Véritable outil d’aide à la décision, le business plan a pour objectif de prévoir à moyen et long terme l’évolution de l’activité d’une entreprise. D’où l’importance de disposer d’une méthodologie rigoureuse afin de réduire l’incertitude. Une étude de rentabilité réalisée en amont de tout projet d’investissement ou de création d’entreprise est une véritable feuille de route dans le déploiement d’une activité. Focus sur les principaux outils permettant de réaliser une étude de rentabilité.
Rentabilité financière vs. rentabilité économique
Si la rentabilité est le rapport entre les revenus et les coûts de l’entreprise, il convient de distinguer la rentabilité économique de la rentabilité financière. La seconde donne la mesure de la performance financière, tandis que la rentabilité économique s’attache au rapport entre les bénéfices d’exploitation et les capitaux mis en œuvre. La rentabilité financière mesure la rentabilité des capitaux propres et intéresse tout spécifiquement les associés et actionnaires de l’entreprise, tandis que la rentabilité économique est la boussole du dirigeant. Ces deux éléments ne sont cependant pas à opposer car ils sont souvent très complémentaires. En effet, soustraire la rentabilité économique à la rentabilité financière, permet d’obtenir l’effet de levier, c’est-à-dire, la mesure de l’impact de l’endettement sur la rentabilité.
Mesurer le seuil de rentabilité d’un projet
En amont d’un projet – tel que notamment la création d’une entreprise – le calcul du seuil de rentabilité est un élément essentiel. Celui-ci mesure le montant de chiffre d’affaires qu’il est nécessaire de réaliser afin de pouvoir honorer l’ensemble des charges. Il se calcule simplement en additionnant l’ensemble des charges fixes et des charges variables. À partir du moment où le chiffre d’affaires est équivalent à l’ensemble des charges de l’entreprise, l’activité devient rentable. Toute rentrée d’argent au-delà de ce seuil est un bénéfice. Le seuil de rentabilité est un indicateur précieux qui délivre des objectifs précis. Il est par ailleurs possible de jouer sur le seuil, en abaissant le niveau de charges de l’entreprise (réduction des locaux, par exemple).
Quels indicateurs financiers pour mesurer la rentabilité ?
Il existe plusieurs indicateurs financiers permettant de mesurer la rentabilité. Le premier est la VAN ou valeur actuelle nette, qui est un flux de trésorerie et qui permet de s’assurer de la capacité d’un investissement à créer de la valeur dans le temps, en tenant compte d’un taux de rentabilité préalablement décidé. Le calcul de la VAN est un indicateur majeur de la rentabilité, véritable outil d’aide à la décision, notamment en prévision de la réalisation d’un nouvel investissement (achat de machines industrielles ou acquisition d’une entreprise cible par exemple). Autre indicateur financier qui permet d’évaluer la pertinence d’un projet : le taux de rentabilité interne (TRI). En prenant en compte l’ensemble des flux et en les ramenant à un rendement annuel, le TRI permet de mesurer le retour d’une opération en tenant en compte de l’ensemble des postes de dépenses.
Véritable outil d’aide à la décision, le business plan a pour objectif de prévoir à moyen et long terme l’évolution de l’activité d’une entreprise. D’où l’importance de disposer d’une méthodologie rigoureuse afin de réduire l’incertitude. Une étude de rentabilité réalisée en amont de tout projet d’investissement ou de création d’entreprise est une véritable feuille de route dans le déploiement d’une activité. Focus sur les principaux outils permettant de réaliser une étude de rentabilité.
Rentabilité financière vs. rentabilité économique
Si la rentabilité est le rapport entre les revenus et les coûts de l’entreprise, il convient de distinguer la rentabilité économique de la rentabilité financière. La seconde donne la mesure de la performance financière, tandis que la rentabilité économique s’attache au rapport entre les bénéfices d’exploitation et les capitaux mis en œuvre. La rentabilité financière mesure la rentabilité des capitaux propres et intéresse tout spécifiquement les associés et actionnaires de l’entreprise, tandis que la rentabilité économique est la boussole du dirigeant. Ces deux éléments ne sont cependant pas à opposer car ils sont souvent très complémentaires. En effet, soustraire la rentabilité économique à la rentabilité financière, permet d’obtenir l’effet de levier, c’est-à-dire, la mesure de l’impact de l’endettement sur la rentabilité.
