Le paysage automobile français a connu une évolution majeure ces dernières années. En effet, la part des voitures neuves diesel est passée de 70% en 2012 à seulement 30,6% en 2020 (source : CCFA). Les raisons de cette diminution sont multiples : prise de conscience environnementale, restrictions de circulation et méfiance envers la revente, mais aussi le scandale du Dieselgate. De plus, la fiscalité avantageuse du diesel, qui avait autrefois contribué à sa popularité, est en train de disparaître.
Dans le domaine des voitures citadines, les moteurs essence prennent tout leur sens. Les consommateurs ont ainsi pu facilement délaisser le diesel, et les constructeurs ont suivi cette tendance. Toutefois, pour les véhicules plus imposants, c’est la motorisation hybride rechargeable qui a tiré son épingle du jeu suite à la chute du diesel. Les ventes de modèles PHEV connaissent une croissance fulgurante. Ces voitures, équipées d’un moteur essence et d’au moins un moteur électrique, peuvent être rechargées pour parcourir environ cinquante kilomètres sans émission polluante. Au-delà de cette distance, elles fonctionnent comme des voitures hybrides classiques (HEV).
Néanmoins, plusieurs études ont montré que la consommation réelle des voitures hybrides rechargeables est bien supérieure à celle annoncée. Ce n’est pas un problème de technologie en soi. La différence s’explique par le fait que les conducteurs de ce type de véhicule rechargent moins souvent leur voiture que ce que prévoient les protocoles d’homologation.
Ces valeurs d’homologation, souvent de l’ordre de 1 à 3 litres/100 km, créent une illusion de consommation difficilement atteignable dans des conditions réelles. Elles oublient le fait qu’un moteur essence, même électrifié, dans une voiture lourde n’est pas une solution miracle à la pompe, surtout s’il n’a pas été spécifiquement conçu pour cet usage. Une fois la batterie déchargée, les véhicules essence hybrides rechargeables ne conviennent donc pas aux conducteurs qui parcourent de longues distances, sans même parler de leur autonomie limitée en raison de la place occupée par la batterie dans le réservoir.
Une solution idéale pour les gros rouleurs : l’hybride rechargeable diesel
Afin de répondre à cette problématique et dans un contexte où les entreprises sont encouragées à électrifier leurs flottes, Mercedes a développé une technologie hybride rechargeable diesel. Cette voie avait déjà été empruntée par Volvo par le passé, ainsi que par Volkswagen avec son modèle XL1.
Cette motorisation hybride rechargeable diesel offre de nombreux avantages pour les gros rouleurs. Grâce à cette technologie, les conducteurs peuvent profiter de l’efficacité énergétique du diesel, combinée aux performances écologiques et économiques de l’électrique. Le moteur diesel réduit la consommation de carburant, tandis que les moteurs électriques permettent de rouler en mode zéro émission sur de courtes distances. Ainsi, les conducteurs peuvent parcourir de longues distances tout en limitant leur impact environnemental.
Le Mercedes GLC 300 de est l’un des modèles phares de la gamme de voitures hybrides rechargeables diesel de la marque. Il offre une puissance impressionnante tout en garantissant une consommation de carburant réduite. Avec sa motorisation diesel hybride rechargeable, il représente une solution idéale pour les conducteurs à la recherche de performances et d’économies.
En conclusion, la motorisation hybride rechargeable diesel ouvre de nouvelles perspectives pour les conducteurs qui parcourent de longues distances. Elle allie efficacité énergétique et respect de l’environnement, offrant ainsi une alternative intéressante à ceux qui souhaitent concilier performances et économies. Avec le Mercedes GLC 300 de, les gros rouleurs ont enfin la possibilité de profiter du meilleur des deux mondes.
