Il est indéniable que le changement climatique est un problème complexe avec des conséquences à long terme sur notre planète. Les interactions entre les processus climatiques, écologiques, économiques, politiques, institutionnels, sociaux et technologiques rendent la réaction contre le changement climatique incertaine et risquée. Les décisions prises dans ce contexte sont donc souvent placées sous le signe de l’incertitude et du risque.
Différentes voies de développement peuvent conduire à des émissions de gaz à effet de serre très différentes. Le type, l’envergure, le moment d’application et le coût des mesures d’atténuation dépendent de diverses conditions nationales, des voies de développement socio-économique et technique choisies, ainsi que du niveau recherché de stabilisation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Il est important de noter que des voies de développement conduisant à de faibles émissions nécessitent des changements fondamentaux dans plusieurs domaines autres que celui des changements climatiques.
Les politiques visant à atténuer le changement climatique peuvent également favoriser le développement durable en étant cohérentes avec les objectifs sociétaux plus larges. Certaines actions d’atténuation peuvent avoir des retombées positives dans des domaines autres que le changement climatique, comme la réduction des problèmes de santé, l’augmentation de l’emploi, la réduction des impacts environnementaux négatifs (comme la pollution de l’air), la protection et l’amélioration des forêts, des sols et des bassins versants, la réduction des subventions et des taxes qui favorisent les émissions de gaz à effet de serre, et la contribution au changement technologique et à sa diffusion, contribuant ainsi à des objectifs plus larges de développement durable. De plus, les voies de développement répondant aux objectifs de développement durable peuvent entraîner des niveaux plus faibles d’émissions de gaz à effet de serre.
L’analyse des options d’atténuation prend en compte les différences dans la distribution des ressources techniques, naturelles et financières entre les nations, les régions et les générations, ainsi que les différences des coûts d’atténuation. La question de l’équité est donc centrale dans la lutte contre le changement climatique. Les conséquences des changements climatiques et des politiques d’atténuation peuvent créer ou approfondir l’injustice entre et au sein des nations et des régions. Les scénarios d’atténuation évalués dans ce rapport supposent que les pays développés et les pays en transition seront les premiers à limiter et à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Pour atteindre des niveaux plus faibles d’émissions, nous devons revoir notre manière de valoriser les ressources énergétiques. Bien qu’il existe des réserves abondantes de combustibles fossiles, celles-ci ne permettront pas de limiter les émissions de carbone au cours du XXIe siècle. Les réserves de pétrole et de gaz classiques ne suffisent pas à atteindre la stabilisation du dioxyde de carbone à un niveau de 450 ppmv ou plus. Ces données indiquent la nécessité de repenser la répartition des sources d’énergie et d’investir dans de nouvelles sources pour atteindre une concentration de gaz à effet de serre stabilisée.
Il est essentiel de comprendre que nos choix en matière d’investissements dans les ressources énergétiques détermineront notre capacité à stabiliser la concentration de gaz à effet de serre et, le cas échéant, à quel niveau et à quel prix. Actuellement, la plupart de ces investissements se concentrent sur la recherche et l’exploitation de ressources fossiles classiques ou non renouvelables.
Il est clair que le défi d’atténuer le changement climatique est immense, mais il est également porteur de nombreuses opportunités. En adoptant des politiques d’atténuation cohérentes avec le développement durable, nous pouvons non seulement lutter contre le changement climatique, mais aussi améliorer notre qualité de vie et préserver notre planète pour les générations futures.
Il est indéniable que le changement climatique est un problème complexe avec des conséquences à long terme sur notre planète. Les interactions entre les processus climatiques, écologiques, économiques, politiques, institutionnels, sociaux et technologiques rendent la réaction contre le changement climatique incertaine et risquée. Les décisions prises dans ce contexte sont donc souvent placées sous le signe de l’incertitude et du risque.
Différentes voies de développement peuvent conduire à des émissions de gaz à effet de serre très différentes. Le type, l’envergure, le moment d’application et le coût des mesures d’atténuation dépendent de diverses conditions nationales, des voies de développement socio-économique et technique choisies, ainsi que du niveau recherché de stabilisation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Il est important de noter que des voies de développement conduisant à de faibles émissions nécessitent des changements fondamentaux dans plusieurs domaines autres que celui des changements climatiques.
