Les méthodes d’amélioration des processus

Les méthodes d’amélioration des processus

L’amélioration des processus est un aspect essentiel pour optimiser les performances d’une organisation. Que ce soit en modifiant les processus existants, en mettant en place un plan d’amélioration continue ou en les refondant totalement, l’objectif est clair : améliorer la performance.

Le reengineering des processus

Le reengineering des processus consiste à reconstruire entièrement les processus d’une organisation, que ce soit au niveau d’un service, d’une entité ou d’un flux. Selon ses partisans, cette approche est plus efficace que de faire des modifications partielles. En effet, superposer des solutions partielles ne fait que compliquer les processus au lieu de les simplifier, ce qui va à l’encontre de l’objectif d’amélioration de la performance.

Il n’existe pas de méthode unique pour réaliser un reengineering des processus. Cependant, la refonte des processus se concentre sur l’identification des points bloquants qui entravent la circulation fluide du début à la fin du processus. En général, une méthode en 4 étapes est appliquée :

  • Identification du processus “End-To-End” (E2E – de bout en bout)
  • Analyse des dysfonctionnements
  • Analyse des écarts par rapport à l’état souhaité
  • Elaboration d’un plan d’action pour remodeler le processus E2E

Par ailleurs, les piliers du reengineering, qui permettent de rendre l’organisation réactive, sont :

  • Responsabiliser : donner aux équipes la liberté de décision
  • Simplifier : réduire la hiérarchie pyramidale
  • Former : transmettre les compétences pour rendre l’organisation agile
  • Communiquer : favoriser les échanges au sein des équipes
  • Développer : travailler en mode projet pour continuer à améliorer les processus une fois qu’ils sont mis en place.

Le reengineering ne se limite donc pas à la redéfinition des activités et de leur enchaînement, il repose également sur ces piliers centrés sur l’humain.

Le Plan d’Amélioration Continue

Selon la norme ISO 9000, le plan d’amélioration continue est une activité récurrente menée pour améliorer les performances. Cette approche est souvent représentée par la roue de Deming, également appelée PDCA (Plan Do Check Act).

  • P= Plan : Planifier/Prévoir ce que l’on va faire et comment le faire
  • D= Do : Réaliser/Déployer ce qui a été planifié
  • C = Check : Vérifier/Contrôler que ce qui a été fait est conforme aux prévisions
  • A= Act : Réagir/Chercher à améliorer la performance des processus

L’amélioration continue des processus ne se limite pas aux activités et à leurs interactions. Le Business Analyst doit également veiller à répondre aux exigences de compétences, aux procédures, méthodes, outils ainsi qu’aux risques.

Pour ne pas perdre de vue les objectifs de l’amélioration continue, il est essentiel de répondre aux deux questions fondamentales suivantes :

  • Qu’est-ce que je peux/vais améliorer ?
  • Quels sont les dysfonctionnements du processus actuellement en place ?

Pour préparer un plan d’amélioration continue, il est nécessaire de se baser sur une cartographie des processus existants et/ou futurs, qui peut être réalisée à l’aide de BPMN 2.0, UML ou MERISE (voir la rubrique sur les techniques d’analyse et de modélisation).

L’amélioration des processus existants

Contrairement à l’approche “dure” du reengineering, l’amélioration des processus existants adopte une approche plus douce. Dans ce cas, on part d’un processus existant au niveau d’un flux, d’une entité ou d’un service.

Les activités ainsi que leurs interactions avec d’autres processus sont clairement identifiées. Les acteurs impliqués, leurs rôles et responsabilités, ainsi que les outils qu’ils utilisent, sont également répertoriés sur la cartographie des processus existants.

Après avoir identifié les dysfonctionnements, le Business Analyst cherche à les corriger en mettant en place une solution cible. Les outils généralement utilisés dans cette démarche sont :

  • La méthode Ishikawa ou 5M : elle permet d’identifier les sources de dysfonctionnement et de mettre en place des actions pour améliorer les performances en fonction de leur origine
  • La méthode des 5 pourquoi
  • L’élicitation collaborative : par exemple, la technique de brainstorming, qui favorise la mise en commun d’idées et de points de vue
  • Le Lean : cette démarche plus globale vise à optimiser les flux de l’entreprise et à réduire le gaspillage. Les deux méthodes les plus connues sont Kanban et Lean Six Sigma.

En conclusion, l’amélioration des processus est un enjeu majeur pour les organisations. Que ce soit par le reengineering, le plan d’amélioration continue ou l’amélioration des processus existants, il est essentiel de maintenir une démarche proactive pour optimiser les performances et rester compétitif.

