Depuis des années, nous cherchons une solution viable pour remplacer les carburants traditionnels. Et si la réponse se trouvait dans un moteur capable d’utiliser à la fois du carburant et de l’électricité ? C’est ce que les gouvernements essaient de nous faire croire depuis un certain temps maintenant.
Dans le but de relancer le secteur automobile après la crise sanitaire, le gouvernement a une fois de plus cherché à promouvoir les voitures hybrides rechargeables en offrant des incitations aux ménages et aux entreprises.
Ces voitures hybrides rechargeables sont supposées pouvoir parcourir entre 15 et 20 kWh d’autonomie, soit une moyenne d’environ 50 kilomètres en mode électrique. Cela semble être une bonne initiative pour réduire la pollution urbaine.
Cependant, des recherches mondiales ont révélé que ces voitures ne sont pas aussi écologiques qu’elles le paraissent. En effet, elles émettent entre 20 et 30 grammes de CO2 par kilomètre une fois que la batterie électrique est épuisée, passant ainsi en mode moteur thermique lourd.
De plus, ces voitures peuvent peser plus de 2 tonnes, ce qui les pousse à consommer davantage d’énergie. De nombreux propriétaires de voitures hybrides ne prennent pas la peine de les recharger et continuent à les utiliser exclusivement en mode thermique. Le manque de bornes de recharge à proximité contribue également à cette problématique.
En conclusion, il est évident que les voitures hybrides rechargeables sont beaucoup plus polluantes que les voitures traditionnelles et n’ont rien à voir avec les voitures électriques.
Une nécessaire évaluation des avantages
Nous avons déjà connu cela dans les années 1980, lorsque tout le monde était encouragé à acheter les fameuses voitures diesel. Cependant, nous nous sommes rendu compte bien trop tard que ces véhicules étaient tout sauf bénéfiques pour l’environnement.
Nous avons déjà été confrontés à des constructeurs qui manipulaient les tests pour faire croire à la population que le diesel était la solution miracle à tous les problèmes environnementaux. Il est hors de question de nous laisser encore tromper !
De plus, étant donné le prix élevé de ces voitures hybrides, nous avons besoin de transparence. Il est temps, pour une fois, de penser d’abord à l’environnement plutôt qu’à remplir les coffres de l’État.
Nous ne voulons pas nous retrouver dans quelques années à devoir changer de voiture sous prétexte que l’hybride pollue trop. Nous avons l’impression de revenir dans les années 1980, où tous les constructeurs automobiles vantaient les mérites d’un tel moteur et sortaient de nouveaux modèles chaque année.
Cette fois-ci, la population veut être certaine que les voitures hybrides rechargeables ne sont pas dangereuses, ni pour nous ni pour l’environnement. Étant donné le coût élevé de ces véhicules, il n’est pas envisageable de les remplacer si les risques sont similaires à ceux du diesel.
Ne nous laissons pas berner une fois de plus. Il est grand temps que le gouvernement et les constructeurs automobiles assument leurs responsabilités et nous disent la vérité.
Pour obtenir des preuves scientifiques que les voitures hybrides sont réellement bénéfiques pour l’environnement et qu’elles ne nécessiteront pas un remplacement dans 10 ans, nous devons nous unir et signer cette pétition.
Image: Voiture hybride rechargeable
En conclusion, nous devons être prudents et chercher des alternatives plus respectueuses de l’environnement avant d’adopter en masse les voitures hybrides rechargeables. La protection de notre planète et de notre santé doit être notre priorité, et nous devons nous assurer que les solutions proposées sont véritablement durables.
