Comment se constituer un complément de retraite ? 5 idées à étudier

Comment se constituer un complément de retraite ? 5 idées à étudier

La retraite est encore loin pour vous et c’est tant mieux. Vous ne devez pas perdre de vue que vos revenus baisseront lorsque vous vous arrêterez de travailler. De plus, personne ne peut présager de l’avenir et nous ne connaissons pas ce que demain sera fait. Si dès maintenant, vous vous constituez un capital, vous pourrez obtenir ainsi des revenus complémentaires générés par vos placements. Voici plusieurs façons de vous constituer une épargne pouvant générer un complément lucratif et intéressant.

1 – Le PER

Le plan d’épargne retraite ou PER vient remplacer le PERP. Il n’est pas obligatoire et les cotisations sont libres pendant tout le temps où vous êtes actif. Ce dispositif financier doit être contracté avant l’âge de quarante ans pour qu’il soit intéressant. Il est fortement conseillé de verser au moins 10 % de vos revenus annuels pour que le complément qui vous sera versé dès votre départ, soit suffisant pour combler la perte de revenus par rapport au salaire net que vous percevez en activité. Si vous bénéficiez d’un contrat d’assurance vie, vous pouvez alors le transférer sur votre PER et pourrez bénéficier aussi de l’exonération des plus-values si vous le conservez plus de huit ans et dans la limite du plafond du moment. Une fois à la retraite, vous percevrez une rente mensuelle ou choisir de récupérer votre capital si vous le souhaitez. Si vous n’avez pas eu de déductions de revenus pendant les versements, la rente viagère ne sera assujettie à l’impôt sur le revenu qu’en partie et en fonction de l’âge que vous aurez atteint au premier versement.

2 – L’assurance vie

L’assurance vie est le placement le plus populaire lorsque vous songez à préparer votre retraite. Le capital est exonéré de droit de succession pour vos bénéficiaires. Quand vous prendrez votre retraite, vous percevrez non seulement votre capital, mais pourrez en disposer à votre guise en l’investissant ailleurs, comme dans de l’immobilier, par exemple, ou demander une rente viagère mensuelle. Cette rente viagère est à titre onéreux sur les montants versés. Elle est donc imposable à l’impôt sur le revenu. Votre capital est aussi exonéré de droits de succession jusqu’à 152 500 € pour chaque bénéficiaire nommé par vos soins.

3 – L’immobilier

Pendant que vous êtes actif, si vous le pouvez financièrement, il est intéressant pour vous d’investir dans l’immobilier. Vous pouvez choisir le régime LMNP ou loueur en meublé non professionnel. Si vos revenus sont inférieurs à 23 000 € dans l’année, vous bénéficierez du microfoncier avec abattement de 50 %. Si vous optez pour un régime réel, ce sera aussi avantageux si vous avez souscrit un crédit immobilier, car vous pourrez le déduire de vos revenus. Ainsi, il est intéressant de vous constituer un capital immobilier à l’aide d’un prêt immobilier tant que vous êtes actif, car le loyer couvrira les échéances, pour vous laisser des revenus une fois à la retraite. Dans le même temps, il existe aussi des acquisitions immobilières où la défiscalisation est très intéressante sur 6, 9 ou 12 ans comme le dispositif Pinel pour des biens neufs ou le dispositif Malraux sur des biens immobiliers anciens à rénover.

À lire aussi  Vous vendez votre voiture : les meilleures astuces pour sécuriser la transaction !

4 – La Prefon

Si vous êtes fonctionnaire ou assimilé, vous pouvez vous constituer un complément de retraite facultatif. La Prefon est la caisse de retraite nationale de prévoyance de la fonction publique. Tous les mois, vous effectuez des versements sur votre compte et quand vous êtes à la retraite, vous percevez une rente viagère calculée sur vos cotisations. Vous avez le droit de sortir jusqu’à 20 % de votre capital, si vous en avez besoin, et même 100 % depuis 2019. Pendant que vous versez les cotisations, vous pouvez les déduire de votre revenu net global dans la limite de 10 % de vos revenus n-1 quand vous êtes actif et jusqu’à 8 fois le plafond annuel de la Sécurité Sociale. En 2021, le plafond de déduction maximale est de 32 908 € ou de 4 113 € quand le montant est plus élevé. La rente que vous percevez ensuite est assujettie à l’impôt sur le revenu au même titre que les retraites.

5 – Le régime complémentaire général Agirc-Arrco

Si vous travaillez dans le privé, vous cotisez au régime Agirc-Arrco qui est le régime de retraite complémentaire. Une fois à la retraite, en plus de votre retraite versée par la CNAM, vous percevrez également cette retraite complémentaire qui est calculée sur la base d’un système de points. Ces points sont multipliés par le temps travaillé pour connaître la valeur de votre retraite complémentaire annuelle. Attention à bien vous renseigner avant de partir, car cette retraite complémentaire peut être perçue qu’à un certain âge et en fonction du nombre d’années que vous avez travaillé. Si ce n’est pas suffisant, elle est frappée par un malus qui risque de vous faire perdre de l’argent.

Il existe encore des épargnes que vous pouvez réaliser comme en ouvrant un PEA ou plan d’épargne en action, mais également des placements dans des parts de FIP, SCPI, etc. Ces placements peuvent vous rapporter de l’argent, mais vous en faire perdre aussi beaucoup, voire la totalité, lorsqu’une crise économique majeure survient. Si vous préférez percevoir une retraite complémentaire sûre, investissez dans les produits cités ou encore dans de l’or qui reste la valeur refuge de tous les temps.

