L’été dernier, Citroën a surpris tout le monde en dévoilant la troisième génération de sa berline compacte C4. Cette fois, la marque a choisi de repenser complètement le concept de cette voiture emblématique.
Un design déroutant
Le design de la nouvelle C4 a fait beaucoup parler de lui lors de sa présentation. Malheureusement, il n’a pas suscité des réactions positives. Avec sa silhouette massive et surélevée, la C4 semble hésiter entre une berline et un SUV. Malheureusement, cette tentative de plaire à tout le monde risque de décevoir les amateurs de berlines et les fans de SUV.
Un intérieur accueillant
Heureusement, l’intérieur de la C4 est plus réussi. Dans notre version haut de gamme Shine, l’impression est flatteuse. La planche de bord est dominée par un grand écran central équipé du logiciel PSA Stellantis, intuitif et réactif. Les sièges sont confortables et la conduite est agréable, grâce à la boîte de vitesses EAT8.
Une conduite équilibrée
La C4 est équipée du moteur PureTech 130 associé à la boîte EAT8. Le moteur se comporte comme dans les autres modèles, avec un léger bruit à froid mais un couple appréciable au quotidien. La suspension offre un bon équilibre entre confort et tenue de route, même lors des virages serrés.
Des équipements technologiques
En ce qui concerne les équipements, la C4 est à la pointe de la technologie. Elle est dotée d’Apple Car Play et Android Auto avec recharge par induction (en option). La conduite autonome est également présente, avec un régulateur de vitesse qui gère les distances de sécurité. Cependant, il est important de noter que le système de freinage peut être brusque dans certaines situations.
Conclusion
La nouvelle C4 remplit toutes les attentes des acheteurs potentiels de voitures de ce segment. Elle offre confort, sécurité, équipements technologiques et une consommation raisonnable. De plus, une version entièrement électrique sera bientôt disponible. Avec un prix inférieur à 30 000 €, la C4 répond aux besoins de la grande majorité des acheteurs de voitures compactes.
Crédit photos : Pierre CLEMENCE