Mesurer le seuil de rentabilité d’un projet
En amont d’un projet – tel que notamment la création d’une entreprise – le calcul du seuil de rentabilité est un élément essentiel. Celui-ci mesure le montant de chiffre d’affaires qu’il est nécessaire de réaliser afin de pouvoir honorer l’ensemble des charges. Il se calcule simplement en additionnant l’ensemble des charges fixes et des charges variables. À partir du moment où le chiffre d’affaires est équivalent à l’ensemble des charges de l’entreprise, l’activité devient rentable. Toute rentrée d’argent au-delà de ce seuil est un bénéfice. Le seuil de rentabilité est un indicateur précieux qui délivre des objectifs précis. Il est par ailleurs possible de jouer sur le seuil, en abaissant le niveau de charges de l’entreprise (réduction des locaux, par exemple).
Quels indicateurs financiers pour mesurer la rentabilité ?
Il existe plusieurs indicateurs financiers permettant de mesurer la rentabilité. Le premier est la VAN ou valeur actuelle nette, qui est un flux de trésorerie et qui permet de s’assurer de la capacité d’un investissement à créer de la valeur dans le temps, en tenant compte d’un taux de rentabilité préalablement décidé. Le calcul de la VAN est un indicateur majeur de la rentabilité, véritable outil d’aide à la décision, notamment en prévision de la réalisation d’un nouvel investissement (achat de machines industrielles ou acquisition d’une entreprise cible par exemple). Autre indicateur financier qui permet d’évaluer la pertinence d’un projet : le taux de rentabilité interne (TRI). En prenant en compte l’ensemble des flux et en les ramenant à un rendement annuel, le TRI permet de mesurer le retour d’une opération en tenant en compte de l’ensemble des postes de dépenses.
Véritable outil d’aide à la décision, le business plan a pour objectif de prévoir à moyen et long terme l’évolution de l’activité d’une entreprise. D’où l’importance de disposer d’une méthodologie rigoureuse afin de réduire l’incertitude. Une étude de rentabilité réalisée en amont de tout projet d’investissement ou de création d’entreprise est une véritable feuille de route dans le déploiement d’une activité. Focus sur les principaux outils permettant de réaliser une étude de rentabilité.
Rentabilité financière vs. rentabilité économique
Si la rentabilité est le rapport entre les revenus et les coûts de l’entreprise, il convient de distinguer la rentabilité économique de la rentabilité financière. La seconde donne la mesure de la performance financière, tandis que la rentabilité économique s’attache au rapport entre les bénéfices d’exploitation et les capitaux mis en œuvre. La rentabilité financière mesure la rentabilité des capitaux propres et intéresse tout spécifiquement les associés et actionnaires de l’entreprise, tandis que la rentabilité économique est la boussole du dirigeant. Ces deux éléments ne sont cependant pas à opposer car ils sont souvent très complémentaires. En effet, soustraire la rentabilité économique à la rentabilité financière, permet d’obtenir l’effet de levier, c’est-à-dire, la mesure de l’impact de l’endettement sur la rentabilité.
Mesurer le seuil de rentabilité d’un projet
En amont d’un projet – tel que notamment la création d’une entreprise – le calcul du seuil de rentabilité est un élément essentiel. Celui-ci mesure le montant de chiffre d’affaires qu’il est nécessaire de réaliser afin de pouvoir honorer l’ensemble des charges. Il se calcule simplement en additionnant l’ensemble des charges fixes et des charges variables. À partir du moment où le chiffre d’affaires est équivalent à l’ensemble des charges de l’entreprise, l’activité devient rentable. Toute rentrée d’argent au-delà de ce seuil est un bénéfice. Le seuil de rentabilité est un indicateur précieux qui délivre des objectifs précis. Il est par ailleurs possible de jouer sur le seuil, en abaissant le niveau de charges de l’entreprise (réduction des locaux, par exemple).
