L’Audi A1 est de retour avec une gamme simplifiée de trois modèles, chacun équipé de différents moteurs turbo essence. Les prix débutent à 32 350 $ avant les frais de route pour l’A1 30 TFSI, augmentent à 35 290 $ pour le modèle 35 TFSI testé ici, et culminent à 46 450 $ pour le modèle 40 TFSI S line. Malheureusement pour les amateurs de sportives, la puissante S1 ne sera pas proposée dans sa version de deuxième génération en raison du coût de l’ingénierie de transmission intégrale quattro pour ce châssis.
L’A1 est unique en son genre – les rivaux archi-connus, BMW et Mercedes-Benz, ne proposent pas d’alternative directe. Cependant, elle est en concurrence avec la Mini cinq-portes (31 500 $ – 41 950 $). On peut également considérer trois modèles français – la Citroën C3, la Peugeot 208 et la Renault Clio – comme des concurrents potentiels.
Maintenant basée sur la plate-forme MQB omniprésente du groupe Volkswagen, l’A1 a grandi par rapport à l’originale. Elle est plus longue de 56 mm et son empattement est allongé de 94 mm, offrant ainsi plus d’espace intérieur. Le coffre est également agrandi de 65 litres pour atteindre 335 litres, ce qui est plus que celui de la Mazda3, qui est pourtant une taille supérieure. Cependant, il n’y a pas de roue de secours, seulement un kit de réparation pour crevaison sous le plancher du coffre.
L’A1 peut sembler petite de l’extérieur, mais l’espace intérieur est remarquablement utilisable, en particulier à l’arrière. Il y a beaucoup d’espace pour la tête dans la deuxième rangée et un espace aux pieds correct, bien que l’espace aux genoux soit un peu restreint. Les passagers arrière ne disposent pas de bouches d’aération, de pochettes de rangement ou d’un accoudoir central, mais les sièges arrière sont rabattables selon un rapport 60/40.
Le style extérieur audacieux se retrouve à l’intérieur, avec des angles et des formes intéressants utilisés pour la planche de bord et les portes. L’habitacle ne semble pas particulièrement luxueux, notamment en raison de certains plastiques durs, mais il est moderne. La position de conduite est excellente et le petit volant en cuir à trois branches est charmant. De nombreux éléments de la planche de bord, y compris l’écran tactile haptique de 8,8 pouces, sont inclinés vers le conducteur pour un accès plus facile. Le dernier système d’infodivertissement d’Audi est facile à utiliser grâce à une disposition de menu simple.
Les sièges avant sont un peu plats, mais ils sont à la fois fermes et confortables. Le modèle 35 TFSI bénéficie également d’une belle finition en tissu. Les sièges en cuir ne sont proposés que dans le cadre d’un pack d’options pour le modèle 40 TFSI.