L’Essentiel sur… les usages problématiques d’écrans

L’Essentiel sur… les usages problématiques d’écrans

Dans cet article, nous allons parler des usages problématiques d’écrans chez les enfants, les adolescents et les adultes. Nous aborderons les conséquences sur le développement physique, psychique et social, ainsi que les actions prioritaires du gouvernement pour y faire face.

Table des matières

Le temps passé devant un écran et ses conséquences

Pour les enfants et les adolescents, passer trop de temps devant un écran peut avoir des répercussions sur leur développement. Cela peut affecter leur apprentissage des compétences fondamentales, leur capacité d’attention et même le développement de leur cerveau. Pour préserver leur bien-être, il est essentiel que ceux qui les entourent soient vigilants et veillent à un bon usage des écrans.

Chez les adultes, l’utilisation excessive des écrans, en particulier dans le cadre du travail à distance, peut entraîner des problèmes de bien-être et de santé mentale. Il est important de trouver un équilibre entre l’usage personnel et professionnel des écrans.

Les jeux vidéo peuvent également devenir problématiques lorsque leur pratique est associée à une perte de contrôle et affecte d’autres aspects de la vie du joueur, quel que soit son âge.

Les chiffres-clés

Voici quelques chiffres qui nous permettent de mieux comprendre la situation :

  • En 2017, 17% des adolescents de 17 ans ont déclaré avoir joué à des jeux d’argent et de hasard en ligne, même s’ils étaient interdits aux mineurs.
  • 1 adolescent sur 8 a un usage problématique des jeux vidéo.
  • A l’âge de 15 ans, 5% des garçons et 11% des filles ont un usage problématique des réseaux sociaux.
  • Pendant leurs activités numériques, 24% des Français consomment davantage de confiseries, de sodas et de snacks.
  • Utiliser son téléphone en conduisant multiplie par 3 le risque d’accident et est passible d’une amende de 135€ et d’un retrait de 3 points de permis.
  • 78% des cadres consultent leurs communications professionnelles pendant leurs vacances et les week-ends.

Focus sur… Captation de l’attention et circuit de la récompense

La captation de l’attention par les écrans et le circuit de la récompense sont des mécanismes complexes qui peuvent être comparés à une forme d’addiction. Les éditeurs de sites Internet et de réseaux sociaux utilisent ces mécanismes pour attirer notre regard et notre écoute, en utilisant des techniques adaptées aux écrans. Ils jouent sur le plaisir immédiat et la récompense pour maintenir notre attention. Par exemple, recevoir des “likes” sur les réseaux sociaux libère de la dopamine, l’hormone liée à la récompense et au processus addictif.

Internet a exacerbé ces mécanismes en raison de la diversité des plateformes et des contenus disponibles. Les producteurs de ces contenus utilisent les connaissances scientifiques sur le fonctionnement du cerveau pour capter et retenir notre attention.

Les priorités de l’action gouvernementale

Le gouvernement met en place différentes actions pour faire face aux usages problématiques des écrans :

1. Encourager la recherche sur les risques liés à la pratique excessive des écrans

Il est essentiel de mieux documenter les types d’usages ou de contenus susceptibles d’être problématiques, ainsi que leurs effets sur les usagers. Il est également important d’évaluer l’efficacité des différentes réglementations possibles.

2. Mieux informer le grand public sur les bons usages des écrans

Plusieurs ressources sont disponibles pour informer le public sur les bons usages des écrans, notamment :

  • La campagne annuelle “Enfants et écrans” du CSA, relayée par toutes les chaînes de télévision.
  • La série “La Famille Tout-Ecran” conçue par la Caisse nationale d’Allocations Familiales en partenariat avec le CLEMI.
  • Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr, qui lutte contre l’exposition des mineurs aux contenus pornographiques en ligne.
  • Le programme national “Permis Internet pour les enfants” pour un usage vigilant, sûr et responsable d’Internet.
  • Le kit “Educ’Ecrans” élaboré par la Fédération nationale des parents et des éducateurs.
  • Le site PédaGoJeux.fr, animé par un collectif d’acteurs du jeu vidéo.
  • Des conseils simples sont également proposés aux parents par des experts, comme la règle du 0-3-6-9-12 définie par Serge Tisseron.
LIRE  Comparatif d'Assurances : Tout ce que vous devez savoir avant de souscrire