L’amélioration des processus est un aspect essentiel pour optimiser les performances d’une organisation. Que ce soit en modifiant les processus existants, en mettant en place un plan d’amélioration continue ou en les refondant totalement, l’objectif est clair : améliorer la performance.

Le reengineering des processus

Le reengineering des processus consiste à reconstruire entièrement les processus d’une organisation, que ce soit au niveau d’un service, d’une entité ou d’un flux. Selon ses partisans, cette approche est plus efficace que de faire des modifications partielles. En effet, superposer des solutions partielles ne fait que compliquer les processus au lieu de les simplifier, ce qui va à l’encontre de l’objectif d’amélioration de la performance.

Il n’existe pas de méthode unique pour réaliser un reengineering des processus. Cependant, la refonte des processus se concentre sur l’identification des points bloquants qui entravent la circulation fluide du début à la fin du processus. En général, une méthode en 4 étapes est appliquée :

  • Identification du processus “End-To-End” (E2E – de bout en bout)
  • Analyse des dysfonctionnements
  • Analyse des écarts par rapport à l’état souhaité
  • Elaboration d’un plan d’action pour remodeler le processus E2E

Par ailleurs, les piliers du reengineering, qui permettent de rendre l’organisation réactive, sont :

  • Responsabiliser : donner aux équipes la liberté de décision
  • Simplifier : réduire la hiérarchie pyramidale
  • Former : transmettre les compétences pour rendre l’organisation agile
  • Communiquer : favoriser les échanges au sein des équipes
  • Développer : travailler en mode projet pour continuer à améliorer les processus une fois qu’ils sont mis en place.

Le reengineering ne se limite donc pas à la redéfinition des activités et de leur enchaînement, il repose également sur ces piliers centrés sur l’humain.

Le Plan d’Amélioration Continue

Selon la norme ISO 9000, le plan d’amélioration continue est une activité récurrente menée pour améliorer les performances. Cette approche est souvent représentée par la roue de Deming, également appelée PDCA (Plan Do Check Act).

  • P= Plan : Planifier/Prévoir ce que l’on va faire et comment le faire
  • D= Do : Réaliser/Déployer ce qui a été planifié
  • C = Check : Vérifier/Contrôler que ce qui a été fait est conforme aux prévisions
  • A= Act : Réagir/Chercher à améliorer la performance des processus

L’amélioration continue des processus ne se limite pas aux activités et à leurs interactions. Le Business Analyst doit également veiller à répondre aux exigences de compétences, aux procédures, méthodes, outils ainsi qu’aux risques.

Pour ne pas perdre de vue les objectifs de l’amélioration continue, il est essentiel de répondre aux deux questions fondamentales suivantes :

  • Qu’est-ce que je peux/vais améliorer ?
  • Quels sont les dysfonctionnements du processus actuellement en place ?

Pour préparer un plan d’amélioration continue, il est nécessaire de se baser sur une cartographie des processus existants et/ou futurs, qui peut être réalisée à l’aide de BPMN 2.0, UML ou MERISE (voir la rubrique sur les techniques d’analyse et de modélisation).

L’amélioration des processus existants

Contrairement à l’approche “dure” du reengineering, l’amélioration des processus existants adopte une approche plus douce. Dans ce cas, on part d’un processus existant au niveau d’un flux, d’une entité ou d’un service.

Les activités ainsi que leurs interactions avec d’autres processus sont clairement identifiées. Les acteurs impliqués, leurs rôles et responsabilités, ainsi que les outils qu’ils utilisent, sont également répertoriés sur la cartographie des processus existants.

Après avoir identifié les dysfonctionnements, le Business Analyst cherche à les corriger en mettant en place une solution cible. Les outils généralement utilisés dans cette démarche sont :

  • La méthode Ishikawa ou 5M : elle permet d’identifier les sources de dysfonctionnement et de mettre en place des actions pour améliorer les performances en fonction de leur origine
  • La méthode des 5 pourquoi
  • L’élicitation collaborative : par exemple, la technique de brainstorming, qui favorise la mise en commun d’idées et de points de vue
  • Le Lean : cette démarche plus globale vise à optimiser les flux de l’entreprise et à réduire le gaspillage. Les deux méthodes les plus connues sont Kanban et Lean Six Sigma.

En conclusion, l’amélioration des processus est un enjeu majeur pour les organisations. Que ce soit par le reengineering, le plan d’amélioration continue ou l’amélioration des processus existants, il est essentiel de maintenir une démarche proactive pour optimiser les performances et rester compétitif.

