La vie réserve parfois son lot de difficultés financières, telles que la perte d’emploi, le chômage, les dettes accumulées ou l’épuisement professionnel. Malgré ces obstacles, l’achat d’une voiture peut parfois s’avérer essentiel. Cependant, une fois piégé dans un cercle de dettes, obtenir un prêt automobile devient plus complexe. Dans ces situations, il est tentant de recourir à des financements de deuxième ou même de troisième chance, malgré les taux d’intérêt plus élevés. Mais saviez-vous que cela peut également avoir un impact sur votre assurance automobile ? Dans cet article, nous souhaitons démystifier l’augmentation du prix de votre assurance pour votre nouveau véhicule si vous optez pour un financement avec un taux d’intérêt élevé, ainsi que la raison pour laquelle certains assureurs pourraient vous refuser leur protection.
Pas de seconde chance auprès de votre assureur automobile !
Face à des difficultés financières, vous avez opté pour un financement de deuxième chance afin d’acquérir cette voiture essentielle à vos déplacements. Dernière étape avant de prendre la route : contacter votre assureur. Cependant, lorsque vous lui fournissez les coordonnées de votre nouveau créancier ou bailleur, il refuse de vous assurer en raison de votre prêt automobile à taux d’intérêt élevé. En effet, si ce taux dépasse 10%, il peut constituer une raison valable de refus chez les assureurs traditionnels.
Cependant, ne paniquez pas et restez raisonnable : contactez un courtier d’assurance indépendant spécialisé dans l’assurance automobile pour les véhicules présentant un taux d’intérêt élevé et un créancier non conventionnel. Peu d’assureurs acceptent d’assurer des véhicules financés par des créanciers de deuxième ou de troisième chance. Toutefois, chez Assurances Multi-Risques, en tant que courtiers indépendants, nous nous engageons à vous offrir la meilleure couverture au meilleur prix possible.
Pourquoi ce refus d’assurance ?
L’assurance de dommages se base principalement sur des statistiques telles que la fréquence des sinistres, les coûts associés, l’âge et le sexe des conducteurs, et comme vous l’avez probablement deviné… la cote de crédit des assurés ! Grâce à l’analyse de ces données, les assureurs ont constaté que les personnes ayant une cote de crédit inférieure à la moyenne présentent un risque plus élevé de faire une réclamation que celles ayant une cote de crédit plus élevée. C’est la justification du refus de certains assureurs. En effet, lorsque vous achetez ou louez un véhicule en ayant recours à un financement de deuxième ou de troisième chance, cela signifie souvent que vous essayez d’améliorer votre crédit auprès des agences de crédit. Certains assureurs sont donc plus réticents à offrir une assurance lorsque vous avez un créancier ou un bailleur impliqué avec des taux d’intérêt élevés. Le même raisonnement peut s’appliquer aux personnes ayant fait faillite.
En se présentant comme des sauveurs avec leurs slogans “Deuxième chance au crédit” et “Aucun dossier refusé”, les créanciers non conventionnels peuvent sembler attrayants. Cependant, comme vous le savez maintenant, opter pour un financement de deuxième chance implique non seulement des taux d’intérêt exorbitants, mais aussi des complications potentielles avec votre assureur. Chez Assurances Multi-Risques, nous comprenons que peu importe votre situation financière, l’achat d’un véhicule peut parfois être essentiel. Si vous êtes obligé de faire affaire avec un créancier de deuxième chance, nous vous encourageons à contacter un courtier d’assurance indépendant spécialisé dans l’assurance automobile non conventionnelle avant de finaliser votre achat. Vous éviterez ainsi de mauvaises surprises et de vous endetter davantage.