Bientôt des puces électroniques made in France, et ce n’est pas grâce à Intel

Bientôt des puces électroniques made in France, et ce n’est pas grâce à Intel

Dans un contexte de mondialisation croissante, la France se positionne en tant que concurrent sérieux dans l’industrie des semi-conducteurs. Malgré le refus d’Intel de construire une usine sur le sol français, l’américain GlobalFoundries a accepté de relever le défi et de collaborer avec le fabricant franco-italien STMicroelectronics pour construire une nouvelle usine près de Grenoble, soutenue par des aides financières de l’État.

L’État français investit pour encourager la production locale de semi-conducteurs

Ce projet ambitieux, qui devrait bénéficier d’un investissement estimé à 5,7 milliards d’euros, aura un impact significatif sur l’économie locale en créant environ 1 000 emplois supplémentaires dans la région de Grenoble. L’État français soutient activement cette initiative dans le cadre du programme d’investissement présenté lors du sommet “Choose France”, visant à promouvoir l’attractivité du pays auprès des grandes entreprises internationales.

Cette nouvelle usine, fruit de la collaboration entre GlobalFoundries et STMicroelectronics, contribuera également aux objectifs du plan européen Chips Act, dont le but est de porter la capacité de production de l’Europe à 20 % de la capacité mondiale d’ici 2030. Il s’agit d’une étape majeure pour réduire la dépendance de l’Occident à la production chinoise de semi-conducteurs.

Une alternative à la production chinoise de semi-conducteurs

Alors que la Chine détient une position dominante dans la production mondiale de semi-conducteurs, cette initiative française marque un tournant dans la recherche d’une plus grande indépendance technologique. Si TSMC, le plus grand fondeur indépendant au monde, a récemment annoncé ne pas prévoir d’installer d’usines en Europe, GlobalFoundries et STMicroelectronics saisissent cette opportunité pour renforcer la présence européenne dans le secteur.

La construction de cette usine en France est une étape importante pour l’industrie des semi-conducteurs en Europe et démontre l’engagement de la France à devenir un acteur clé dans ce domaine. Grâce à cette collaboration franco-américaine, le pays pourra bientôt compter sur une usine de semi-conducteurs supplémentaire sur son territoire, renforçant ainsi sa position dans la chaîne de production mondiale.

Bientôt des puces électroniques made in France, et ce n’est pas grâce à Intel

(La France va bientôt pouvoir compter sur une usine de semi-conducteur supplémentaire sur son territoire // Source : Laura Ockel – Unsplash)

En conclusion, ce partenariat entre GlobalFoundries et STMicroelectronics ouvre de nouvelles perspectives pour l’industrie des semi-conducteurs en France. Grâce aux investissements de l’État français et à la collaboration de ces deux entreprises, la France se profile comme un acteur incontournable dans la production de puces électroniques en Europe. Cette initiative marque une étape importante dans la réduction de la dépendance européenne à l’égard de la production chinoise de semi-conducteurs et témoigne de la volonté du pays de prendre part à la compétition mondiale dans ce secteur en plein essor.

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Dans un contexte de mondialisation croissante, la France se positionne en tant que concurrent sérieux dans l’industrie des semi-conducteurs. Malgré le refus d’Intel de construire une usine sur le sol français, l’américain GlobalFoundries a accepté de relever le défi et de collaborer avec le fabricant franco-italien STMicroelectronics pour construire une nouvelle usine près de Grenoble, soutenue par des aides financières de l’État.

L’État français investit pour encourager la production locale de semi-conducteurs

Ce projet ambitieux, qui devrait bénéficier d’un investissement estimé à 5,7 milliards d’euros, aura un impact significatif sur l’économie locale en créant environ 1 000 emplois supplémentaires dans la région de Grenoble. L’État français soutient activement cette initiative dans le cadre du programme d’investissement présenté lors du sommet “Choose France”, visant à promouvoir l’attractivité du pays auprès des grandes entreprises internationales.

