestes à devenir “primo-accédants à la propriété”.

Alors je vous vois venir… OUI ! Le PTZ demande des conditions d’obtention préalable, sinon cela serait un peu trop facile. Son montant est fixé en fonction du revenu fiscal de l’emprunteur (justifié par un avis d’imposition) et de la zone où se situe l’achat immobilier que vous souhaitez faire. Le remboursement peut être différé sur 5, 10 ou 15 ans, mais ne peut excéder 25 ans.

Très important ! Le PTZ est attribué sous conditions de ressources pour l’acquisition d’une résidence principale ou vendu par le bailleur social à son occupant. Pour y avoir droit, il ne faut pas avoir été propriétaire de votre domicile durant les 2 années qui précèdent le prêt. En revanche, il existe des conditions particulières que vous pouvez trouver sur le site officiel de l’administration française.

Le petit plus ? Ce prêt peut être un complément d’un autre prêt immobilier (prêt d’accession sociale, prêt conventionné, prêt immobilier bancaire, prêt épargne logement ou autre). Vous pouvez donc emprunter une partie de la somme à taux 0 avec le PTZ et l’autre partie à un taux négocié auprès de votre banque.

Vous avez compris “le tour” ? Le PTZ joue finalement le rôle d’apport personnel que vous n’avez (peut-être) pas et permet de financer un achat immobilier sans apport personnel. Vous souhaitez savoir si vous êtes éligible au PTZ ? Rapprochez-vous d’un courtier (c’est gratuit) ou essayez le simulateur de l’Agence Nationale pour l’Information sur le Logement pour le calculer. Le mieux reste de vous rapprocher d’un professionnel pour ne pas avoir de mauvaise surprise lorsque vous aurez trouvé LA bonne affaire que vous cherchiez. Un professionnel sera toujours plus complet que notre article, car la réponse à vos questions dépend en grande partie de VOTRE situation d’investisseur.

Alors je sais ce que vous allez me dire : “Mais si je ne suis pas éligible au PTZ ?”. Nous n’avons pas dit notre dernier mot, car il vous reste d’autres cartes à jouer. C’est parti, voici la troisième carte !

III. Le prêt pour l’acquisition ou la construction dans le neuf

Ah, vous le connaissiez celui-ci ? Cette aide est proposée par le groupe Action Logement qui œuvre pour faciliter l’accès au logement pour favoriser l’emploi. Action Logement gère la participation des employeurs à l’effort de construction versée par l’ensemble des entreprises du secteur privé d’au moins 20 salariés. Tout comme le PTZ, il peut être utilisé en complément de votre “prêt principal”. L’un des inconvénients majeurs de ce prêt reste son versement réalisé dans les 3 mois après l’acquisition du logement.

Alors je sais ce que vous allez me dire… “Comment financer un achat immobilier sans apport personnel ?” Très juste, mais ce prêt existe et nous souhaitions vous le faire savoir, car chaque situation d’investisseur est différente. Dans l’éventualité où vous pouvez vous faire prêter l’argent par une ou plusieurs personnes, ce prêt peut être avantageux. Pourquoi ? Car son montant se situe entre 7 000 € et 25 000 € en fonction de la zone où est située votre futur logement. Il est plus “facile” de se faire prêter ou de rembourser moins de 25 000€ que 200 000€ par des proches, non ? Ce prêt est proposé aux salariés d’entreprises privées de plus de 10 salariés, à condition que l’entreprise adhère au Comité Interprofessionnel du Logement.

Pour savoir si vous êtes éligible à ce prêt, vous pouvez directement contacter la structure Action Logement de votre ville sur cette page https://www.actionlogement.fr/implantations.