L’assurance décès et invalidité est un moyen de prévoyance essentiel pour vous protéger, ainsi que vos proches, en cas d’accident ou de maladie grave. Que vous soyez célibataire, que vous ayez des revenus plus élevés que votre conjoint, que vous éleviez seul un enfant ou que vous viviez seul, souscrire une assurance décès est une sage décision.
Une prévoyance pour vous et vos proches
L’assurance décès et invalidité a été conçue pour anticiper les aléas de la vie. En cas de décès, un capital est versé au(x) bénéficiaire(s) désigné(s), ce qui vous garantit une sécurité financière. De plus, en cas d’accident ou de maladie, vous pouvez bénéficier d’une indemnisation pour compenser votre incapacité à travailler et à générer un revenu.
Vous avez le choix parmi différents types de contrats :
- L’assurance décès vie entière, qui garantit un capital aux bénéficiaires quel que soit l’âge au moment du décès ;
- L’assurance décès temporaire, qui fixe un âge limite au-delà duquel le capital ne peut plus être versé ;
- L’assurance décès classique, qui offre une protection en cas d’accident ou de décès suite à une maladie ;
- L’assurance décès toutes causes, qui peut également couvrir le suicide, avec un délai de carence minimal de 12 mois.
La souscription d’une assurance décès et invalidité est-elle obligatoire ?
Sauf si vous avez souscrit un contrat de prévoyance individuel, l’assurance décès et invalidité n’est pas obligatoire. Toutefois, il existe deux situations où elle peut l’être :
- L’assurance décès invalidité est proposée par votre entreprise et vous êtes contraint d’y souscrire, tout comme pour la mutuelle ;
- Vous avez contracté un prêt immobilier et votre banque exige que vous souscriviez une assurance décès invalidité pour valider votre demande.
Les garanties de l’assurance décès et invalidité
Une assurance décès et invalidité peut inclure divers niveaux de garanties. Certains contrats offrent simplement une assurance décès en cas de décès prématuré pour protéger vos proches. D’autres contrats plus complets couvrent également :
- L’incapacité de travail avec le versement d’une indemnité journalière ;
- Le décès par accident avec un capital versé aux bénéficiaires désignés ;
- L’invalidité, qu’il s’agisse de la perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA), de l’invalidité permanente totale (IPT), de l’invalidité permanente partielle (IPP) ou de l’incapacité temporaire de travail (ITT) ;
- La perte d’emploi dans le cadre d’un crédit immobilier.
Versement en rente ou en capital ?
Lors de la souscription d’une assurance décès et invalidité, vous avez la possibilité de choisir la façon dont le capital sera versé :
- En une seule fois, permettant au conjoint survivant (s’il est bénéficiaire) de faire face immédiatement aux dépenses liées à votre décès ;
- Sous forme de rente viagère pour augmenter les revenus mensuels du conjoint ;
- Sous forme de rente éducation, afin d’aider votre enfant à poursuivre ses études sans soucis financiers.
Cotisation d’assurance décès : quel montant envisager ?
Le montant de la cotisation pour constituer votre capital dépendra de plusieurs facteurs :
- Le montant du capital que vous souhaitez transmettre ou dont vous avez besoin en cas d’incapacité à subvenir à vos besoins ;
- Votre âge au moment de la souscription : plus vous commencez à cotiser tôt pour un capital donné, moins les cotisations seront élevées ;
- Votre état de santé : si la souscription est soumise à un questionnaire médical, la compagnie d’assurance vous proposera une cotisation adaptée à votre risque de décès prématuré. En revanche, si vous optez pour une assurance décès sans questionnaire de santé, vous risquez de payer une cotisation plus élevée même si vous êtes en bonne santé ;
- Votre statut de fumeur, qui est pris en compte en tant que facteur de risque par les compagnies d’assurances.
La fiscalité d’une assurance décès et invalidité
Le capital décès n’est pas soumis aux droits de succession, mais il est soumis aux prélèvements sociaux :
- Après 70 ans, les cotisations sont incluses dans la succession avec un abattement de 30 500 € ;
- Avant 70 ans, seules les cotisations versées au cours de la dernière année sont imposables au taux de 20 % après un abattement de 152 500 €.
Assurance décès, assurance-vie, contrat obsèques : quelles différences ?
Il est parfois difficile de différencier ces différents contrats pour les non-initiés. Voyons donc les distinctions entre ces assurances pour mieux anticiper l’avenir.
Nous venons de découvrir l’assurance décès, qui prévoit le versement d’un capital en cas d’accident de la vie. L’assurance obsèques permet de financer exclusivement les frais funéraires de l’assuré. Quant à l’assurance-vie, elle n’est pas bloquée. Bien qu’il soit possible de désigner un bénéficiaire en cas de décès, l’argent reste disponible et vous pouvez effectuer des retraits tout au long de votre vie. Cependant, pour les contrats de moins de 8 ans, la fiscalité en cas de retrait est plus lourde.
Maintenant que vous connaissez tous les secrets de l’assurance décès et invalidité, vous pouvez prendre une décision éclairée pour protéger votre avenir et celui de vos proches.
