Découvrez ‘Je ne sais quoi’, la marque de lingerie pour toutes les femmes !

Découvrez ‘Je ne sais quoi’, la marque de lingerie pour toutes les femmes !

Qui n’a jamais rêvé de trouver des sous-vêtements confortables, flatteurs, qui s’adressent à toutes les tailles et qui sont créés dans le respect de la planète et des travailleurs ? La marque ‘Je ne sais quoi’ répond à cette question sur son site jenesaisquoiofficiel.fr en mettant en avant de vraies femmes, de différentes générations et milieux sociaux, qui posent en lingerie. Ici, pas de mannequins, mais des clientes de la marque, toutes réunies par le désir d’en finir avec les diktats de la beauté.

Décomplexer les femmes et les libérer du culte de la minceur !

Louise Aubéry, également connue sous le pseudonyme @mybetterself sur Instagram, a lancé ‘Je ne sais quoi’ avec succès. En proposant des créations allant du 70A au 115F, elle a su trouver son public. Les femmes sont ravies de rejoindre cette bannière tendue par Louise, une véritable working-girl de 23 ans, encore étudiante à Sciences Po Paris. Son mantra : décomplexer les femmes et les libérer du culte de la minceur. Un grand merci à Louise pour cela !

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Notons que Louise Aubéry apparaît également, aux côtés de trois autres influenceuses (@girl_go_green, @douzefevrier, @jenesuispasjoli), dans le documentaire intitulé ‘La vraie vie des influenceuses’, diffusé ce vendredi 26 février à 22h50 sur la chaine Téva.

7 questions à Louise Aubéry, créatrice de la marque de lingerie ‘Je ne sais quoi’ !

Louise, pourquoi as-tu choisi de créer une marque de lingerie en particulier ?

J’ai choisi de créer une marque de lingerie car je voulais répondre à un problème que je rencontrais moi-même. Je peinais à trouver des sous-vêtements à la fois confortables et flatteurs. De plus, il était rare de trouver des produits respectueux de la planète et de la diversité des corps. J’ai toujours entretenu une relation particulière avec la lingerie, et j’ai réalisé que cela me tenait vraiment à cœur de proposer des sous-vêtements responsables, inclusifs, beaux et confortables. Même si je n’ai pas d’expérience dans le milieu de la mode, j’ai décidé de me lancer.

Est-ce que le projet a été difficile à monter ?

Oui, le projet a été extrêmement difficile à mettre en place. Je me suis lancée seule, sans être démarchée par des marques ou soutenue financièrement. Je voulais prendre mes propres décisions et ne faire aucun compromis sur l’éthique. À 23 ans, sans expérience dans le milieu de la mode, je me suis rendu compte que créer une marque de lingerie était un défi de taille. Trouver une usine, s’adapter aux quantités demandées, innover en proposant des sous-vêtements sans couture, respecter les travailleurs, respecter les délais, offrir des produits pour toutes les tailles… autant de difficultés auxquelles j’ai dû faire face.

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Tu aurais des conseils à donner à celles qui ne s’acceptent pas en lingerie ?

Mon principal conseil est de se faire plaisir ! Il est dommage de choisir des sous-vêtements qui plaisent davantage à quelqu’un d’autre qu’à soi-même, et d’oublier ainsi son propre confort et plaisir. Il est important de faire la distinction entre l’image de bien-être imposée par la société et la réalité. Pour moi, la confiance en soi passe avant tout par soi, et non par le regard des autres.

Comment prends-tu du recul face à ton succès qui grandit rapidement ?

Je tiens à rappeler que je ne suis pas une superstar qui a explosé du jour au lendemain. Je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de faire le point car ma notoriété grandit progressivement et j’ai la chance d’être suivie par des personnes de mon âge. Lorsque je croise mes abonnés dans la rue, nous discutons et nous échangeons. Le plus difficile pour moi est de gérer la haine en ligne, car il est impossible de plaire à tout le monde. Je me rappelle que déranger signifie aussi faire avancer les choses. Je n’ai pas besoin de remettre en question ma personne si des gens ne m’apprécient pas ou me critiquent. Je me concentre sur le positif, en restant fidèle à mes valeurs et à mes aspirations.

As-tu un modèle qui t’a influencée dans ton parcours ?

Non, je n’avais pas de modèle ni d’encouragement familial pour me lancer dans ce que je fais. Bien que j’aie rencontré des entrepreneurs qui m’ont inspirée et encouragée, je n’ai pas de personne en tête à qui je pourrais dire “C’est grâce à elle que j’en suis là aujourd’hui”. Il est important de se rappeler que la seule personne dont nous avons besoin pour réussir, c’est nous-même.

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Comment arrives-tu à concilier ta vie d’étudiante et d’entrepreneuse ?

C’est clairement difficile ! Des choix doivent être faits. En première année de Master, j’essayais de profiter pleinement de ma vie étudiante tout en développant mes projets, mais je n’avais pas encore créé ma marque de lingerie. J’ai pris une année de césure spécifiquement pour développer ‘Je ne sais quoi’ et m’y consacrer pleinement, en pensant que je pourrais la lancer pendant cette période. Malheureusement, cela n’a pas été le cas. J’ai commencé ma deuxième année de Master avec ‘Je ne sais quoi’ déjà lancé, ce qui a été très difficile. Heureusement, les cours se sont déroulés à distance, il n’y avait pas de vie étudiante à gérer, et j’ai pu me concentrer entièrement sur mon projet.

D’autres projets à venir ?

J’ai un projet fou qui sortira en avril sur ma chaîne YouTube, mais je préfère le garder secret pour le moment. J’écris également un livre, mais je trouve difficile de trouver le temps de le faire comme il se doit. Je veux prendre le temps nécessaire pour le réaliser correctement. Ce livre aidera les femmes à déconstruire les idées préconçues qui leur sont imposées et à prendre le pouvoir dans leur vie. C’est vraiment mon mantra !

Pour plus d’informations, rendez-vous sur jenesaisquoiofficiel.fr.

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