Les voitures qui ne passeront pas le cap de 2024

Les voitures qui ne passeront pas le cap de 2024

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Le durcissement du malus écologique est une réalité année après année. Pour 2024, l’Etat a décidé de frapper encore plus fort. Certaines voitures vont clairement en faire les frais. Découvrez les cinq modèles qui ne passeront pas le cap de l’année prochaine.

Ford Focus ST : à partir de 70 113 €

La Ford Focus ST, une berline compacte, est déjà sur la sellette. Sa disparition est prévue pour 2025. Mais avec un malus de 10 980 € pour des émissions de CO2 de 183 g/km, son prix va passer à 70 113 € minimum en 2024. Une augmentation de 33 % qui lui sera certainement fatale.

Toyota GR Yaris : à partir de 72 746 €

La Toyota GR Yaris est un véhicule d’une catégorie inférieure. Son malus va plus que doubler en 2024, faisant grimper son prix à des niveaux insurmontables. Même si ce modèle était destiné à rester sur le marché, il est peu probable qu’il puisse trouver des acheteurs avec un tel malus.

Audi SQ2 : à partir de 92 345 €

L’Audi SQ2, un SUV urbain de 300 ch, risque également de disparaître en 2024. Son malus sera multiplié par trois, faisant passer son prix de 56 410 € à 92 345 €. Pour moins cher, vous pouvez vous offrir une grande routière A6 hybride rechargeable avec tous les équipements de pointe. Un choix difficile à ignorer.

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Honda Civic Type R : à partir de 92 566 €

La Honda Civic Type R, importée chez nous avec succès, fait maintenant face à un malus de 35 346 € en 2024. Son prix dépasse clairement les 90 000 €, ce qui en fait un choix peu judicieux pour les amateurs de cette gamme de véhicules. Il est probable que Honda abandonne ce modèle prochainement.

Mercedes-AMG Classe A, à partir de 105 528 €

Enfin, la Mercedes Classe A, avec son malus de 2024, dépassera la barre des 100 000 €. Une somme impensable pour une berline compacte. Même la version de pointe, l’A 45S 4MATIC+ de 421 ch, affichée à partir de 77 899 €, écopera d’un supermalus de 60 000 €. Des prix inaccessibles pour la plupart des acheteurs.

Il est clair que ces cinq voitures ne survivront pas à l’année 2024. Avec des malus aussi élevés, elles ne seront tout simplement plus viables sur le marché. Il est temps de chercher des alternatives plus abordables et respectueuses de l’environnement.

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