Le crédit auto se justifie même au chômage
La plupart du temps, les personnes au chômage qui demandent un crédit auto le font par nécessité plutôt que par choix de confort. Les statistiques montrent que ces ménages modestes rencontrent déjà des difficultés financières, comme un surplus de charges de remboursement ou un recours fréquent au découvert bancaire en fin de mois.
Il est donc compréhensible que les personnes en situation précaire, telles que les chômeurs, souhaitent faire une demande de crédit auto. Un véhicule est souvent indispensable pour accéder à de nombreux emplois ! En effet, bon nombre d’entre eux se trouvent à plusieurs kilomètres du domicile et sont souvent inaccessibles en transports en commun. Il est donc essentiel d’avoir une voiture pour se rendre sur son lieu de travail. Ainsi, de nombreux demandeurs d’emploi sont contraints de refuser des offres d’emploi faute de moyen de transport. Dans ce cas, souscrire un crédit auto lorsqu’on est au chômage devient souvent nécessaire pour acheter une voiture.
Peut-on faire un crédit auto lorsqu’on est au chômage ?
En pratique, ne pas disposer de ressources financières suffisantes pour souscrire un crédit auto n’est pas un argument convaincant pour les organismes financiers. Ainsi, si la seule source de revenu du particulier qui souhaite emprunter est une indemnité chômage, l’établissement de crédit sera généralement réticent à accorder un crédit auto. Il pourra avancer que le taux d’endettement dépasse le seuil autorisé de 33%.
Néanmoins, la loi n’interdit pas aux chômeurs d’emprunter de l’argent. Il est donc possible pour un chômeur d’obtenir un crédit auto, d’autant plus que cela peut être considéré, par certains prêteurs, comme un accélérateur dans le retour à la vie active. Il est toutefois préférable que la durée de remboursement n’excède pas la période de chômage.
Quelles sont les aides pour obtenir un crédit auto lorsqu’on est au chômage ?
Certaines associations accompagnent les demandeurs d’emploi souhaitant souscrire un crédit auto, comme l’ADIE (Association pour le droit à l’initiative économique). Cette association supplée les circuits bancaires traditionnels en octroyant des sommes d’argent limitées, appelées micro-crédits, aux personnes sans emploi. Ainsi, si vous suivez un projet d’insertion professionnelle ou que vous avez besoin de manière urgente d’un crédit auto pour faire réparer votre voiture, il devient possible de souscrire un prêt sans devoir présenter de fiche de paie, à condition de pouvoir justifier d’une demande valable.
La CAF (Caisse d’allocations familiales) propose également des aides pour les chômeurs qui ont besoin d’acheter un véhicule afin de faciliter leur retour à la vie professionnelle. Il s’agit notamment du Prêt d’honneur et du Prêt préventif.
- Le Prêt d’honneur : cette aide équivaut à un prêt à taux zéro. Son montant maximum est de 1 830 euros et il peut être remboursé en 36 mensualités de 30 euros. Pour en bénéficier, il faut être allocataire de la CAF et avoir au moins un enfant à charge. Ce prêt est accordé de manière exceptionnelle, sur décision de la commission d’action sociale. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre agence pour savoir si vous y êtes éligible.
- Le Prêt préventif : il s’agit d’une aide financière d’urgence qui vise à couvrir les dépenses imprévues causées par un événement soudain. Par exemple, si votre véhicule nécessite des réparations qui vous empêchent de vous déplacer. Le montant maximum de ce prêt est de 1 250 euros et vous disposez de 50 mois à compter de la date de l’emprunt pour le rembourser. Cependant, ce prêt est soumis à des conditions strictes : il est impératif de fournir une attestation du garage certifiant que votre véhicule est hors d’usage ou que le montant des réparations dépasse sa valeur.
En conclusion, il est tout à fait possible de demander un crédit auto lorsqu’on est au chômage. Même si cela peut être plus difficile, il existe des aides et des solutions adaptées aux personnes en situation précaire. N’hésitez pas à vous renseigner auprès des associations et des organismes compétents pour trouver la meilleure option pour vous.