L’assurance décès et invalidité est un moyen de prévoyance essentiel pour vous protéger, ainsi que vos proches, en cas d’accident ou de maladie grave. Que vous soyez célibataire, que vous ayez des revenus plus élevés que votre conjoint, que vous éleviez seul un enfant ou que vous viviez seul, souscrire une assurance décès est une sage décision.
Une prévoyance pour vous et vos proches
L’assurance décès et invalidité a été conçue pour anticiper les aléas de la vie. En cas de décès, un capital est versé au(x) bénéficiaire(s) désigné(s), ce qui vous garantit une sécurité financière. De plus, en cas d’accident ou de maladie, vous pouvez bénéficier d’une indemnisation pour compenser votre incapacité à travailler et à générer un revenu.
Vous avez le choix parmi différents types de contrats :
- L’assurance décès vie entière, qui garantit un capital aux bénéficiaires quel que soit l’âge au moment du décès ;
- L’assurance décès temporaire, qui fixe un âge limite au-delà duquel le capital ne peut plus être versé ;
- L’assurance décès classique, qui offre une protection en cas d’accident ou de décès suite à une maladie ;
- L’assurance décès toutes causes, qui peut également couvrir le suicide, avec un délai de carence minimal de 12 mois.
La souscription d’une assurance décès et invalidité est-elle obligatoire ?
Sauf si vous avez souscrit un contrat de prévoyance individuel, l’assurance décès et invalidité n’est pas obligatoire. Toutefois, il existe deux situations où elle peut l’être :
- L’assurance décès invalidité est proposée par votre entreprise et vous êtes contraint d’y souscrire, tout comme pour la mutuelle ;
- Vous avez contracté un prêt immobilier et votre banque exige que vous souscriviez une assurance décès invalidité pour valider votre demande.
Les garanties de l’assurance décès et invalidité
Une assurance décès et invalidité peut inclure divers niveaux de garanties. Certains contrats offrent simplement une assurance décès en cas de décès prématuré pour protéger vos proches. D’autres contrats plus complets couvrent également :
- L’incapacité de travail avec le versement d’une indemnité journalière ;
- Le décès par accident avec un capital versé aux bénéficiaires désignés ;
- L’invalidité, qu’il s’agisse de la perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA), de l’invalidité permanente totale (IPT), de l’invalidité permanente partielle (IPP) ou de l’incapacité temporaire de travail (ITT) ;
- La perte d’emploi dans le cadre d’un crédit immobilier.
Versement en rente ou en capital ?
Lors de la souscription d’une assurance décès et invalidité, vous avez la possibilité de choisir la façon dont le capital sera versé :
- En une seule fois, permettant au conjoint survivant (s’il est bénéficiaire) de faire face immédiatement aux dépenses liées à votre décès ;
- Sous forme de rente viagère pour augmenter les revenus mensuels du conjoint ;
- Sous forme de rente éducation, afin d’aider votre enfant à poursuivre ses études sans soucis financiers.
Cotisation d’assurance décès : quel montant envisager ?
Le montant de la cotisation pour constituer votre capital dépendra de plusieurs facteurs :
- Le montant du capital que vous souhaitez transmettre ou dont vous avez besoin en cas d’incapacité à subvenir à vos besoins ;
- Votre âge au moment de la souscription : plus vous commencez à cotiser tôt pour un capital donné, moins les cotisations seront élevées ;
- Votre état de santé : si la souscription est soumise à un questionnaire médical, la compagnie d’assurance vous proposera une cotisation adaptée à votre risque de décès prématuré. En revanche, si vous optez pour une assurance décès sans questionnaire de santé, vous risquez de payer une cotisation plus élevée même si vous êtes en bonne santé ;
- Votre statut de fumeur, qui est pris en compte en tant que facteur de risque par les compagnies d’assurances.
La fiscalité d’une assurance décès et invalidité
Le capital décès n’est pas soumis aux droits de succession, mais il est soumis aux prélèvements sociaux :
- Après 70 ans, les cotisations sont incluses dans la succession avec un abattement de 30 500 € ;
- Avant 70 ans, seules les cotisations versées au cours de la dernière année sont imposables au taux de 20 % après un abattement de 152 500 €.
Assurance décès, assurance-vie, contrat obsèques : quelles différences ?
Il est parfois difficile de différencier ces différents contrats pour les non-initiés. Voyons donc les distinctions entre ces assurances pour mieux anticiper l’avenir.
Nous venons de découvrir l’assurance décès, qui prévoit le versement d’un capital en cas d’accident de la vie. L’assurance obsèques permet de financer exclusivement les frais funéraires de l’assuré. Quant à l’assurance-vie, elle n’est pas bloquée. Bien qu’il soit possible de désigner un bénéficiaire en cas de décès, l’argent reste disponible et vous pouvez effectuer des retraits tout au long de votre vie. Cependant, pour les contrats de moins de 8 ans, la fiscalité en cas de retrait est plus lourde.
Maintenant que vous connaissez tous les secrets de l’assurance décès et invalidité, vous pouvez prendre une décision éclairée pour protéger votre avenir et celui de vos proches.