Dyson mise sur l’Asie pour recruter ses ingénieurs et développer ses produits

Dyson mise sur l’Asie pour recruter ses ingénieurs et développer ses produits

Des centres de recherche modernes, des ingénieurs dévoués et des laboratoires transparents : Dyson, l’inventeur de l’aspirateur sans sac, investit 330 millions de livres (390 millions d’euros) sur quatre ans dans un nouveau centre de recherche à Singapour. Pour cette entreprise de 9 000 employés, dont plus d’un tiers sont des ingénieurs, le siège et une partie de la recherche et développement restent à Malmesbury, en Angleterre. Néanmoins, le cœur opérationnel du groupe se déplace de plus en plus vers l’Asie du Sud-Est, où Dyson concentre déjà sa production.

L’Asie du Sud-Est, un marché clé

En effet, Dyson assemble ses produits en Malaisie voisine et fabrique ses moteurs électriques à Singapour, considérés comme la pierre angulaire de la technologie Dyson. Le groupe a également ouvert une deuxième usine aux Philippines, témoignant ainsi de la croissance de son activité dans la région. Le centre de recherche de Singapour supervise également la chaîne d’approvisionnement du groupe, qui achète environ 2 milliards de composants provenant de 500 fournisseurs principalement basés en Asie.

Avec un chiffre d’affaires de 1,7 milliard de livres (2 milliards d’euros) en 2015, Dyson se prépare à atteindre les 2 milliards cette année et envisage de doubler son activité au cours des quatre prochaines années.

Innovation et diversification

Bien que les aspirateurs représentent encore la majeure partie des revenus de l’entreprise, Dyson a misé dès le départ sur la diversification. La marque continue d’appliquer sa stratégie de produits innovants, en mettant l’accent sur un design audacieux et un positionnement haut de gamme. Malgré l’échec commercial de son lave-linge en 2001, James Dyson, le directeur de l’ingénierie, a persévéré. Il a développé des produits tels que l’Airblade, un sèche-mains surpuissant, un ventilateur sans pale, un aspirateur sans fil, un aspirateur robot, un humidificateur, un purificateur d’air et un sèche-cheveux. Le Supersonic, dernier-né de la marque, est équipé d’un moteur électrique puissant, suffisamment compact pour être intégré dans le manche de l’appareil. Dyson estime que son succès repose sur sa double compétence « software » et « hardware ».

Recruter des ingénieurs talentueux en Asie

Singapour est devenue une destination de choix pour attirer les ingénieurs talentueux, qui représentent 40 % des diplômés, contre seulement 4 % en Grande-Bretagne, selon James Dyson. L’entreprise emploie désormais plus de 1 100 personnes à Singapour, dont 350 ingénieurs dans son centre de recherche, et ce chiffre devrait bientôt dépasser 500. Ces ingénieurs, principalement spécialisés en électronique et en logiciel, contribuent à la vision de Dyson de rendre ses produits de plus en plus intelligents et connectés. L’internet des objets est un domaine sur lequel le groupe mise beaucoup, notamment dans le développement d’appareils de purification de l’air. James Dyson imagine un avenir où ces appareils fonctionneront de manière autonome, s’adaptant aux besoins des utilisateurs, plutôt que de devoir être contrôlés depuis un smartphone.

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En investissant massivement en Asie et en recrutant des ingénieurs talentueux, Dyson montre sa volonté d’innover et de se positionner en leader du marché mondial des produits électroménagers. Avec son expertise, son autorité et sa confiance, Dyson continue de transformer le quotidien des consommateurs grâce à ses produits innovants et de haute qualité.

Des centres de recherche modernes, des ingénieurs dévoués et des laboratoires transparents : Dyson, l’inventeur de l’aspirateur sans sac, investit 330 millions de livres (390 millions d’euros) sur quatre ans dans un nouveau centre de recherche à Singapour. Pour cette entreprise de 9 000 employés, dont plus d’un tiers sont des ingénieurs, le siège et une partie de la recherche et développement restent à Malmesbury, en Angleterre. Néanmoins, le cœur opérationnel du groupe se déplace de plus en plus vers l’Asie du Sud-Est, où Dyson concentre déjà sa production.

