Le réchauffement climatique est l’un des défis les plus urgents et les plus complexes auxquels notre planète fait face aujourd’hui. Pour mieux comprendre cette problématique, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) joue un rôle essentiel en rassemblant des experts de différentes disciplines et nationalités.
Un groupe d’experts dédié à la synthèse des connaissances scientifiques
Le GIEC a été créé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). À l’époque, des scientifiques membres de l’OMM ont réalisé que leurs travaux révélaient des signes alarmants de bouleversements climatiques. Leur objectif était de sensibiliser le monde entier et les décideurs politiques à cette situation préoccupante.
Le rôle principal du GIEC, basé à Genève, est de produire des rapports basés sur les connaissances scientifiques les plus fiables et les plus récentes sur l’évolution du climat. Ces rapports sont utilisés comme base pour les négociations et les décisions internationales visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Des experts engagés et bénévoles
Les experts du GIEC sont des volontaires mandatés par leur gouvernement respectif. Ils sont au nombre de 195, représentant chaque État membre. Malgré l’urgence climatique, ces scientifiques travaillent bénévolement, consacrant environ huit mois à temps plein sur trois ans à leur mission. Le budget annuel du GIEC est en effet limité à seulement 6 millions d’euros, financés volontairement par les États.
Un travail en collaboration pour une meilleure compréhension du changement climatique
Le GIEC se divise en trois groupes de travail : le premier se concentre sur les aspects scientifiques du changement climatique, le deuxième évalue l’impact et la vulnérabilité des systèmes socio-économiques et naturels, tandis que le troisième explore les solutions envisageables. De plus, une équipe spéciale est dédiée aux inventaires nationaux de gaz à effet de serre. Le Bureau du GIEC, organe exécutif élu en assemblée plénière, est composé de 36 membres.
Des rapports essentiels pour la prise de décisions
Le GIEC publie des rapports tous les cinq à sept ans. À chaque cycle, les scientifiques compilent et analysent des milliers d’études récentes, puis les synthétisent pour fournir une compréhension globale du changement climatique. Le GIEC publie également des rapports thématiques spécifiques sur demande des États, tels que celui sur l’océan et la cryosphère dans le contexte du changement climatique en 2019.
En août 2021, le GIEC a commencé à publier son 6e rapport, qui confirme les pires prévisions. Ce rapport met en évidence que chaque écosystème est et sera impacté, que les conséquences pourraient être irréversibles et que la moitié de la population mondiale souffre déjà des effets du changement climatique. Il recommande également de protéger 15 à 30 % des terres et des mers et de réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Pour un avenir sûr et vivable
Il est vital de prendre en compte ces données scientifiques et d’agir rapidement pour éviter de manquer la fenêtre étroite qui se referme rapidement sur notre capacité à assurer un avenir sûr et vivable pour les populations et la nature de notre planète. Le troisième volet du rapport final devrait être publié en avril 2022, avec une synthèse globale prévue à l’automne 2022. Ces rapports fourniront une base solide pour les discussions internationales à venir, dans l’espoir d’un avenir plus durable pour notre planète.
Le réchauffement climatique est l’un des défis les plus urgents et les plus complexes auxquels notre planète fait face aujourd’hui. Pour mieux comprendre cette problématique, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) joue un rôle essentiel en rassemblant des experts de différentes disciplines et nationalités.
Un groupe d’experts dédié à la synthèse des connaissances scientifiques
Le GIEC a été créé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). À l’époque, des scientifiques membres de l’OMM ont réalisé que leurs travaux révélaient des signes alarmants de bouleversements climatiques. Leur objectif était de sensibiliser le monde entier et les décideurs politiques à cette situation préoccupante.
Le rôle principal du GIEC, basé à Genève, est de produire des rapports basés sur les connaissances scientifiques les plus fiables et les plus récentes sur l’évolution du climat. Ces rapports sont utilisés comme base pour les négociations et les décisions internationales visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Des experts engagés et bénévoles
Les experts du GIEC sont des volontaires mandatés par leur gouvernement respectif. Ils sont au nombre de 195, représentant chaque État membre. Malgré l’urgence climatique, ces scientifiques travaillent bénévolement, consacrant environ huit mois à temps plein sur trois ans à leur mission. Le budget annuel du GIEC est en effet limité à seulement 6 millions d’euros, financés volontairement par les États.
