Pourquoi diversifier son portefeuille d’investissement ?

Pourquoi diversifier son portefeuille d’investissement ?

Diversifier son portefeuille d’investissement est une pratique indispensable si vous voulez diluer le risque et augmenter les chances de rentabilité ! Immobilier, crowdfunding, bourse : quelles catégories de placement choisir ? Vers quel professionnel se tourner ? Ooinvestir vous explique pourquoi il est important d’avoir un portefeuille diversifié et comment le constituer.

En quoi consiste la diversification d’un portefeuille d’investissement ?

Diversifier son portefeuille consiste à détenir des actifs dans plusieurs supports financiers (immobilier, SCPI, crowdfunding, assurance-vie, bourse, etc.). Cette mécanique permet d’investir son argent sans prendre le risque de tout perdre en plaçant ses œufs dans le même panier.

Un investisseur lambda peut choisir de se lancer seul, à condition de bien se familiariser avec et d’investir progressivement, ou de se faire accompagner par un professionnel.

Pour quelles raisons faut-il diversifier votre portefeuille d’investissement ?

Un portefeuille d’investissement diversifié permet de répondre à 2 objectifs majeurs :

  • Diluer le risque inhérent à tout placement ;
  • Augmenter les chances de rentabilité.

Diluer le risque

Dans le monde de l’investissement – que ce soit en bourse, dans l’immobilier ou le crowdfunding – le risque de perte en capital existe sur chaque produit. Mais ce risque comporte aussi un avantage : la volatilité des valeurs et des prix en fait la principale attractivité de ces investissements.

Sauf conjoncture négative, il est relativement rare que tous vos instruments boursiers affichent un mauvais rendement au même moment. Si vous détenez entre 12 et 15 titres dans votre portefeuille, le risque sera confortablement dilué. En revanche, au-delà de 15 titres, la performance sera trop impactée par vos frais, puisque chaque investissement implique des coûts fixes.

Ce constat vaut aussi pour le crowdfunding immobilier. Certains programmes affichent des rendements supérieurs à 10 % quand d’autres ne dépassent pas les 5 % : mieux vaut se constituer un portefeuille équilibré.

Enfin, dans l’immobilier locatif, la rentabilité est étroitement liée à la valeur du marché de votre ville d’implantation. Étudiez bien toutes les caractéristiques !

La diversification reste une question d’équilibre, ne soyez pas trop gourmand.

Augmenter les chances de rentabilité

Une bonne stratégie de diversification se traduit aussi par la possibilité de saisir des opportunités avec des rendements séduisants. En effet, certains produits comme l’assurance-vie ou le crowdfunding augmentent la performance de vos placements mais les risques sont plus élevés. L’immobilier, quant à lui, dépend en fonction de nombreux paramètres qu’il est plus difficile de contrôler.

Comment commencer à diversifier son portefeuille d’investissement ?

Tenté par la diversification ? Tournez-vous vers ces 3 grandes catégories de placements :

  • La bourse ;
  • L’immobilier ;
  • Le crowdfunding.

La bourse

La bourse vous ouvre les portes vers de nombreux placements tels que :

  • Les actions ;
  • Les obligations ;
  • Les organismes communs de placements.

Les actions

Une action désigne un titre de propriété d’une entreprise. En d’autres termes, si vous achetez des actions, vous faites partie des propriétaires de l’entreprise. En contrepartie de votre financement, l’entreprise vous verse des dividendes si elle réalise des bénéfices.

L’achat de ces titres peut se faire par achat direct ou via des placements collectifs. Il existe 2 marchés sur lesquels vous pouvez acheter des actions :

  • Primaire : Une entreprise introduite en bourse propose une action « neuve » et fixe son prix d’émission en accord avec les autorités en charge de la régulation.
  • Secondaire : Ce marché de l’occasion fonctionne sur le principe de l’offre et la demande : d’autres investisseurs proposent leurs actions à la revente.

La durée de vie d’une action dépend de votre objectif. En 2013, l’AMF estimait que sur une durée de 25 années (de 1988 à 2013), le rendement réel moyen annuel d’un investissement (avec réinvestissement des dividendes) se situait à 5,81 %.

En 2015, la banque JP Morgan comparait les rendements de différents placements partagés depuis 1950. Voici la variation du rendement :

  • sur 1 an : entre – 37 % et + 51 % ;
  • sur 5 ans : entre – 2 %, et + 28 % ;
  • sur 20 ans : entre + 6 et + 18 %.

Conclusion : le rendement augmente à mesure que vous conservez vos actions. Leur valeur reste fluctuante et comporte toujours un risque au début mais diminue jusqu’à devenir inexistant (en théorie).

À lire aussi  Le contrat de professionnalisation : formez-vous tout en travaillant !

Les obligations

Une obligation se définit comme une partie de dette émise par une entreprise, une collectivité territoriale ou un État. En d’autres termes, si vous achetez des obligations, vous devenez un créancier de l’emprunteur.

Le remboursement de cette dette intervient de la façon suivante :

  • le débiteur vous rémunère périodiquement ;
  • le capital vous est restitué au terme fixé.

