Après avoir terminé ses études secondaires, de nombreux jeunes sont intéressés par une carrière dans le domaine bancaire. Les grandes banques suisses, comme UBS, offrent d’excellentes opportunités pour les apprentis. Cependant, avoir de bons résultats scolaires, une capacité de pensée logique, un intérêt pour les sujets bancaires, du courage et de l’engagement sont des prérequis indispensables. L’apprentissage chez UBS dure trois ans et se termine par l’obtention du “Certificat de capacité fédéral de banquier”.
Les banques encouragent leurs apprentis
De nos jours, les apprentis ont de plus en plus la possibilité d’obtenir un diplôme d’une haute école spécialisée ou d’approfondir leurs connaissances en langues étrangères pendant leur formation. Ils peuvent également poursuivre leurs études pour obtenir une maturité professionnelle ou participer au programme d’aide aux jeunes recrues d’UBS. Dans le cadre du projet de coopération de formation de la nouvelle génération de l’Association Suisse des Banquiers, les banques participantes ont créé l’association “Center for Young Professionals in Banking” (CYP), offrant ainsi aux jeunes la possibilité de se former dans le domaine bancaire.
Après leur formation, la nouvelle génération a toute une gamme de perspectives de promotion selon leurs intérêts. Chantal Garamszhegi-Braegger, directrice du recrutement des diplômés chez UBS, souligne que l’apprentissage ne se limite pas à des tâches simples. Les possibilités de carrière sont discutées dès le début et régulièrement au cours de la carrière. En effet, un apprenti bancaire termine sa formation à l’âge de 18 ans, tandis qu’un diplômé universitaire a environ 25 ans, ce qui signifie que l’apprenti a déjà sept ans d’expérience.
Des opportunités de carrière dans divers domaines
En fonction de leurs compétences, les apprentis peuvent gravir les échelons de leur carrière. Les meilleures opportunités se trouvent dans le conseil, qui nécessite des compétences en communication et en relations sociales. En dehors des domaines bancaires traditionnels tels que les prêts hypothécaires, les crédits, la gestion de patrimoine ou l’immobilier, il existe également des opportunités de carrière dans les ressources humaines et l’informatique. Chez UBS, 20 % des apprentis sont encouragés et formés pendant une année supplémentaire après leur apprentissage.
Des filières spécifiques pour les banques
Ceux qui préfèrent faire des études plutôt qu’un apprentissage ont également des possibilités intéressantes dans le domaine bancaire. Par exemple, la Haute École spécialisée de technologie, d’économie et de travail social de Saint-Gall propose un programme d’économie d’entreprise avec une spécialisation en “banking & finance” après les deux premières années d’études.
Les banques suisses recherchent constamment de jeunes diplômés. Rien qu’à Zurich, on estime que près de 1000 jeunes diplômés sont recrutés chaque année dans le secteur financier. De plus, de nombreux diplômés sont envoyés sur de nouveaux marchés, principalement en Asie et en Europe de l’Est. Chez UBS, cela représente environ 800 employés.
Les informaticiens et les juristes ont également leur chance
Cependant, les jeunes diplômés suisses n’ont pas nécessairement besoin d’avoir fait des études d’économie pour travailler dans le secteur bancaire. Les banques recrutent désormais des candidats issus de presque tous les domaines, y compris des diplômés de l’école polytechnique fédérale. En plus des diplômés en gestion d’entreprise, les spécialistes des sciences humaines et littéraires, les informaticiens, les juristes, les sociologues, les économistes et les spécialistes en économie d’entreprise sont recherchés.
De grandes exigences pour les candidats
Lors du processus de sélection des candidats, de nombreuses banques accordent plus d’importance à la phase de présélection plutôt qu’au traditionnel assessment center. Cette présélection consiste principalement à évaluer les candidatures et à effectuer des tests en ligne. Les départements des ressources humaines prêtent attention à l’intérêt pour le secteur bancaire, au commerce, aux compétences relationnelles et à la volonté d’apprendre et d’approfondir ses connaissances linguistiques. Les compétences relationnelles sont particulièrement importantes pour les conseillers clientèle, qui sont actuellement très recherchés.
Une évaluation individuelle pour le début de carrière
Les postes de débutants classiques que l’on trouve en Allemagne sont rares, surtout dans les grandes banques. Les jeunes diplômés passent généralement par un programme de formation dans différents départements, mais c’est finalement une évaluation individuelle qui décide du département dans lequel ils commenceront leur carrière.
De plus, de nombreuses possibilités de formation continue sont offertes après le début de la carrière, que ce soit à l’étranger, pour améliorer ses compétences linguistiques et sociales ou pour suivre des études postuniversitaires intéressantes. Les programmes de master dans le domaine bancaire et financier sont particulièrement populaires.
Changer de carrière : des pianistes dans le service clientèle
Ceux qui décident de changer de carrière et de se lancer dans le secteur bancaire en tant que “professionnels expérimentés” viennent souvent d’autres secteurs tels que les assurances, la fiducie ou l’informatique. Les séjours à l’étranger, les programmes de formation continue de type executive-master ou les diplômes en alternance sont autant d’éléments attractifs pour ces candidats.
Certaines banques vont même jusqu’à recruter des employés en dehors du profil classique s’ils présentent des intérêts et des affinités pour des activités pour lesquelles des compétences sociales sont particulièrement importantes. Dans ces cas, les connaissances et les compétences professionnelles sont enseignées sur le tas et lors de séminaires. Récemment, UBS a recruté une pianiste en Asie pour conseiller sa clientèle. Les experts pensent que cette tendance va se développer de plus en plus.
