Investir dans l’or: comment acheter de l’or papier

Investir dans l’or: comment acheter de l’or papier

Il existe différentes manières d’investir dans le métal jaune. En achetant des lingots et des pièces, également connu sous le nom d’”or physique”. Mais vous pouvez aussi acheter des actions de sociétés aurifères, des trackers et des certificats, ce qu’on appelle l’”or papier”.

Les différentes formes de l’or papier

L’or papier peut prendre différentes formes :

  • Actions de sociétés aurifères qui exploitent des mines d’or et vendent leur production sur le marché.
  • Fonds aurifères, qui sont des SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable) et des FCP (Fonds communs de Placement) investis en actions de sociétés aurifères.
  • Certificats et trackers qui répliquent la performance du cours de l’once d’or.

Comment acheter de l’or papier?

Pour investir dans l’or papier, vous pouvez acheter et vendre des actions, des parts de fonds ou des produits dérivés tels que des certificats et des trackers. En pratique, vous passez vos ordres d’achat et de vente comme si vous achetiez ou vendiez une action.

L’achat d’actions de mines d’or ou de fonds spécialisés ne pose aucun problème en termes de sécurité, car il s’agit d’actifs tangibles, c’est-à-dire des parts du capital d’une entreprise dont vous devenez propriétaire.

En revanche, les trackers et les certificats sont différents. Théoriquement, les trackers sont adossés à de l’or physique, ce qui les rend sûrs. Cependant, il y a un risque que l’actif du tracker, c’est-à-dire son stock d’or physique, se sépare trop du passif, c’est-à-dire des souscriptions. Il est donc important de se renseigner sur les pratiques des émetteurs de ces produits avant d’investir.

Quant aux certificats, ils se contentent de reproduire le parcours de l’once en dollars ou en euros. Aucun actif tangible ne garantit la valeur du certificat. En cas de faillite de l’émetteur, l’investisseur ayant acheté un certificat prend le risque de perdre sa mise.

La fiscalité de l’or papier

La fiscalité applicable à l’or papier est celle des revenus et des plus-values de cession des valeurs mobilières. Depuis le 1er janvier 2018, les plus-values sont taxées par défaut au titre du Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30%.

Cependant, vous avez la possibilité d’opter pour une taxation au titre de l’Impôt sur le Revenu (IR). Dans ce cas, vos gains seront imposés selon votre Taux Marginal d’Imposition (TMI). Les prélèvements sociaux (17,2%) sont dus dès le premier euro de gain.

À noter que les actions de mines d’or éligibles au Plan d’Épargne en Action (PEA) sont très peu nombreuses. Les trackers et les certificats adossés à l’or ne peuvent pas être acquis dans le cadre du PEA.

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L’or papier peut prendre différentes formes, telles que des actions de sociétés aurifères, des fonds aurifères, des certificats et des trackers. Ces actifs s’achètent et se vendent comme des actions. La fiscalité sur les plus-values est d’ailleurs la même. Cependant, les certificats et les trackers peuvent poser des problèmes de contrepartie.

Il existe différentes manières d’investir dans le métal jaune. En achetant des lingots et des pièces, également connu sous le nom d’”or physique”. Mais vous pouvez aussi acheter des actions de sociétés aurifères, des trackers et des certificats, ce qu’on appelle l’”or papier”.

Les différentes formes de l’or papier

L’or papier peut prendre différentes formes :

  • Actions de sociétés aurifères qui exploitent des mines d’or et vendent leur production sur le marché.
  • Fonds aurifères, qui sont des SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable) et des FCP (Fonds communs de Placement) investis en actions de sociétés aurifères.
  • Certificats et trackers qui répliquent la performance du cours de l’once d’or.

Comment acheter de l’or papier?

Pour investir dans l’or papier, vous pouvez acheter et vendre des actions, des parts de fonds ou des produits dérivés tels que des certificats et des trackers. En pratique, vous passez vos ordres d’achat et de vente comme si vous achetiez ou vendiez une action.