L’amélioration des processus est un aspect essentiel pour optimiser les performances d’une organisation. Que ce soit en modifiant les processus existants, en mettant en place un plan d’amélioration continue ou en les refondant totalement, l’objectif est clair : améliorer la performance.

Le reengineering des processus

Le reengineering des processus consiste à reconstruire entièrement les processus d’une organisation, que ce soit au niveau d’un service, d’une entité ou d’un flux. Selon ses partisans, cette approche est plus efficace que de faire des modifications partielles. En effet, superposer des solutions partielles ne fait que compliquer les processus au lieu de les simplifier, ce qui va à l’encontre de l’objectif d’amélioration de la performance.

Il n’existe pas de méthode unique pour réaliser un reengineering des processus. Cependant, la refonte des processus se concentre sur l’identification des points bloquants qui entravent la circulation fluide du début à la fin du processus. En général, une méthode en 4 étapes est appliquée :

  • Identification du processus “End-To-End” (E2E – de bout en bout)
  • Analyse des dysfonctionnements
  • Analyse des écarts par rapport à l’état souhaité
  • Elaboration d’un plan d’action pour remodeler le processus E2E

Par ailleurs, les piliers du reengineering, qui permettent de rendre l’organisation réactive, sont :

  • Responsabiliser : donner aux équipes la liberté de décision
  • Simplifier : réduire la hiérarchie pyramidale
  • Former : transmettre les compétences pour rendre l’organisation agile
  • Communiquer : favoriser les échanges au sein des équipes
  • Développer : travailler en mode projet pour continuer à améliorer les processus une fois qu’ils sont mis en place.

Le reengineering ne se limite donc pas à la redéfinition des activités et de leur enchaînement, il repose également sur ces piliers centrés sur l’humain.

Le Plan d’Amélioration Continue

Selon la norme ISO 9000, le plan d’amélioration continue est une activité récurrente menée pour améliorer les performances. Cette approche est souvent représentée par la roue de Deming, également appelée PDCA (Plan Do Check Act).

  • P= Plan : Planifier/Prévoir ce que l’on va faire et comment le faire
  • D= Do : Réaliser/Déployer ce qui a été planifié
  • C = Check : Vérifier/Contrôler que ce qui a été fait est conforme aux prévisions
  • A= Act : Réagir/Chercher à améliorer la performance des processus

L’amélioration continue des processus ne se limite pas aux activités et à leurs interactions. Le Business Analyst doit également veiller à répondre aux exigences de compétences, aux procédures, méthodes, outils ainsi qu’aux risques.

Pour ne pas perdre de vue les objectifs de l’amélioration continue, il est essentiel de répondre aux deux questions fondamentales suivantes :

  • Qu’est-ce que je peux/vais améliorer ?
  • Quels sont les dysfonctionnements du processus actuellement en place ?

Pour préparer un plan d’amélioration continue, il est nécessaire de se baser sur une cartographie des processus existants et/ou futurs, qui peut être réalisée à l’aide de BPMN 2.0, UML ou MERISE (voir la rubrique sur les techniques d’analyse et de modélisation).

L’amélioration des processus existants

Contrairement à l’approche “dure” du reengineering, l’amélioration des processus existants adopte une approche plus douce. Dans ce cas, on part d’un processus existant au niveau d’un flux, d’une entité ou d’un service.

Les activités ainsi que leurs interactions avec d’autres processus sont clairement identifiées. Les acteurs impliqués, leurs rôles et responsabilités, ainsi que les outils qu’ils utilisent, sont également répertoriés sur la cartographie des processus existants.

Après avoir identifié les dysfonctionnements, le Business Analyst cherche à les corriger en mettant en place une solution cible. Les outils généralement utilisés dans cette démarche sont :

  • La méthode Ishikawa ou 5M : elle permet d’identifier les sources de dysfonctionnement et de mettre en place des actions pour améliorer les performances en fonction de leur origine
  • La méthode des 5 pourquoi
  • L’élicitation collaborative : par exemple, la technique de brainstorming, qui favorise la mise en commun d’idées et de points de vue
  • Le Lean : cette démarche plus globale vise à optimiser les flux de l’entreprise et à réduire le gaspillage. Les deux méthodes les plus connues sont Kanban et Lean Six Sigma.

En conclusion, l’amélioration des processus est un enjeu majeur pour les organisations. Que ce soit par le reengineering, le plan d’amélioration continue ou l’amélioration des processus existants, il est essentiel de maintenir une démarche proactive pour optimiser les performances et rester compétitif.