3. Faciliter le repérage des signes d’alerte et l’orientation vers des structures d’aide et de conseil

Des structures spécialisées sont disponibles pour aider les jeunes et leurs familles à faire face aux problèmes liés aux usages problématiques des écrans. Les pédopsychiatres, les centres médico-psycho-pédagogiques (CMPP) et les maisons des adolescents (MDA) sont des exemples de structures adaptées pour rencontrer des professionnels de santé. Pour les plus âgés, les consultations jeunes consommateurs (CJC) sont disponibles dans tous les départements.

En conclusion, il est essentiel de prendre conscience des risques liés aux usages problématiques des écrans, tant pour les enfants et les adolescents que pour les adultes. Il est nécessaire de promouvoir une utilisation responsable des écrans et de mettre en place des actions visant à informer et à accompagner les usagers. La recherche continue dans ce domaine est également cruciale pour mieux comprendre les vulnérabilités et trouver des solutions adaptées.

Dans cet article, nous allons parler des usages problématiques d’écrans chez les enfants, les adolescents et les adultes. Nous aborderons les conséquences sur le développement physique, psychique et social, ainsi que les actions prioritaires du gouvernement pour y faire face.

Le temps passé devant un écran et ses conséquences

Pour les enfants et les adolescents, passer trop de temps devant un écran peut avoir des répercussions sur leur développement. Cela peut affecter leur apprentissage des compétences fondamentales, leur capacité d’attention et même le développement de leur cerveau. Pour préserver leur bien-être, il est essentiel que ceux qui les entourent soient vigilants et veillent à un bon usage des écrans.

Chez les adultes, l’utilisation excessive des écrans, en particulier dans le cadre du travail à distance, peut entraîner des problèmes de bien-être et de santé mentale. Il est important de trouver un équilibre entre l’usage personnel et professionnel des écrans.

Les jeux vidéo peuvent également devenir problématiques lorsque leur pratique est associée à une perte de contrôle et affecte d’autres aspects de la vie du joueur, quel que soit son âge.

Les chiffres-clés

Voici quelques chiffres qui nous permettent de mieux comprendre la situation :

  • En 2017, 17% des adolescents de 17 ans ont déclaré avoir joué à des jeux d’argent et de hasard en ligne, même s’ils étaient interdits aux mineurs.
  • 1 adolescent sur 8 a un usage problématique des jeux vidéo.
  • A l’âge de 15 ans, 5% des garçons et 11% des filles ont un usage problématique des réseaux sociaux.
  • Pendant leurs activités numériques, 24% des Français consomment davantage de confiseries, de sodas et de snacks.
  • Utiliser son téléphone en conduisant multiplie par 3 le risque d’accident et est passible d’une amende de 135€ et d’un retrait de 3 points de permis.
  • 78% des cadres consultent leurs communications professionnelles pendant leurs vacances et les week-ends.

Focus sur… Captation de l’attention et circuit de la récompense

La captation de l’attention par les écrans et le circuit de la récompense sont des mécanismes complexes qui peuvent être comparés à une forme d’addiction. Les éditeurs de sites Internet et de réseaux sociaux utilisent ces mécanismes pour attirer notre regard et notre écoute, en utilisant des techniques adaptées aux écrans. Ils jouent sur le plaisir immédiat et la récompense pour maintenir notre attention. Par exemple, recevoir des “likes” sur les réseaux sociaux libère de la dopamine, l’hormone liée à la récompense et au processus addictif.

Internet a exacerbé ces mécanismes en raison de la diversité des plateformes et des contenus disponibles. Les producteurs de ces contenus utilisent les connaissances scientifiques sur le fonctionnement du cerveau pour capter et retenir notre attention.