L’achat d’actions de mines d’or ou de fonds spécialisés ne pose aucun problème en termes de sécurité, car il s’agit d’actifs tangibles, c’est-à-dire des parts du capital d’une entreprise dont vous devenez propriétaire.

En revanche, les trackers et les certificats sont différents. Théoriquement, les trackers sont adossés à de l’or physique, ce qui les rend sûrs. Cependant, il y a un risque que l’actif du tracker, c’est-à-dire son stock d’or physique, se sépare trop du passif, c’est-à-dire des souscriptions. Il est donc important de se renseigner sur les pratiques des émetteurs de ces produits avant d’investir.

Quant aux certificats, ils se contentent de reproduire le parcours de l’once en dollars ou en euros. Aucun actif tangible ne garantit la valeur du certificat. En cas de faillite de l’émetteur, l’investisseur ayant acheté un certificat prend le risque de perdre sa mise.

La fiscalité de l’or papier

La fiscalité applicable à l’or papier est celle des revenus et des plus-values de cession des valeurs mobilières. Depuis le 1er janvier 2018, les plus-values sont taxées par défaut au titre du Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30%.

Cependant, vous avez la possibilité d’opter pour une taxation au titre de l’Impôt sur le Revenu (IR). Dans ce cas, vos gains seront imposés selon votre Taux Marginal d’Imposition (TMI). Les prélèvements sociaux (17,2%) sont dus dès le premier euro de gain.

À noter que les actions de mines d’or éligibles au Plan d’Épargne en Action (PEA) sont très peu nombreuses. Les trackers et les certificats adossés à l’or ne peuvent pas être acquis dans le cadre du PEA.

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L’or papier peut prendre différentes formes, telles que des actions de sociétés aurifères, des fonds aurifères, des certificats et des trackers. Ces actifs s’achètent et se vendent comme des actions. La fiscalité sur les plus-values est d’ailleurs la même. Cependant, les certificats et les trackers peuvent poser des problèmes de contrepartie.

Il existe différentes manières d’investir dans le métal jaune. En achetant des lingots et des pièces, également connu sous le nom d’”or physique”. Mais vous pouvez aussi acheter des actions de sociétés aurifères, des trackers et des certificats, ce qu’on appelle l’”or papier”.

Les différentes formes de l’or papier

L’or papier peut prendre différentes formes :

  • Actions de sociétés aurifères qui exploitent des mines d’or et vendent leur production sur le marché.
  • Fonds aurifères, qui sont des SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable) et des FCP (Fonds communs de Placement) investis en actions de sociétés aurifères.
  • Certificats et trackers qui répliquent la performance du cours de l’once d’or.

Comment acheter de l’or papier?

Pour investir dans l’or papier, vous pouvez acheter et vendre des actions, des parts de fonds ou des produits dérivés tels que des certificats et des trackers. En pratique, vous passez vos ordres d’achat et de vente comme si vous achetiez ou vendiez une action.

L’achat d’actions de mines d’or ou de fonds spécialisés ne pose aucun problème en termes de sécurité, car il s’agit d’actifs tangibles, c’est-à-dire des parts du capital d’une entreprise dont vous devenez propriétaire.

En revanche, les trackers et les certificats sont différents. Théoriquement, les trackers sont adossés à de l’or physique, ce qui les rend sûrs. Cependant, il y a un risque que l’actif du tracker, c’est-à-dire son stock d’or physique, se sépare trop du passif, c’est-à-dire des souscriptions. Il est donc important de se renseigner sur les pratiques des émetteurs de ces produits avant d’investir.

Quant aux certificats, ils se contentent de reproduire le parcours de l’once en dollars ou en euros. Aucun actif tangible ne garantit la valeur du certificat. En cas de faillite de l’émetteur, l’investisseur ayant acheté un certificat prend le risque de perdre sa mise.

