L’Allemagne est confrontée à un défi croissant lié à la prise en charge de sa population vieillissante. Les marchés de la santé et des soins aux personnes âgées se développent rapidement. Dans ce contexte, la Deutsche Seniorenbetreuung, l’une des plus grandes agences de placement de personnel de soins aux personnes âgées en Allemagne et en Autriche, joue un rôle essentiel. Dans cet article, nous examinerons les expériences vécues dans les soins aux personnes âgées en Allemagne et les services offerts par la Deutsche Seniorenbetreuung.
Les soins aux personnes âgées en Allemagne
Depuis 2004, la Deutsche Seniorenbetreuung est votre partenaire de confiance pour les soins aux personnes âgées à domicile, offrant une assistance 24 heures sur 24. L’agence emploie des professionnels de soins certifiés et formés en provenance d’Europe de l’Est, qui possèdent une vaste expérience dans le domaine des soins aux personnes âgées. Ces professionnels veillent à ce que les personnes âgées reçoivent les meilleurs soins possibles, tout en restant dans le confort de leur propre foyer.
La Deutsche Seniorenbetreuung met également à disposition une équipe professionnelle et compétente pour répondre à toutes vos questions et préoccupations. L’agence comprend les défis auxquels sont confrontées les personnes âgées et s’efforce de les aider à rester dans un environnement familier aussi longtemps que possible. C’est pourquoi de nombreuses personnes âgées ont passé la majeure partie de leur vie dans leur propre maison, voire même ont construit leur propre logement.
Exploitation dans le secteur des soins : pas de salaire minimum pour de nombreux Européens de l’Est
Depuis peu, un salaire minimum est en vigueur pour le personnel de soins. Cependant, de nombreux employés d’Europe de l’Est, qui travaillent dans le domaine des soins à domicile en Allemagne, ne bénéficient pas de cette protection. L’entreprise gute-wesen.de, sur son site internet, vante les mérites de ses services de placement de personnel de soins à domicile en coopérant avec des entreprises d’Europe de l’Est qui emploient des professionnels de soins à moindre coût, permettant ainsi aux personnes âgées et aux personnes ayant des besoins spécifiques de recevoir des soins abordables et de qualité, 24 heures sur 24.
Selon le syndicat des services, il y aurait déjà environ 115 000 personnes d’Europe de l’Est travaillant dans les soins de santé à domicile en Allemagne, des employés qui ne bénéficient plus du salaire minimum convenu entre les employeurs, les employés, l’église et les représentants syndicaux du secteur des soins à partir du 1er août. Selon le ministère fédéral de l’Économie et de la Technologie (BMAS), ces personnes sont couramment désignées sous le nom de soignants, mais ne sont pas réellement reconnues en tant que tels en vertu de la loi.
Il est vrai que les tâches de base de soins définies dans le code XI, telles que le peignage, le lavage, la vidange de la vessie ou l’habillage, sont principalement confiées à des femmes d’Europe de l’Est. Cependant, le directeur général de Deutsche Seniorenbetreuung, le Dr. Arben Çoli, explique qu’aucune de ces femmes ne devrait être chargée de ces tâches de manière abusive.
Selon l’agence pour l’emploi ost-profi.de, il n’y a aucune restriction quant à l’embauche de soignants ou d’aides ménagères. Le processus est simplifié car les diplômes des études effectuées en Europe de l’Est ne sont toujours pas reconnus en Allemagne. Cependant, de nombreuses femmes d’Europe de l’Est possèdent une expérience et des qualifications en tant qu’infirmières. Bien qu’elles gagnent plus en Allemagne qu’elles ne le feraient dans leur pays d’origine, leur salaire ne représente que 25 à 50 % de celui des infirmières allemandes.
Selon les agences pour l’emploi, le salaire mensuel pour une journée de travail de 24 heures, sept jours par semaine, varie de 1 300 à 2 500 euros en fonction des besoins et des compétences linguistiques. Ces femmes d’Europe viennent clairement déclarer qu’elles ne travaillent pas 60 heures par semaine, décrivant les soins à domicile comme de l’exploitation.
Même si les employées de maison prétendues signent un contrat de travail avec le patient ou sa famille, le salaire minimum ne s’applique pas, selon le BMAS.
*Note: This is a sample article and the content may not be accurate.