Par Rosward le 15/12/2020
Ah, ma Peugeot 306 1.4 SL essence de 1994 ! Je me souviens encore du jour où je l’ai achetée en janvier 2018. Et maintenant, après trois ans de bons et loyaux services, je vais devoir m’en séparer début 2021. Mais avant de laisser partir ma fidèle compagne, laissez-moi vous raconter mon expérience avec cette voiture d’occasion.
Une esthétique séduisante et un espace généreux
Dès le premier regard, j’ai été séduit par l’allure de cette Peugeot 306. Grâce à sa version sedan, elle avait le charme d’une vraie berline, bien différente des carrosseries habituelles. En plus de son look attrayant, elle offrait également un espace généreux dans le coffre, ce qui me rappelait la Peugeot 405 de mon grand-père, une voiture qui m’avait toujours impressionné.
Conduite agréable malgré l’absence d’options
Malgré l’absence de nombreuses options sur ma version (direction assistée, ABS, airbags, climatisation, régulateur de vitesse, antibrouillards, ESP, ouverture centralisée…), conduire cette Peugeot 306 était un véritable plaisir. Les sièges étaient incroyablement confortables, et je n’ai jamais eu mal au dos pendant les trois années et les 50 000 kilomètres passés à son volant.
Une mécanique simple et fiable
La mécanique de cette voiture était à la fois simple et peu coûteuse. Pas de système électronique compliqué, des pièces bon marché et facilement disponibles. L’entretien était donc très abordable. De plus, cette Peugeot 306 était incroyablement fiable. Malgré quelques petits soucis d’usure, elle n’a jamais refusé de démarrer. Son moteur TU3JP était robuste et fiable, même si elle consommait un peu d’huile. J’ai dû surveiller régulièrement le niveau d’huile et en rajouter, mais cela n’a jamais empêché ma voiture de tourner comme une horloge.
Un point faible en termes de sécurité
Cependant, si je devais lui trouver un point faible, ce serait au niveau de la sécurité. Malgré son poids raisonnable de 1040 kg, il fallait anticiper les freinages, surtout les freinages d’urgence. Sans ABS et avec des tambours à l’arrière, j’avais besoin d’une bonne distance pour m’arrêter. Les freinages brusques pouvaient être difficiles à gérer. De plus, l’absence d’airbags et d’ESP rendait la conduite plus prudente, mais aussi moins rassurante.
Des souvenirs inoubliables
Bien que je doive me séparer de ma Peugeot 306, je ne pourrai jamais oublier les bons moments passés à son volant. Elle a encore de nombreux kilomètres à parcourir, mais j’ai décidé de me tourner vers une voiture plus récente, une Volvo S60 1 de 2007. Adieu ma fidèle Peugeot, tu me manqueras !