Un travail en collaboration pour une meilleure compréhension du changement climatique
Le GIEC se divise en trois groupes de travail : le premier se concentre sur les aspects scientifiques du changement climatique, le deuxième évalue l’impact et la vulnérabilité des systèmes socio-économiques et naturels, tandis que le troisième explore les solutions envisageables. De plus, une équipe spéciale est dédiée aux inventaires nationaux de gaz à effet de serre. Le Bureau du GIEC, organe exécutif élu en assemblée plénière, est composé de 36 membres.
Des rapports essentiels pour la prise de décisions
Le GIEC publie des rapports tous les cinq à sept ans. À chaque cycle, les scientifiques compilent et analysent des milliers d’études récentes, puis les synthétisent pour fournir une compréhension globale du changement climatique. Le GIEC publie également des rapports thématiques spécifiques sur demande des États, tels que celui sur l’océan et la cryosphère dans le contexte du changement climatique en 2019.
En août 2021, le GIEC a commencé à publier son 6e rapport, qui confirme les pires prévisions. Ce rapport met en évidence que chaque écosystème est et sera impacté, que les conséquences pourraient être irréversibles et que la moitié de la population mondiale souffre déjà des effets du changement climatique. Il recommande également de protéger 15 à 30 % des terres et des mers et de réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Pour un avenir sûr et vivable
Il est vital de prendre en compte ces données scientifiques et d’agir rapidement pour éviter de manquer la fenêtre étroite qui se referme rapidement sur notre capacité à assurer un avenir sûr et vivable pour les populations et la nature de notre planète. Le troisième volet du rapport final devrait être publié en avril 2022, avec une synthèse globale prévue à l’automne 2022. Ces rapports fourniront une base solide pour les discussions internationales à venir, dans l’espoir d’un avenir plus durable pour notre planète.
Le réchauffement climatique est l’un des défis les plus urgents et les plus complexes auxquels notre planète fait face aujourd’hui. Pour mieux comprendre cette problématique, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) joue un rôle essentiel en rassemblant des experts de différentes disciplines et nationalités.
Un groupe d’experts dédié à la synthèse des connaissances scientifiques
Le GIEC a été créé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). À l’époque, des scientifiques membres de l’OMM ont réalisé que leurs travaux révélaient des signes alarmants de bouleversements climatiques. Leur objectif était de sensibiliser le monde entier et les décideurs politiques à cette situation préoccupante.
Le rôle principal du GIEC, basé à Genève, est de produire des rapports basés sur les connaissances scientifiques les plus fiables et les plus récentes sur l’évolution du climat. Ces rapports sont utilisés comme base pour les négociations et les décisions internationales visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Des experts engagés et bénévoles
Les experts du GIEC sont des volontaires mandatés par leur gouvernement respectif. Ils sont au nombre de 195, représentant chaque État membre. Malgré l’urgence climatique, ces scientifiques travaillent bénévolement, consacrant environ huit mois à temps plein sur trois ans à leur mission. Le budget annuel du GIEC est en effet limité à seulement 6 millions d’euros, financés volontairement par les États.
Un travail en collaboration pour une meilleure compréhension du changement climatique
Le GIEC se divise en trois groupes de travail : le premier se concentre sur les aspects scientifiques du changement climatique, le deuxième évalue l’impact et la vulnérabilité des systèmes socio-économiques et naturels, tandis que le troisième explore les solutions envisageables. De plus, une équipe spéciale est dédiée aux inventaires nationaux de gaz à effet de serre. Le Bureau du GIEC, organe exécutif élu en assemblée plénière, est composé de 36 membres.
Des rapports essentiels pour la prise de décisions
Le GIEC publie des rapports tous les cinq à sept ans. À chaque cycle, les scientifiques compilent et analysent des milliers d’études récentes, puis les synthétisent pour fournir une compréhension globale du changement climatique. Le GIEC publie également des rapports thématiques spécifiques sur demande des États, tels que celui sur l’océan et la cryosphère dans le contexte du changement climatique en 2019.
