Mes chers amis,
Dans un monde où les discours convenus et les conformités règnent en maîtres, il est rare de trouver quelqu’un qui ose remettre en question les idées reçues. Carlos Tavares, le patron de PSA, est l’une de ces exceptions remarquables. Il a eu le courage immense et l’honnêteté intellectuelle de remettre en question la pertinence de la voiture électrique.
La transition énergétique est souvent présentée comme une solution miracle, mais est-ce réellement le cas ? Carlos Tavares soulève des questions cruciales sur les conséquences environnementales de l’électrification totale du parc automobile. Qu’en est-il du recyclage des batteries ? Comment minimiser l’empreinte carbone de leur fabrication ? Ces questions méritent d’être posées, mais on ne semble pas écouter les voix discordantes du secteur automobile.
Carlos Tavares insiste sur la nécessité de mener des études d’impact approfondies avant de prendre des décisions aussi importantes. Il met en avant les responsabilités des gouvernements et des autorités dans le choix de la technologie. Il s’inquiète en tant que citoyen, car en tant que constructeur automobile, il se sent ignoré.
Malheureusement, ses propos ont été relativisés et amoindris par certains journalistes. On remet en question sa légitimité et on le qualifie d’alarmiste. C’est un exemple frappant de notre incapacité collective à accepter des opinions divergentes. Lorsqu’une personne émet des réserves polies, elle est immédiatement discréditée.
Pourtant, il est essentiel de préserver la diversité de pensée. C’est grâce à cette diversité que les sociétés se développent et s’épanouissent. Bravo à Carlos Tavares pour son courage et sa liberté de ton précieuse dans un secteur où il est devenu interdit de penser différemment.
Nous devons encourager le débat et la remise en question. Le réchauffement climatique, la politique écologiste, la politique nucléaire, la transition énergétique… Tout cela mérite d’être discuté sérieusement.
Il est peut-être déjà trop tard pour inverser certaines tendances, mais tout n’est pas perdu. Restons vigilants et préparons-nous !
Charles Sannat pour Insolentiae