L’amélioration des processus est un aspect essentiel pour optimiser les performances d’une organisation. Que ce soit en modifiant les processus existants, en mettant en place un plan d’amélioration continue ou en les refondant totalement, l’objectif est clair : améliorer la performance.

Le reengineering des processus

Le reengineering des processus consiste à reconstruire entièrement les processus d’une organisation, que ce soit au niveau d’un service, d’une entité ou d’un flux. Selon ses partisans, cette approche est plus efficace que de faire des modifications partielles. En effet, superposer des solutions partielles ne fait que compliquer les processus au lieu de les simplifier, ce qui va à l’encontre de l’objectif d’amélioration de la performance.

Il n’existe pas de méthode unique pour réaliser un reengineering des processus. Cependant, la refonte des processus se concentre sur l’identification des points bloquants qui entravent la circulation fluide du début à la fin du processus. En général, une méthode en 4 étapes est appliquée :

  • Identification du processus “End-To-End” (E2E – de bout en bout)
  • Analyse des dysfonctionnements
  • Analyse des écarts par rapport à l’état souhaité
  • Elaboration d’un plan d’action pour remodeler le processus E2E

Par ailleurs, les piliers du reengineering, qui permettent de rendre l’organisation réactive, sont :

  • Responsabiliser : donner aux équipes la liberté de décision
  • Simplifier : réduire la hiérarchie pyramidale
  • Former : transmettre les compétences pour rendre l’organisation agile
  • Communiquer : favoriser les échanges au sein des équipes
  • Développer : travailler en mode projet pour continuer à améliorer les processus une fois qu’ils sont mis en place.

Le reengineering ne se limite donc pas à la redéfinition des activités et de leur enchaînement, il repose également sur ces piliers centrés sur l’humain.

Le Plan d’Amélioration Continue

Selon la norme ISO 9000, le plan d’amélioration continue est une activité récurrente menée pour améliorer les performances. Cette approche est souvent représentée par la roue de Deming, également appelée PDCA (Plan Do Check Act).

  • P= Plan : Planifier/Prévoir ce que l’on va faire et comment le faire
  • D= Do : Réaliser/Déployer ce qui a été planifié
  • C = Check : Vérifier/Contrôler que ce qui a été fait est conforme aux prévisions
  • A= Act : Réagir/Chercher à améliorer la performance des processus

L’amélioration continue des processus ne se limite pas aux activités et à leurs interactions. Le Business Analyst doit également veiller à répondre aux exigences de compétences, aux procédures, méthodes, outils ainsi qu’aux risques.

Pour ne pas perdre de vue les objectifs de l’amélioration continue, il est essentiel de répondre aux deux questions fondamentales suivantes :

  • Qu’est-ce que je peux/vais améliorer ?
  • Quels sont les dysfonctionnements du processus actuellement en place ?

Pour préparer un plan d’amélioration continue, il est nécessaire de se baser sur une cartographie des processus existants et/ou futurs, qui peut être réalisée à l’aide de BPMN 2.0, UML ou MERISE (voir la rubrique sur les techniques d’analyse et de modélisation).

L’amélioration des processus existants

Contrairement à l’approche “dure” du reengineering, l’amélioration des processus existants adopte une approche plus douce. Dans ce cas, on part d’un processus existant au niveau d’un flux, d’une entité ou d’un service.

Les activités ainsi que leurs interactions avec d’autres processus sont clairement identifiées. Les acteurs impliqués, leurs rôles et responsabilités, ainsi que les outils qu’ils utilisent, sont également répertoriés sur la cartographie des processus existants.

Après avoir identifié les dysfonctionnements, le Business Analyst cherche à les corriger en mettant en place une solution cible. Les outils généralement utilisés dans cette démarche sont :

  • La méthode Ishikawa ou 5M : elle permet d’identifier les sources de dysfonctionnement et de mettre en place des actions pour améliorer les performances en fonction de leur origine
  • La méthode des 5 pourquoi
  • L’élicitation collaborative : par exemple, la technique de brainstorming, qui favorise la mise en commun d’idées et de points de vue
  • Le Lean : cette démarche plus globale vise à optimiser les flux de l’entreprise et à réduire le gaspillage. Les deux méthodes les plus connues sont Kanban et Lean Six Sigma.

En conclusion, l’amélioration des processus est un enjeu majeur pour les organisations. Que ce soit par le reengineering, le plan d’amélioration continue ou l’amélioration des processus existants, il est essentiel de maintenir une démarche proactive pour optimiser les performances et rester compétitif.