En août 2021, le GIEC a commencé à publier son 6e rapport, qui confirme les pires prévisions. Ce rapport met en évidence que chaque écosystème est et sera impacté, que les conséquences pourraient être irréversibles et que la moitié de la population mondiale souffre déjà des effets du changement climatique. Il recommande également de protéger 15 à 30 % des terres et des mers et de réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Pour un avenir sûr et vivable
Il est vital de prendre en compte ces données scientifiques et d’agir rapidement pour éviter de manquer la fenêtre étroite qui se referme rapidement sur notre capacité à assurer un avenir sûr et vivable pour les populations et la nature de notre planète. Le troisième volet du rapport final devrait être publié en avril 2022, avec une synthèse globale prévue à l’automne 2022. Ces rapports fourniront une base solide pour les discussions internationales à venir, dans l’espoir d’un avenir plus durable pour notre planète.
Le réchauffement climatique est l’un des défis les plus urgents et les plus complexes auxquels notre planète fait face aujourd’hui. Pour mieux comprendre cette problématique, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) joue un rôle essentiel en rassemblant des experts de différentes disciplines et nationalités.
Un groupe d’experts dédié à la synthèse des connaissances scientifiques
Le GIEC a été créé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). À l’époque, des scientifiques membres de l’OMM ont réalisé que leurs travaux révélaient des signes alarmants de bouleversements climatiques. Leur objectif était de sensibiliser le monde entier et les décideurs politiques à cette situation préoccupante.
Le rôle principal du GIEC, basé à Genève, est de produire des rapports basés sur les connaissances scientifiques les plus fiables et les plus récentes sur l’évolution du climat. Ces rapports sont utilisés comme base pour les négociations et les décisions internationales visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Des experts engagés et bénévoles
Les experts du GIEC sont des volontaires mandatés par leur gouvernement respectif. Ils sont au nombre de 195, représentant chaque État membre. Malgré l’urgence climatique, ces scientifiques travaillent bénévolement, consacrant environ huit mois à temps plein sur trois ans à leur mission. Le budget annuel du GIEC est en effet limité à seulement 6 millions d’euros, financés volontairement par les États.
Un travail en collaboration pour une meilleure compréhension du changement climatique
Le GIEC se divise en trois groupes de travail : le premier se concentre sur les aspects scientifiques du changement climatique, le deuxième évalue l’impact et la vulnérabilité des systèmes socio-économiques et naturels, tandis que le troisième explore les solutions envisageables. De plus, une équipe spéciale est dédiée aux inventaires nationaux de gaz à effet de serre. Le Bureau du GIEC, organe exécutif élu en assemblée plénière, est composé de 36 membres.
Des rapports essentiels pour la prise de décisions
Le GIEC publie des rapports tous les cinq à sept ans. À chaque cycle, les scientifiques compilent et analysent des milliers d’études récentes, puis les synthétisent pour fournir une compréhension globale du changement climatique. Le GIEC publie également des rapports thématiques spécifiques sur demande des États, tels que celui sur l’océan et la cryosphère dans le contexte du changement climatique en 2019.
En août 2021, le GIEC a commencé à publier son 6e rapport, qui confirme les pires prévisions. Ce rapport met en évidence que chaque écosystème est et sera impacté, que les conséquences pourraient être irréversibles et que la moitié de la population mondiale souffre déjà des effets du changement climatique. Il recommande également de protéger 15 à 30 % des terres et des mers et de réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Pour un avenir sûr et vivable
Il est vital de prendre en compte ces données scientifiques et d’agir rapidement pour éviter de manquer la fenêtre étroite qui se referme rapidement sur notre capacité à assurer un avenir sûr et vivable pour les populations et la nature de notre planète. Le troisième volet du rapport final devrait être publié en avril 2022, avec une synthèse globale prévue à l’automne 2022. Ces rapports fourniront une base solide pour les discussions internationales à venir, dans l’espoir d’un avenir plus durable pour notre planète.