Les politiques visant à atténuer le changement climatique peuvent également favoriser le développement durable en étant cohérentes avec les objectifs sociétaux plus larges. Certaines actions d’atténuation peuvent avoir des retombées positives dans des domaines autres que le changement climatique, comme la réduction des problèmes de santé, l’augmentation de l’emploi, la réduction des impacts environnementaux négatifs (comme la pollution de l’air), la protection et l’amélioration des forêts, des sols et des bassins versants, la réduction des subventions et des taxes qui favorisent les émissions de gaz à effet de serre, et la contribution au changement technologique et à sa diffusion, contribuant ainsi à des objectifs plus larges de développement durable. De plus, les voies de développement répondant aux objectifs de développement durable peuvent entraîner des niveaux plus faibles d’émissions de gaz à effet de serre.
L’analyse des options d’atténuation prend en compte les différences dans la distribution des ressources techniques, naturelles et financières entre les nations, les régions et les générations, ainsi que les différences des coûts d’atténuation. La question de l’équité est donc centrale dans la lutte contre le changement climatique. Les conséquences des changements climatiques et des politiques d’atténuation peuvent créer ou approfondir l’injustice entre et au sein des nations et des régions. Les scénarios d’atténuation évalués dans ce rapport supposent que les pays développés et les pays en transition seront les premiers à limiter et à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Pour atteindre des niveaux plus faibles d’émissions, nous devons revoir notre manière de valoriser les ressources énergétiques. Bien qu’il existe des réserves abondantes de combustibles fossiles, celles-ci ne permettront pas de limiter les émissions de carbone au cours du XXIe siècle. Les réserves de pétrole et de gaz classiques ne suffisent pas à atteindre la stabilisation du dioxyde de carbone à un niveau de 450 ppmv ou plus. Ces données indiquent la nécessité de repenser la répartition des sources d’énergie et d’investir dans de nouvelles sources pour atteindre une concentration de gaz à effet de serre stabilisée.
Il est essentiel de comprendre que nos choix en matière d’investissements dans les ressources énergétiques détermineront notre capacité à stabiliser la concentration de gaz à effet de serre et, le cas échéant, à quel niveau et à quel prix. Actuellement, la plupart de ces investissements se concentrent sur la recherche et l’exploitation de ressources fossiles classiques ou non renouvelables.
Il est clair que le défi d’atténuer le changement climatique est immense, mais il est également porteur de nombreuses opportunités. En adoptant des politiques d’atténuation cohérentes avec le développement durable, nous pouvons non seulement lutter contre le changement climatique, mais aussi améliorer notre qualité de vie et préserver notre planète pour les générations futures.
Il est indéniable que le changement climatique est un problème complexe avec des conséquences à long terme sur notre planète. Les interactions entre les processus climatiques, écologiques, économiques, politiques, institutionnels, sociaux et technologiques rendent la réaction contre le changement climatique incertaine et risquée. Les décisions prises dans ce contexte sont donc souvent placées sous le signe de l’incertitude et du risque.
Différentes voies de développement peuvent conduire à des émissions de gaz à effet de serre très différentes. Le type, l’envergure, le moment d’application et le coût des mesures d’atténuation dépendent de diverses conditions nationales, des voies de développement socio-économique et technique choisies, ainsi que du niveau recherché de stabilisation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Il est important de noter que des voies de développement conduisant à de faibles émissions nécessitent des changements fondamentaux dans plusieurs domaines autres que celui des changements climatiques.
Les politiques visant à atténuer le changement climatique peuvent également favoriser le développement durable en étant cohérentes avec les objectifs sociétaux plus larges. Certaines actions d’atténuation peuvent avoir des retombées positives dans des domaines autres que le changement climatique, comme la réduction des problèmes de santé, l’augmentation de l’emploi, la réduction des impacts environnementaux négatifs (comme la pollution de l’air), la protection et l’amélioration des forêts, des sols et des bassins versants, la réduction des subventions et des taxes qui favorisent les émissions de gaz à effet de serre, et la contribution au changement technologique et à sa diffusion, contribuant ainsi à des objectifs plus larges de développement durable. De plus, les voies de développement répondant aux objectifs de développement durable peuvent entraîner des niveaux plus faibles d’émissions de gaz à effet de serre.
L’analyse des options d’atténuation prend en compte les différences dans la distribution des ressources techniques, naturelles et financières entre les nations, les régions et les générations, ainsi que les différences des coûts d’atténuation. La question de l’équité est donc centrale dans la lutte contre le changement climatique. Les conséquences des changements climatiques et des politiques d’atténuation peuvent créer ou approfondir l’injustice entre et au sein des nations et des régions. Les scénarios d’atténuation évalués dans ce rapport supposent que les pays développés et les pays en transition seront les premiers à limiter et à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Pour atteindre des niveaux plus faibles d’émissions, nous devons revoir notre manière de valoriser les ressources énergétiques. Bien qu’il existe des réserves abondantes de combustibles fossiles, celles-ci ne permettront pas de limiter les émissions de carbone au cours du XXIe siècle. Les réserves de pétrole et de gaz classiques ne suffisent pas à atteindre la stabilisation du dioxyde de carbone à un niveau de 450 ppmv ou plus. Ces données indiquent la nécessité de repenser la répartition des sources d’énergie et d’investir dans de nouvelles sources pour atteindre une concentration de gaz à effet de serre stabilisée.