Les priorités de l’action gouvernementale

Le gouvernement met en place différentes actions pour faire face aux usages problématiques des écrans :

1. Encourager la recherche sur les risques liés à la pratique excessive des écrans

Il est essentiel de mieux documenter les types d’usages ou de contenus susceptibles d’être problématiques, ainsi que leurs effets sur les usagers. Il est également important d’évaluer l’efficacité des différentes réglementations possibles.

2. Mieux informer le grand public sur les bons usages des écrans

Plusieurs ressources sont disponibles pour informer le public sur les bons usages des écrans, notamment :

  • La campagne annuelle “Enfants et écrans” du CSA, relayée par toutes les chaînes de télévision.
  • La série “La Famille Tout-Ecran” conçue par la Caisse nationale d’Allocations Familiales en partenariat avec le CLEMI.
  • Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr, qui lutte contre l’exposition des mineurs aux contenus pornographiques en ligne.
  • Le programme national “Permis Internet pour les enfants” pour un usage vigilant, sûr et responsable d’Internet.
  • Le kit “Educ’Ecrans” élaboré par la Fédération nationale des parents et des éducateurs.
  • Le site PédaGoJeux.fr, animé par un collectif d’acteurs du jeu vidéo.
  • Des conseils simples sont également proposés aux parents par des experts, comme la règle du 0-3-6-9-12 définie par Serge Tisseron.
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3. Faciliter le repérage des signes d’alerte et l’orientation vers des structures d’aide et de conseil

Des structures spécialisées sont disponibles pour aider les jeunes et leurs familles à faire face aux problèmes liés aux usages problématiques des écrans. Les pédopsychiatres, les centres médico-psycho-pédagogiques (CMPP) et les maisons des adolescents (MDA) sont des exemples de structures adaptées pour rencontrer des professionnels de santé. Pour les plus âgés, les consultations jeunes consommateurs (CJC) sont disponibles dans tous les départements.

En conclusion, il est essentiel de prendre conscience des risques liés aux usages problématiques des écrans, tant pour les enfants et les adolescents que pour les adultes. Il est nécessaire de promouvoir une utilisation responsable des écrans et de mettre en place des actions visant à informer et à accompagner les usagers. La recherche continue dans ce domaine est également cruciale pour mieux comprendre les vulnérabilités et trouver des solutions adaptées.

Dans cet article, nous allons parler des usages problématiques d’écrans chez les enfants, les adolescents et les adultes. Nous aborderons les conséquences sur le développement physique, psychique et social, ainsi que les actions prioritaires du gouvernement pour y faire face.

Le temps passé devant un écran et ses conséquences

Pour les enfants et les adolescents, passer trop de temps devant un écran peut avoir des répercussions sur leur développement. Cela peut affecter leur apprentissage des compétences fondamentales, leur capacité d’attention et même le développement de leur cerveau. Pour préserver leur bien-être, il est essentiel que ceux qui les entourent soient vigilants et veillent à un bon usage des écrans.

Chez les adultes, l’utilisation excessive des écrans, en particulier dans le cadre du travail à distance, peut entraîner des problèmes de bien-être et de santé mentale. Il est important de trouver un équilibre entre l’usage personnel et professionnel des écrans.

Les jeux vidéo peuvent également devenir problématiques lorsque leur pratique est associée à une perte de contrôle et affecte d’autres aspects de la vie du joueur, quel que soit son âge.

Les chiffres-clés

Voici quelques chiffres qui nous permettent de mieux comprendre la situation :

  • En 2017, 17% des adolescents de 17 ans ont déclaré avoir joué à des jeux d’argent et de hasard en ligne, même s’ils étaient interdits aux mineurs.
  • 1 adolescent sur 8 a un usage problématique des jeux vidéo.
  • A l’âge de 15 ans, 5% des garçons et 11% des filles ont un usage problématique des réseaux sociaux.
  • Pendant leurs activités numériques, 24% des Français consomment davantage de confiseries, de sodas et de snacks.
  • Utiliser son téléphone en conduisant multiplie par 3 le risque d’accident et est passible d’une amende de 135€ et d’un retrait de 3 points de permis.
  • 78% des cadres consultent leurs communications professionnelles pendant leurs vacances et les week-ends.