Quels indicateurs financiers pour mesurer la rentabilité ?
Il existe plusieurs indicateurs financiers permettant de mesurer la rentabilité. Le premier est la VAN ou valeur actuelle nette, qui est un flux de trésorerie et qui permet de s’assurer de la capacité d’un investissement à créer de la valeur dans le temps, en tenant compte d’un taux de rentabilité préalablement décidé. Le calcul de la VAN est un indicateur majeur de la rentabilité, véritable outil d’aide à la décision, notamment en prévision de la réalisation d’un nouvel investissement (achat de machines industrielles ou acquisition d’une entreprise cible par exemple). Autre indicateur financier qui permet d’évaluer la pertinence d’un projet : le taux de rentabilité interne (TRI). En prenant en compte l’ensemble des flux et en les ramenant à un rendement annuel, le TRI permet de mesurer le retour d’une opération en tenant en compte de l’ensemble des postes de dépenses.
Véritable outil d’aide à la décision, le business plan a pour objectif de prévoir à moyen et long terme l’évolution de l’activité d’une entreprise. D’où l’importance de disposer d’une méthodologie rigoureuse afin de réduire l’incertitude. Une étude de rentabilité réalisée en amont de tout projet d’investissement ou de création d’entreprise est une véritable feuille de route dans le déploiement d’une activité. Focus sur les principaux outils permettant de réaliser une étude de rentabilité.
Rentabilité financière vs. rentabilité économique
Si la rentabilité est le rapport entre les revenus et les coûts de l’entreprise, il convient de distinguer la rentabilité économique de la rentabilité financière. La seconde donne la mesure de la performance financière, tandis que la rentabilité économique s’attache au rapport entre les bénéfices d’exploitation et les capitaux mis en œuvre. La rentabilité financière mesure la rentabilité des capitaux propres et intéresse tout spécifiquement les associés et actionnaires de l’entreprise, tandis que la rentabilité économique est la boussole du dirigeant. Ces deux éléments ne sont cependant pas à opposer car ils sont souvent très complémentaires. En effet, soustraire la rentabilité économique à la rentabilité financière, permet d’obtenir l’effet de levier, c’est-à-dire, la mesure de l’impact de l’endettement sur la rentabilité.
Mesurer le seuil de rentabilité d’un projet
En amont d’un projet – tel que notamment la création d’une entreprise – le calcul du seuil de rentabilité est un élément essentiel. Celui-ci mesure le montant de chiffre d’affaires qu’il est nécessaire de réaliser afin de pouvoir honorer l’ensemble des charges. Il se calcule simplement en additionnant l’ensemble des charges fixes et des charges variables. À partir du moment où le chiffre d’affaires est équivalent à l’ensemble des charges de l’entreprise, l’activité devient rentable. Toute rentrée d’argent au-delà de ce seuil est un bénéfice. Le seuil de rentabilité est un indicateur précieux qui délivre des objectifs précis. Il est par ailleurs possible de jouer sur le seuil, en abaissant le niveau de charges de l’entreprise (réduction des locaux, par exemple).
Quels indicateurs financiers pour mesurer la rentabilité ?
Il existe plusieurs indicateurs financiers permettant de mesurer la rentabilité. Le premier est la VAN ou valeur actuelle nette, qui est un flux de trésorerie et qui permet de s’assurer de la capacité d’un investissement à créer de la valeur dans le temps, en tenant compte d’un taux de rentabilité préalablement décidé. Le calcul de la VAN est un indicateur majeur de la rentabilité, véritable outil d’aide à la décision, notamment en prévision de la réalisation d’un nouvel investissement (achat de machines industrielles ou acquisition d’une entreprise cible par exemple). Autre indicateur financier qui permet d’évaluer la pertinence d’un projet : le taux de rentabilité interne (TRI). En prenant en compte l’ensemble des flux et en les ramenant à un rendement annuel, le TRI permet de mesurer le retour d’une opération en tenant en compte de l’ensemble des postes de dépenses.