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Après avoir terminé ses études secondaires, de nombreux jeunes sont intéressés par une carrière dans le domaine bancaire. Les grandes banques suisses, comme UBS, offrent d’excellentes opportunités pour les apprentis. Cependant, avoir de bons résultats scolaires, une capacité de pensée logique, un intérêt pour les sujets bancaires, du courage et de l’engagement sont des prérequis indispensables. L’apprentissage chez UBS dure trois ans et se termine par l’obtention du “Certificat de capacité fédéral de banquier”.
Les banques encouragent leurs apprentis
De nos jours, les apprentis ont de plus en plus la possibilité d’obtenir un diplôme d’une haute école spécialisée ou d’approfondir leurs connaissances en langues étrangères pendant leur formation. Ils peuvent également poursuivre leurs études pour obtenir une maturité professionnelle ou participer au programme d’aide aux jeunes recrues d’UBS. Dans le cadre du projet de coopération de formation de la nouvelle génération de l’Association Suisse des Banquiers, les banques participantes ont créé l’association “Center for Young Professionals in Banking” (CYP), offrant ainsi aux jeunes la possibilité de se former dans le domaine bancaire.
Après leur formation, la nouvelle génération a toute une gamme de perspectives de promotion selon leurs intérêts. Chantal Garamszhegi-Braegger, directrice du recrutement des diplômés chez UBS, souligne que l’apprentissage ne se limite pas à des tâches simples. Les possibilités de carrière sont discutées dès le début et régulièrement au cours de la carrière. En effet, un apprenti bancaire termine sa formation à l’âge de 18 ans, tandis qu’un diplômé universitaire a environ 25 ans, ce qui signifie que l’apprenti a déjà sept ans d’expérience.
Des opportunités de carrière dans divers domaines
En fonction de leurs compétences, les apprentis peuvent gravir les échelons de leur carrière. Les meilleures opportunités se trouvent dans le conseil, qui nécessite des compétences en communication et en relations sociales. En dehors des domaines bancaires traditionnels tels que les prêts hypothécaires, les crédits, la gestion de patrimoine ou l’immobilier, il existe également des opportunités de carrière dans les ressources humaines et l’informatique. Chez UBS, 20 % des apprentis sont encouragés et formés pendant une année supplémentaire après leur apprentissage.
Des filières spécifiques pour les banques
Ceux qui préfèrent faire des études plutôt qu’un apprentissage ont également des possibilités intéressantes dans le domaine bancaire. Par exemple, la Haute École spécialisée de technologie, d’économie et de travail social de Saint-Gall propose un programme d’économie d’entreprise avec une spécialisation en “banking & finance” après les deux premières années d’études.
Les banques suisses recherchent constamment de jeunes diplômés. Rien qu’à Zurich, on estime que près de 1000 jeunes diplômés sont recrutés chaque année dans le secteur financier. De plus, de nombreux diplômés sont envoyés sur de nouveaux marchés, principalement en Asie et en Europe de l’Est. Chez UBS, cela représente environ 800 employés.
Les informaticiens et les juristes ont également leur chance
Cependant, les jeunes diplômés suisses n’ont pas nécessairement besoin d’avoir fait des études d’économie pour travailler dans le secteur bancaire. Les banques recrutent désormais des candidats issus de presque tous les domaines, y compris des diplômés de l’école polytechnique fédérale. En plus des diplômés en gestion d’entreprise, les spécialistes des sciences humaines et littéraires, les informaticiens, les juristes, les sociologues, les économistes et les spécialistes en économie d’entreprise sont recherchés.
De grandes exigences pour les candidats
Lors du processus de sélection des candidats, de nombreuses banques accordent plus d’importance à la phase de présélection plutôt qu’au traditionnel assessment center. Cette présélection consiste principalement à évaluer les candidatures et à effectuer des tests en ligne. Les départements des ressources humaines prêtent attention à l’intérêt pour le secteur bancaire, au commerce, aux compétences relationnelles et à la volonté d’apprendre et d’approfondir ses connaissances linguistiques. Les compétences relationnelles sont particulièrement importantes pour les conseillers clientèle, qui sont actuellement très recherchés.
Une évaluation individuelle pour le début de carrière
Les postes de débutants classiques que l’on trouve en Allemagne sont rares, surtout dans les grandes banques. Les jeunes diplômés passent généralement par un programme de formation dans différents départements, mais c’est finalement une évaluation individuelle qui décide du département dans lequel ils commenceront leur carrière.
De plus, de nombreuses possibilités de formation continue sont offertes après le début de la carrière, que ce soit à l’étranger, pour améliorer ses compétences linguistiques et sociales ou pour suivre des études postuniversitaires intéressantes. Les programmes de master dans le domaine bancaire et financier sont particulièrement populaires.
Changer de carrière : des pianistes dans le service clientèle
Ceux qui décident de changer de carrière et de se lancer dans le secteur bancaire en tant que “professionnels expérimentés” viennent souvent d’autres secteurs tels que les assurances, la fiducie ou l’informatique. Les séjours à l’étranger, les programmes de formation continue de type executive-master ou les diplômes en alternance sont autant d’éléments attractifs pour ces candidats.
Certaines banques vont même jusqu’à recruter des employés en dehors du profil classique s’ils présentent des intérêts et des affinités pour des activités pour lesquelles des compétences sociales sont particulièrement importantes. Dans ces cas, les connaissances et les compétences professionnelles sont enseignées sur le tas et lors de séminaires. Récemment, UBS a recruté une pianiste en Asie pour conseiller sa clientèle. Les experts pensent que cette tendance va se développer de plus en plus.
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