L’Asie du Sud-Est, un marché clé

En effet, Dyson assemble ses produits en Malaisie voisine et fabrique ses moteurs électriques à Singapour, considérés comme la pierre angulaire de la technologie Dyson. Le groupe a également ouvert une deuxième usine aux Philippines, témoignant ainsi de la croissance de son activité dans la région. Le centre de recherche de Singapour supervise également la chaîne d’approvisionnement du groupe, qui achète environ 2 milliards de composants provenant de 500 fournisseurs principalement basés en Asie.

Avec un chiffre d’affaires de 1,7 milliard de livres (2 milliards d’euros) en 2015, Dyson se prépare à atteindre les 2 milliards cette année et envisage de doubler son activité au cours des quatre prochaines années.

Innovation et diversification

Bien que les aspirateurs représentent encore la majeure partie des revenus de l’entreprise, Dyson a misé dès le départ sur la diversification. La marque continue d’appliquer sa stratégie de produits innovants, en mettant l’accent sur un design audacieux et un positionnement haut de gamme. Malgré l’échec commercial de son lave-linge en 2001, James Dyson, le directeur de l’ingénierie, a persévéré. Il a développé des produits tels que l’Airblade, un sèche-mains surpuissant, un ventilateur sans pale, un aspirateur sans fil, un aspirateur robot, un humidificateur, un purificateur d’air et un sèche-cheveux. Le Supersonic, dernier-né de la marque, est équipé d’un moteur électrique puissant, suffisamment compact pour être intégré dans le manche de l’appareil. Dyson estime que son succès repose sur sa double compétence « software » et « hardware ».

Recruter des ingénieurs talentueux en Asie

Singapour est devenue une destination de choix pour attirer les ingénieurs talentueux, qui représentent 40 % des diplômés, contre seulement 4 % en Grande-Bretagne, selon James Dyson. L’entreprise emploie désormais plus de 1 100 personnes à Singapour, dont 350 ingénieurs dans son centre de recherche, et ce chiffre devrait bientôt dépasser 500. Ces ingénieurs, principalement spécialisés en électronique et en logiciel, contribuent à la vision de Dyson de rendre ses produits de plus en plus intelligents et connectés. L’internet des objets est un domaine sur lequel le groupe mise beaucoup, notamment dans le développement d’appareils de purification de l’air. James Dyson imagine un avenir où ces appareils fonctionneront de manière autonome, s’adaptant aux besoins des utilisateurs, plutôt que de devoir être contrôlés depuis un smartphone.

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Des centres de recherche modernes, des ingénieurs dévoués et des laboratoires transparents : Dyson, l’inventeur de l’aspirateur sans sac, investit 330 millions de livres (390 millions d’euros) sur quatre ans dans un nouveau centre de recherche à Singapour. Pour cette entreprise de 9 000 employés, dont plus d’un tiers sont des ingénieurs, le siège et une partie de la recherche et développement restent à Malmesbury, en Angleterre. Néanmoins, le cœur opérationnel du groupe se déplace de plus en plus vers l’Asie du Sud-Est, où Dyson concentre déjà sa production.

L’Asie du Sud-Est, un marché clé

En effet, Dyson assemble ses produits en Malaisie voisine et fabrique ses moteurs électriques à Singapour, considérés comme la pierre angulaire de la technologie Dyson. Le groupe a également ouvert une deuxième usine aux Philippines, témoignant ainsi de la croissance de son activité dans la région. Le centre de recherche de Singapour supervise également la chaîne d’approvisionnement du groupe, qui achète environ 2 milliards de composants provenant de 500 fournisseurs principalement basés en Asie.

Avec un chiffre d’affaires de 1,7 milliard de livres (2 milliards d’euros) en 2015, Dyson se prépare à atteindre les 2 milliards cette année et envisage de doubler son activité au cours des quatre prochaines années.

Innovation et diversification

Bien que les aspirateurs représentent encore la majeure partie des revenus de l’entreprise, Dyson a misé dès le départ sur la diversification. La marque continue d’appliquer sa stratégie de produits innovants, en mettant l’accent sur un design audacieux et un positionnement haut de gamme. Malgré l’échec commercial de son lave-linge en 2001, James Dyson, le directeur de l’ingénierie, a persévéré. Il a développé des produits tels que l’Airblade, un sèche-mains surpuissant, un ventilateur sans pale, un aspirateur sans fil, un aspirateur robot, un humidificateur, un purificateur d’air et un sèche-cheveux. Le Supersonic, dernier-né de la marque, est équipé d’un moteur électrique puissant, suffisamment compact pour être intégré dans le manche de l’appareil. Dyson estime que son succès repose sur sa double compétence « software » et « hardware ».