Focus sur… Captation de l’attention et circuit de la récompense

La captation de l’attention par les écrans et le circuit de la récompense sont des mécanismes complexes qui peuvent être comparés à une forme d’addiction. Les éditeurs de sites Internet et de réseaux sociaux utilisent ces mécanismes pour attirer notre regard et notre écoute, en utilisant des techniques adaptées aux écrans. Ils jouent sur le plaisir immédiat et la récompense pour maintenir notre attention. Par exemple, recevoir des “likes” sur les réseaux sociaux libère de la dopamine, l’hormone liée à la récompense et au processus addictif.

Internet a exacerbé ces mécanismes en raison de la diversité des plateformes et des contenus disponibles. Les producteurs de ces contenus utilisent les connaissances scientifiques sur le fonctionnement du cerveau pour capter et retenir notre attention.

Les priorités de l’action gouvernementale

Le gouvernement met en place différentes actions pour faire face aux usages problématiques des écrans :

1. Encourager la recherche sur les risques liés à la pratique excessive des écrans

Il est essentiel de mieux documenter les types d’usages ou de contenus susceptibles d’être problématiques, ainsi que leurs effets sur les usagers. Il est également important d’évaluer l’efficacité des différentes réglementations possibles.

2. Mieux informer le grand public sur les bons usages des écrans

Plusieurs ressources sont disponibles pour informer le public sur les bons usages des écrans, notamment :

  • La campagne annuelle “Enfants et écrans” du CSA, relayée par toutes les chaînes de télévision.
  • La série “La Famille Tout-Ecran” conçue par la Caisse nationale d’Allocations Familiales en partenariat avec le CLEMI.
  • Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr, qui lutte contre l’exposition des mineurs aux contenus pornographiques en ligne.
  • Le programme national “Permis Internet pour les enfants” pour un usage vigilant, sûr et responsable d’Internet.
  • Le kit “Educ’Ecrans” élaboré par la Fédération nationale des parents et des éducateurs.
  • Le site PédaGoJeux.fr, animé par un collectif d’acteurs du jeu vidéo.
  • Des conseils simples sont également proposés aux parents par des experts, comme la règle du 0-3-6-9-12 définie par Serge Tisseron.
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3. Faciliter le repérage des signes d’alerte et l’orientation vers des structures d’aide et de conseil

Des structures spécialisées sont disponibles pour aider les jeunes et leurs familles à faire face aux problèmes liés aux usages problématiques des écrans. Les pédopsychiatres, les centres médico-psycho-pédagogiques (CMPP) et les maisons des adolescents (MDA) sont des exemples de structures adaptées pour rencontrer des professionnels de santé. Pour les plus âgés, les consultations jeunes consommateurs (CJC) sont disponibles dans tous les départements.

En conclusion, il est essentiel de prendre conscience des risques liés aux usages problématiques des écrans, tant pour les enfants et les adolescents que pour les adultes. Il est nécessaire de promouvoir une utilisation responsable des écrans et de mettre en place des actions visant à informer et à accompagner les usagers. La recherche continue dans ce domaine est également cruciale pour mieux comprendre les vulnérabilités et trouver des solutions adaptées.

Dans cet article, nous allons parler des usages problématiques d’écrans chez les enfants, les adolescents et les adultes. Nous aborderons les conséquences sur le développement physique, psychique et social, ainsi que les actions prioritaires du gouvernement pour y faire face.

Le temps passé devant un écran et ses conséquences

Pour les enfants et les adolescents, passer trop de temps devant un écran peut avoir des répercussions sur leur développement. Cela peut affecter leur apprentissage des compétences fondamentales, leur capacité d’attention et même le développement de leur cerveau. Pour préserver leur bien-être, il est essentiel que ceux qui les entourent soient vigilants et veillent à un bon usage des écrans.

Chez les adultes, l’utilisation excessive des écrans, en particulier dans le cadre du travail à distance, peut entraîner des problèmes de bien-être et de santé mentale. Il est important de trouver un équilibre entre l’usage personnel et professionnel des écrans.