Le crédit auto se justifie même au chômage
La plupart du temps, les personnes au chômage qui demandent un crédit auto le font par nécessité plutôt que par choix de confort. Les statistiques montrent que ces ménages modestes rencontrent déjà des difficultés financières, comme un surplus de charges de remboursement ou un recours fréquent au découvert bancaire en fin de mois.
Il est donc compréhensible que les personnes en situation précaire, telles que les chômeurs, souhaitent faire une demande de crédit auto. Un véhicule est souvent indispensable pour accéder à de nombreux emplois ! En effet, bon nombre d’entre eux se trouvent à plusieurs kilomètres du domicile et sont souvent inaccessibles en transports en commun. Il est donc essentiel d’avoir une voiture pour se rendre sur son lieu de travail. Ainsi, de nombreux demandeurs d’emploi sont contraints de refuser des offres d’emploi faute de moyen de transport. Dans ce cas, souscrire un crédit auto lorsqu’on est au chômage devient souvent nécessaire pour acheter une voiture.
Peut-on faire un crédit auto lorsqu’on est au chômage ?
En pratique, ne pas disposer de ressources financières suffisantes pour souscrire un crédit auto n’est pas un argument convaincant pour les organismes financiers. Ainsi, si la seule source de revenu du particulier qui souhaite emprunter est une indemnité chômage, l’établissement de crédit sera généralement réticent à accorder un crédit auto. Il pourra avancer que le taux d’endettement dépasse le seuil autorisé de 33%.
Néanmoins, la loi n’interdit pas aux chômeurs d’emprunter de l’argent. Il est donc possible pour un chômeur d’obtenir un crédit auto, d’autant plus que cela peut être considéré, par certains prêteurs, comme un accélérateur dans le retour à la vie active. Il est toutefois préférable que la durée de remboursement n’excède pas la période de chômage.
Quelles sont les aides pour obtenir un crédit auto lorsqu’on est au chômage ?
Certaines associations accompagnent les demandeurs d’emploi souhaitant souscrire un crédit auto, comme l’ADIE (Association pour le droit à l’initiative économique). Cette association supplée les circuits bancaires traditionnels en octroyant des sommes d’argent limitées, appelées micro-crédits, aux personnes sans emploi. Ainsi, si vous suivez un projet d’insertion professionnelle ou que vous avez besoin de manière urgente d’un crédit auto pour faire réparer votre voiture, il devient possible de souscrire un prêt sans devoir présenter de fiche de paie, à condition de pouvoir justifier d’une demande valable.
La CAF (Caisse d’allocations familiales) propose également des aides pour les chômeurs qui ont besoin d’acheter un véhicule afin de faciliter leur retour à la vie professionnelle. Il s’agit notamment du Prêt d’honneur et du Prêt préventif.
- Le Prêt d’honneur : cette aide équivaut à un prêt à taux zéro. Son montant maximum est de 1 830 euros et il peut être remboursé en 36 mensualités de 30 euros. Pour en bénéficier, il faut être allocataire de la CAF et avoir au moins un enfant à charge. Ce prêt est accordé de manière exceptionnelle, sur décision de la commission d’action sociale. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre agence pour savoir si vous y êtes éligible.
- Le Prêt préventif : il s’agit d’une aide financière d’urgence qui vise à couvrir les dépenses imprévues causées par un événement soudain. Par exemple, si votre véhicule nécessite des réparations qui vous empêchent de vous déplacer. Le montant maximum de ce prêt est de 1 250 euros et vous disposez de 50 mois à compter de la date de l’emprunt pour le rembourser. Cependant, ce prêt est soumis à des conditions strictes : il est impératif de fournir une attestation du garage certifiant que votre véhicule est hors d’usage ou que le montant des réparations dépasse sa valeur.
En conclusion, il est tout à fait possible de demander un crédit auto lorsqu’on est au chômage. Même si cela peut être plus difficile, il existe des aides et des solutions adaptées aux personnes en situation précaire. N’hésitez pas à vous renseigner auprès des associations et des organismes compétents pour trouver la meilleure option pour vous.