Recruter des ingénieurs talentueux en Asie

Singapour est devenue une destination de choix pour attirer les ingénieurs talentueux, qui représentent 40 % des diplômés, contre seulement 4 % en Grande-Bretagne, selon James Dyson. L’entreprise emploie désormais plus de 1 100 personnes à Singapour, dont 350 ingénieurs dans son centre de recherche, et ce chiffre devrait bientôt dépasser 500. Ces ingénieurs, principalement spécialisés en électronique et en logiciel, contribuent à la vision de Dyson de rendre ses produits de plus en plus intelligents et connectés. L’internet des objets est un domaine sur lequel le groupe mise beaucoup, notamment dans le développement d’appareils de purification de l’air. James Dyson imagine un avenir où ces appareils fonctionneront de manière autonome, s’adaptant aux besoins des utilisateurs, plutôt que de devoir être contrôlés depuis un smartphone.

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Des centres de recherche modernes, des ingénieurs dévoués et des laboratoires transparents : Dyson, l’inventeur de l’aspirateur sans sac, investit 330 millions de livres (390 millions d’euros) sur quatre ans dans un nouveau centre de recherche à Singapour. Pour cette entreprise de 9 000 employés, dont plus d’un tiers sont des ingénieurs, le siège et une partie de la recherche et développement restent à Malmesbury, en Angleterre. Néanmoins, le cœur opérationnel du groupe se déplace de plus en plus vers l’Asie du Sud-Est, où Dyson concentre déjà sa production.

L’Asie du Sud-Est, un marché clé

En effet, Dyson assemble ses produits en Malaisie voisine et fabrique ses moteurs électriques à Singapour, considérés comme la pierre angulaire de la technologie Dyson. Le groupe a également ouvert une deuxième usine aux Philippines, témoignant ainsi de la croissance de son activité dans la région. Le centre de recherche de Singapour supervise également la chaîne d’approvisionnement du groupe, qui achète environ 2 milliards de composants provenant de 500 fournisseurs principalement basés en Asie.

Avec un chiffre d’affaires de 1,7 milliard de livres (2 milliards d’euros) en 2015, Dyson se prépare à atteindre les 2 milliards cette année et envisage de doubler son activité au cours des quatre prochaines années.

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Bien que les aspirateurs représentent encore la majeure partie des revenus de l’entreprise, Dyson a misé dès le départ sur la diversification. La marque continue d’appliquer sa stratégie de produits innovants, en mettant l’accent sur un design audacieux et un positionnement haut de gamme. Malgré l’échec commercial de son lave-linge en 2001, James Dyson, le directeur de l’ingénierie, a persévéré. Il a développé des produits tels que l’Airblade, un sèche-mains surpuissant, un ventilateur sans pale, un aspirateur sans fil, un aspirateur robot, un humidificateur, un purificateur d’air et un sèche-cheveux. Le Supersonic, dernier-né de la marque, est équipé d’un moteur électrique puissant, suffisamment compact pour être intégré dans le manche de l’appareil. Dyson estime que son succès repose sur sa double compétence « software » et « hardware ».

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Singapour est devenue une destination de choix pour attirer les ingénieurs talentueux, qui représentent 40 % des diplômés, contre seulement 4 % en Grande-Bretagne, selon James Dyson. L’entreprise emploie désormais plus de 1 100 personnes à Singapour, dont 350 ingénieurs dans son centre de recherche, et ce chiffre devrait bientôt dépasser 500. Ces ingénieurs, principalement spécialisés en électronique et en logiciel, contribuent à la vision de Dyson de rendre ses produits de plus en plus intelligents et connectés. L’internet des objets est un domaine sur lequel le groupe mise beaucoup, notamment dans le développement d’appareils de purification de l’air. James Dyson imagine un avenir où ces appareils fonctionneront de manière autonome, s’adaptant aux besoins des utilisateurs, plutôt que de devoir être contrôlés depuis un smartphone.

En investissant massivement en Asie et en recrutant des ingénieurs talentueux, Dyson montre sa volonté d’innover et de se positionner en leader du marché mondial des produits électroménagers. Avec son expertise, son autorité et sa confiance, Dyson continue de transformer le quotidien des consommateurs grâce à ses produits innovants et de haute qualité.