Les jeux vidéo peuvent également devenir problématiques lorsque leur pratique est associée à une perte de contrôle et affecte d’autres aspects de la vie du joueur, quel que soit son âge.

Les chiffres-clés

Voici quelques chiffres qui nous permettent de mieux comprendre la situation :

  • En 2017, 17% des adolescents de 17 ans ont déclaré avoir joué à des jeux d’argent et de hasard en ligne, même s’ils étaient interdits aux mineurs.
  • 1 adolescent sur 8 a un usage problématique des jeux vidéo.
  • A l’âge de 15 ans, 5% des garçons et 11% des filles ont un usage problématique des réseaux sociaux.
  • Pendant leurs activités numériques, 24% des Français consomment davantage de confiseries, de sodas et de snacks.
  • Utiliser son téléphone en conduisant multiplie par 3 le risque d’accident et est passible d’une amende de 135€ et d’un retrait de 3 points de permis.
  • 78% des cadres consultent leurs communications professionnelles pendant leurs vacances et les week-ends.

Focus sur… Captation de l’attention et circuit de la récompense

La captation de l’attention par les écrans et le circuit de la récompense sont des mécanismes complexes qui peuvent être comparés à une forme d’addiction. Les éditeurs de sites Internet et de réseaux sociaux utilisent ces mécanismes pour attirer notre regard et notre écoute, en utilisant des techniques adaptées aux écrans. Ils jouent sur le plaisir immédiat et la récompense pour maintenir notre attention. Par exemple, recevoir des “likes” sur les réseaux sociaux libère de la dopamine, l’hormone liée à la récompense et au processus addictif.

Internet a exacerbé ces mécanismes en raison de la diversité des plateformes et des contenus disponibles. Les producteurs de ces contenus utilisent les connaissances scientifiques sur le fonctionnement du cerveau pour capter et retenir notre attention.

Les priorités de l’action gouvernementale

Le gouvernement met en place différentes actions pour faire face aux usages problématiques des écrans :

1. Encourager la recherche sur les risques liés à la pratique excessive des écrans

Il est essentiel de mieux documenter les types d’usages ou de contenus susceptibles d’être problématiques, ainsi que leurs effets sur les usagers. Il est également important d’évaluer l’efficacité des différentes réglementations possibles.

2. Mieux informer le grand public sur les bons usages des écrans

Plusieurs ressources sont disponibles pour informer le public sur les bons usages des écrans, notamment :

  • La campagne annuelle “Enfants et écrans” du CSA, relayée par toutes les chaînes de télévision.
  • La série “La Famille Tout-Ecran” conçue par la Caisse nationale d’Allocations Familiales en partenariat avec le CLEMI.
  • Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr, qui lutte contre l’exposition des mineurs aux contenus pornographiques en ligne.
  • Le programme national “Permis Internet pour les enfants” pour un usage vigilant, sûr et responsable d’Internet.
  • Le kit “Educ’Ecrans” élaboré par la Fédération nationale des parents et des éducateurs.
  • Le site PédaGoJeux.fr, animé par un collectif d’acteurs du jeu vidéo.
  • Des conseils simples sont également proposés aux parents par des experts, comme la règle du 0-3-6-9-12 définie par Serge Tisseron.

3. Faciliter le repérage des signes d’alerte et l’orientation vers des structures d’aide et de conseil

Des structures spécialisées sont disponibles pour aider les jeunes et leurs familles à faire face aux problèmes liés aux usages problématiques des écrans. Les pédopsychiatres, les centres médico-psycho-pédagogiques (CMPP) et les maisons des adolescents (MDA) sont des exemples de structures adaptées pour rencontrer des professionnels de santé. Pour les plus âgés, les consultations jeunes consommateurs (CJC) sont disponibles dans tous les départements.

En conclusion, il est essentiel de prendre conscience des risques liés aux usages problématiques des écrans, tant pour les enfants et les adolescents que pour les adultes. Il est nécessaire de promouvoir une utilisation responsable des écrans et de mettre en place des actions visant à informer et à accompagner les usagers. La recherche continue dans ce domaine est également cruciale pour mieux comprendre les vulnérabilités et trouver des solutions adaptées.