Il est essentiel de comprendre que nos choix en matière d’investissements dans les ressources énergétiques détermineront notre capacité à stabiliser la concentration de gaz à effet de serre et, le cas échéant, à quel niveau et à quel prix. Actuellement, la plupart de ces investissements se concentrent sur la recherche et l’exploitation de ressources fossiles classiques ou non renouvelables.
Il est clair que le défi d’atténuer le changement climatique est immense, mais il est également porteur de nombreuses opportunités. En adoptant des politiques d’atténuation cohérentes avec le développement durable, nous pouvons non seulement lutter contre le changement climatique, mais aussi améliorer notre qualité de vie et préserver notre planète pour les générations futures.
Il est indéniable que le changement climatique est un problème complexe avec des conséquences à long terme sur notre planète. Les interactions entre les processus climatiques, écologiques, économiques, politiques, institutionnels, sociaux et technologiques rendent la réaction contre le changement climatique incertaine et risquée. Les décisions prises dans ce contexte sont donc souvent placées sous le signe de l’incertitude et du risque.
Différentes voies de développement peuvent conduire à des émissions de gaz à effet de serre très différentes. Le type, l’envergure, le moment d’application et le coût des mesures d’atténuation dépendent de diverses conditions nationales, des voies de développement socio-économique et technique choisies, ainsi que du niveau recherché de stabilisation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Il est important de noter que des voies de développement conduisant à de faibles émissions nécessitent des changements fondamentaux dans plusieurs domaines autres que celui des changements climatiques.
Les politiques visant à atténuer le changement climatique peuvent également favoriser le développement durable en étant cohérentes avec les objectifs sociétaux plus larges. Certaines actions d’atténuation peuvent avoir des retombées positives dans des domaines autres que le changement climatique, comme la réduction des problèmes de santé, l’augmentation de l’emploi, la réduction des impacts environnementaux négatifs (comme la pollution de l’air), la protection et l’amélioration des forêts, des sols et des bassins versants, la réduction des subventions et des taxes qui favorisent les émissions de gaz à effet de serre, et la contribution au changement technologique et à sa diffusion, contribuant ainsi à des objectifs plus larges de développement durable. De plus, les voies de développement répondant aux objectifs de développement durable peuvent entraîner des niveaux plus faibles d’émissions de gaz à effet de serre.
L’analyse des options d’atténuation prend en compte les différences dans la distribution des ressources techniques, naturelles et financières entre les nations, les régions et les générations, ainsi que les différences des coûts d’atténuation. La question de l’équité est donc centrale dans la lutte contre le changement climatique. Les conséquences des changements climatiques et des politiques d’atténuation peuvent créer ou approfondir l’injustice entre et au sein des nations et des régions. Les scénarios d’atténuation évalués dans ce rapport supposent que les pays développés et les pays en transition seront les premiers à limiter et à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Pour atteindre des niveaux plus faibles d’émissions, nous devons revoir notre manière de valoriser les ressources énergétiques. Bien qu’il existe des réserves abondantes de combustibles fossiles, celles-ci ne permettront pas de limiter les émissions de carbone au cours du XXIe siècle. Les réserves de pétrole et de gaz classiques ne suffisent pas à atteindre la stabilisation du dioxyde de carbone à un niveau de 450 ppmv ou plus. Ces données indiquent la nécessité de repenser la répartition des sources d’énergie et d’investir dans de nouvelles sources pour atteindre une concentration de gaz à effet de serre stabilisée.
Il est essentiel de comprendre que nos choix en matière d’investissements dans les ressources énergétiques détermineront notre capacité à stabiliser la concentration de gaz à effet de serre et, le cas échéant, à quel niveau et à quel prix. Actuellement, la plupart de ces investissements se concentrent sur la recherche et l’exploitation de ressources fossiles classiques ou non renouvelables.
Il est clair que le défi d’atténuer le changement climatique est immense, mais il est également porteur de nombreuses opportunités. En adoptant des politiques d’atténuation cohérentes avec le développement durable, nous pouvons non seulement lutter contre le changement climatique, mais aussi améliorer notre qualité de vie et préserver notre planète pour les générations futures.