Cette nouvelle usine, fruit de la collaboration entre GlobalFoundries et STMicroelectronics, contribuera également aux objectifs du plan européen Chips Act, dont le but est de porter la capacité de production de l’Europe à 20 % de la capacité mondiale d’ici 2030. Il s’agit d’une étape majeure pour réduire la dépendance de l’Occident à la production chinoise de semi-conducteurs.

Une alternative à la production chinoise de semi-conducteurs

Alors que la Chine détient une position dominante dans la production mondiale de semi-conducteurs, cette initiative française marque un tournant dans la recherche d’une plus grande indépendance technologique. Si TSMC, le plus grand fondeur indépendant au monde, a récemment annoncé ne pas prévoir d’installer d’usines en Europe, GlobalFoundries et STMicroelectronics saisissent cette opportunité pour renforcer la présence européenne dans le secteur.

La construction de cette usine en France est une étape importante pour l’industrie des semi-conducteurs en Europe et démontre l’engagement de la France à devenir un acteur clé dans ce domaine. Grâce à cette collaboration franco-américaine, le pays pourra bientôt compter sur une usine de semi-conducteurs supplémentaire sur son territoire, renforçant ainsi sa position dans la chaîne de production mondiale.

Bientôt des puces électroniques made in France, et ce n’est pas grâce à Intel

(La France va bientôt pouvoir compter sur une usine de semi-conducteur supplémentaire sur son territoire // Source : Laura Ockel – Unsplash)

En conclusion, ce partenariat entre GlobalFoundries et STMicroelectronics ouvre de nouvelles perspectives pour l’industrie des semi-conducteurs en France. Grâce aux investissements de l’État français et à la collaboration de ces deux entreprises, la France se profile comme un acteur incontournable dans la production de puces électroniques en Europe. Cette initiative marque une étape importante dans la réduction de la dépendance européenne à l’égard de la production chinoise de semi-conducteurs et témoigne de la volonté du pays de prendre part à la compétition mondiale dans ce secteur en plein essor.

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L’État français investit pour encourager la production locale de semi-conducteurs

Ce projet ambitieux, qui devrait bénéficier d’un investissement estimé à 5,7 milliards d’euros, aura un impact significatif sur l’économie locale en créant environ 1 000 emplois supplémentaires dans la région de Grenoble. L’État français soutient activement cette initiative dans le cadre du programme d’investissement présenté lors du sommet “Choose France”, visant à promouvoir l’attractivité du pays auprès des grandes entreprises internationales.

Cette nouvelle usine, fruit de la collaboration entre GlobalFoundries et STMicroelectronics, contribuera également aux objectifs du plan européen Chips Act, dont le but est de porter la capacité de production de l’Europe à 20 % de la capacité mondiale d’ici 2030. Il s’agit d’une étape majeure pour réduire la dépendance de l’Occident à la production chinoise de semi-conducteurs.

Une alternative à la production chinoise de semi-conducteurs

Alors que la Chine détient une position dominante dans la production mondiale de semi-conducteurs, cette initiative française marque un tournant dans la recherche d’une plus grande indépendance technologique. Si TSMC, le plus grand fondeur indépendant au monde, a récemment annoncé ne pas prévoir d’installer d’usines en Europe, GlobalFoundries et STMicroelectronics saisissent cette opportunité pour renforcer la présence européenne dans le secteur.

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(La France va bientôt pouvoir compter sur une usine de semi-conducteur supplémentaire sur son territoire // Source : Laura Ockel – Unsplash)

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La construction de cette usine en France est une étape importante pour l’industrie des semi-conducteurs en Europe et démontre l’engagement de la France à devenir un acteur clé dans ce domaine. Grâce à cette collaboration franco-américaine, le pays pourra bientôt compter sur une usine de semi-conducteurs supplémentaire sur son territoire, renforçant ainsi sa position dans la chaîne de production mondiale.

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