La fiscalité de l’or papier

La fiscalité applicable à l’or papier est celle des revenus et des plus-values de cession des valeurs mobilières. Depuis le 1er janvier 2018, les plus-values sont taxées par défaut au titre du Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30%.

Cependant, vous avez la possibilité d’opter pour une taxation au titre de l’Impôt sur le Revenu (IR). Dans ce cas, vos gains seront imposés selon votre Taux Marginal d’Imposition (TMI). Les prélèvements sociaux (17,2%) sont dus dès le premier euro de gain.

À noter que les actions de mines d’or éligibles au Plan d’Épargne en Action (PEA) sont très peu nombreuses. Les trackers et les certificats adossés à l’or ne peuvent pas être acquis dans le cadre du PEA.

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L’or papier peut prendre différentes formes, telles que des actions de sociétés aurifères, des fonds aurifères, des certificats et des trackers. Ces actifs s’achètent et se vendent comme des actions. La fiscalité sur les plus-values est d’ailleurs la même. Cependant, les certificats et les trackers peuvent poser des problèmes de contrepartie.

Il existe différentes manières d’investir dans le métal jaune. En achetant des lingots et des pièces, également connu sous le nom d’”or physique”. Mais vous pouvez aussi acheter des actions de sociétés aurifères, des trackers et des certificats, ce qu’on appelle l’”or papier”.

Les différentes formes de l’or papier

L’or papier peut prendre différentes formes :

  • Actions de sociétés aurifères qui exploitent des mines d’or et vendent leur production sur le marché.
  • Fonds aurifères, qui sont des SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable) et des FCP (Fonds communs de Placement) investis en actions de sociétés aurifères.
  • Certificats et trackers qui répliquent la performance du cours de l’once d’or.

Comment acheter de l’or papier?

Pour investir dans l’or papier, vous pouvez acheter et vendre des actions, des parts de fonds ou des produits dérivés tels que des certificats et des trackers. En pratique, vous passez vos ordres d’achat et de vente comme si vous achetiez ou vendiez une action.

L’achat d’actions de mines d’or ou de fonds spécialisés ne pose aucun problème en termes de sécurité, car il s’agit d’actifs tangibles, c’est-à-dire des parts du capital d’une entreprise dont vous devenez propriétaire.

En revanche, les trackers et les certificats sont différents. Théoriquement, les trackers sont adossés à de l’or physique, ce qui les rend sûrs. Cependant, il y a un risque que l’actif du tracker, c’est-à-dire son stock d’or physique, se sépare trop du passif, c’est-à-dire des souscriptions. Il est donc important de se renseigner sur les pratiques des émetteurs de ces produits avant d’investir.

Quant aux certificats, ils se contentent de reproduire le parcours de l’once en dollars ou en euros. Aucun actif tangible ne garantit la valeur du certificat. En cas de faillite de l’émetteur, l’investisseur ayant acheté un certificat prend le risque de perdre sa mise.

La fiscalité de l’or papier

La fiscalité applicable à l’or papier est celle des revenus et des plus-values de cession des valeurs mobilières. Depuis le 1er janvier 2018, les plus-values sont taxées par défaut au titre du Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30%.

Cependant, vous avez la possibilité d’opter pour une taxation au titre de l’Impôt sur le Revenu (IR). Dans ce cas, vos gains seront imposés selon votre Taux Marginal d’Imposition (TMI). Les prélèvements sociaux (17,2%) sont dus dès le premier euro de gain.

À noter que les actions de mines d’or éligibles au Plan d’Épargne en Action (PEA) sont très peu nombreuses. Les trackers et les certificats adossés à l’or ne peuvent pas être acquis dans le cadre du PEA.

L’or papier peut prendre différentes formes, telles que des actions de sociétés aurifères, des fonds aurifères, des certificats et des trackers. Ces actifs s’achètent et se vendent comme des actions. La fiscalité sur les plus-values est d’ailleurs la même. Cependant, les certificats et les trackers peuvent poser des problèmes de contrepartie.