À lire aussi  Investir dans l’immobilier d’entreprise : un placement rentable et diversifié

La retraite est encore loin pour vous et c’est tant mieux. Vous ne devez pas perdre de vue que vos revenus baisseront lorsque vous vous arrêterez de travailler. De plus, personne ne peut présager de l’avenir et nous ne connaissons pas ce que demain sera fait. Si dès maintenant, vous vous constituez un capital, vous pourrez obtenir ainsi des revenus complémentaires générés par vos placements. Voici plusieurs façons de vous constituer une épargne pouvant générer un complément lucratif et intéressant.

1 – Le PER

Le plan d’épargne retraite ou PER vient remplacer le PERP. Il n’est pas obligatoire et les cotisations sont libres pendant tout le temps où vous êtes actif. Ce dispositif financier doit être contracté avant l’âge de quarante ans pour qu’il soit intéressant. Il est fortement conseillé de verser au moins 10 % de vos revenus annuels pour que le complément qui vous sera versé dès votre départ, soit suffisant pour combler la perte de revenus par rapport au salaire net que vous percevez en activité. Si vous bénéficiez d’un contrat d’assurance vie, vous pouvez alors le transférer sur votre PER et pourrez bénéficier aussi de l’exonération des plus-values si vous le conservez plus de huit ans et dans la limite du plafond du moment. Une fois à la retraite, vous percevrez une rente mensuelle ou choisir de récupérer votre capital si vous le souhaitez. Si vous n’avez pas eu de déductions de revenus pendant les versements, la rente viagère ne sera assujettie à l’impôt sur le revenu qu’en partie et en fonction de l’âge que vous aurez atteint au premier versement.

2 – L’assurance vie

L’assurance vie est le placement le plus populaire lorsque vous songez à préparer votre retraite. Le capital est exonéré de droit de succession pour vos bénéficiaires. Quand vous prendrez votre retraite, vous percevrez non seulement votre capital, mais pourrez en disposer à votre guise en l’investissant ailleurs, comme dans de l’immobilier, par exemple, ou demander une rente viagère mensuelle. Cette rente viagère est à titre onéreux sur les montants versés. Elle est donc imposable à l’impôt sur le revenu. Votre capital est aussi exonéré de droits de succession jusqu’à 152 500 € pour chaque bénéficiaire nommé par vos soins.

3 – L’immobilier

Pendant que vous êtes actif, si vous le pouvez financièrement, il est intéressant pour vous d’investir dans l’immobilier. Vous pouvez choisir le régime LMNP ou loueur en meublé non professionnel. Si vos revenus sont inférieurs à 23 000 € dans l’année, vous bénéficierez du microfoncier avec abattement de 50 %. Si vous optez pour un régime réel, ce sera aussi avantageux si vous avez souscrit un crédit immobilier, car vous pourrez le déduire de vos revenus. Ainsi, il est intéressant de vous constituer un capital immobilier à l’aide d’un prêt immobilier tant que vous êtes actif, car le loyer couvrira les échéances, pour vous laisser des revenus une fois à la retraite. Dans le même temps, il existe aussi des acquisitions immobilières où la défiscalisation est très intéressante sur 6, 9 ou 12 ans comme le dispositif Pinel pour des biens neufs ou le dispositif Malraux sur des biens immobiliers anciens à rénover.

À lire aussi  Révélez les secrets de Fabien Liegeois et Rénover pour Gagner

4 – La Prefon

Si vous êtes fonctionnaire ou assimilé, vous pouvez vous constituer un complément de retraite facultatif. La Prefon est la caisse de retraite nationale de prévoyance de la fonction publique. Tous les mois, vous effectuez des versements sur votre compte et quand vous êtes à la retraite, vous percevez une rente viagère calculée sur vos cotisations. Vous avez le droit de sortir jusqu’à 20 % de votre capital, si vous en avez besoin, et même 100 % depuis 2019. Pendant que vous versez les cotisations, vous pouvez les déduire de votre revenu net global dans la limite de 10 % de vos revenus n-1 quand vous êtes actif et jusqu’à 8 fois le plafond annuel de la Sécurité Sociale. En 2021, le plafond de déduction maximale est de 32 908 € ou de 4 113 € quand le montant est plus élevé. La rente que vous percevez ensuite est assujettie à l’impôt sur le revenu au même titre que les retraites.

5 – Le régime complémentaire général Agirc-Arrco

Si vous travaillez dans le privé, vous cotisez au régime Agirc-Arrco qui est le régime de retraite complémentaire. Une fois à la retraite, en plus de votre retraite versée par la CNAM, vous percevrez également cette retraite complémentaire qui est calculée sur la base d’un système de points. Ces points sont multipliés par le temps travaillé pour connaître la valeur de votre retraite complémentaire annuelle. Attention à bien vous renseigner avant de partir, car cette retraite complémentaire peut être perçue qu’à un certain âge et en fonction du nombre d’années que vous avez travaillé. Si ce n’est pas suffisant, elle est frappée par un malus qui risque de vous faire perdre de l’argent.

Il existe encore des épargnes que vous pouvez réaliser comme en ouvrant un PEA ou plan d’épargne en action, mais également des placements dans des parts de FIP, SCPI, etc. Ces placements peuvent vous rapporter de l’argent, mais vous en faire perdre aussi beaucoup, voire la totalité, lorsqu’une crise économique majeure survient. Si vous préférez percevoir une retraite complémentaire sûre, investissez dans les produits cités ou encore dans de l’or qui reste la valeur refuge de tous les temps.