Il en existe différents types :

  • à taux fixe : la rémunération est constante jusqu’au terme de l’obligation ;
  • à taux variable : la rémunération est calculée selon 2 taux : un 1er fixe et un 2nd qui dépend de l’évolution d’un taux du marché ;
  • à coupon zéro ou unique : la rémunération est capitalisée et le versement se fait à son terme ;
  • convertibles en actions : la société émettrice prévoit de les transformer contre des actions de la société émettrice.

Les placements en obligations affichent des rendements modérés moyennant quelques risques, notamment sur celles à taux variable qui peuvent perdre en rentabilité en cas d’inflation.

Les organismes communs de placements (OCP)

Ces produits d’épargne fonctionnent comme de véritables portefeuilles collectifs. L’avantage ? Ils sont gérés par une société de gestion (bancaire ou financier) et contrôlés par l’AMF (Autorité des marchés financiers). Vous en trouverez de plusieurs sortes :

  • les sociétés d’investissement à capital variable (SICAV) ouvrent leurs portes à des actionnaires et leur constituent des portefeuilles de valeurs mobilières ;
  • les fonds communs de placement (FCP) se différencient des SICAV car ce sont des copropriétés et non des sociétés. L’investisseur devient donc un associé et non un actionnaire ;
  • les fonds d’investissements alternatif (FIA) constituent un choix très judicieux si vous voulez investir dans un secteur en particulier comme l’immobilier (SCPI, les OPCI, etc.) ou l’innovation (FCPI) ;
  • les ETF (ou trackers) sont des placements qui suivent l’évolution d’un indice boursier (de marché ou de stratégie) en continu. Ce produit peut aussi bénéficier de l’effet de levier afin de multiplier les tendances de l’indice qu’il suit. Les ETF peuvent donc être des solutions entraînant de gros gains ou causant une importante perte en capital.

Les matières premières font partie des supports moins conventionnels. Leur cours se caractérise notamment par une grande volatilité. Un conseil : n’y placez pas plus de 10 % de votre portefeuille au risque de perdre trop d’argent.

L’immobilier

L’immobilier demeure l’un des placements préférés des Français. Il a donc tout à fait sa place dans un portefeuille d’investissement.

L’immobilier locatif

L’investissement immobilier locatif répond à de nombreux objectifs comme se constituer un patrimoine, percevoir un revenu complémentaire, réduire son imposition grâce aux dispositifs fiscaux existants ou encore réaliser une plus-value financière.

Placement de sécurité, l’immobilier locatif rassure. D’abord parce qu’il constitue un bien qui peut être vendu à tout moment (même en cours de bail) ou qui permet d’héberger des proches. Ensuite parce qu’il permet d’obtenir une rentabilité fixe et durable.

Néanmoins, les risques de vacance locative, de non-paiement du loyer et la contrainte de la gestion peuvent freiner certains investisseurs.

La SCPI

L’investissement en pierre-papier écarte les risques de l’immobilier locatif puisque l’investisseur achète des parts dans une société de gestion et non un bien. Ainsi partagé, le risque est fortement dilué. Côté rentabilité, ce placement affichait un taux séduisant de 4,18 % net de charges en 2020.

Les SCPI se décomposent en 3 grandes familles :

  • la SCPI de rendement qui regroupe l’immobilier d’entreprise ;
  • la SCPI fiscale qui possède des biens conformes aux dispositifs de défiscalisation (loi Pinel, loi Malraux, loi Denormandie et déficit foncier) ;
  • la SCPI de plus-value, qui se concentre dans l’immobilier résidentiel pour optimiser la plus-value.

Le crowdfunding

Pour densifier votre portefeuille, avez-vous pensé au crowdfunding ? Ce dispositif de collecte permet à un porteur de projet de mobiliser des fonds pour financer un projet grâce à une plateforme Internet.

Simple, accessible à tous les profils et d’une durée relativement courte, ce type de financement séduit aussi par certaines perspectives de rentabilité : jusqu’à 10 % sur certains projets !

Immobilier, transition écologique, généraliste : il existe des plateformes dans de nombreux secteurs. Lequel vous tentera le plus ?

Le placement en crowdlending peut aussi s’inscrire dans une stratégie de diversification. La différence ? Il s’agit d’un prêt (« lend ») avec des intérêts versés périodiquement.

À quel professionnel faire appel pour aider dans la diversification de votre portefeuille d’investissement ?

Si certains investisseurs font cavaliers seuls dans le milieu du trading, d’autres choisissent de se faire accompagner par des professionnels. Le plus adapté pour élaborer une stratégie de diversification ? Le conseiller en investissement financier (CIF).

Cet intermédiaire vous conseille sur les meilleures façons de placer votre épargne. Son expertise porte sur les actions, les instruments financiers à terme, les services d’investissement ou encore les opérations de biens (œuvres d’art, panneaux, solaires, etc.).

Tournez-vous uniquement vers des professionnels possédant le statut de CIF et immatriculé au registre ORIAS.

Avant de commencer sa prestation, un CIF doit d’abord connaître votre situation financière, étudier vos objectifs d’investissement ainsi que vos connaissances et votre expérience en la matière. Le risque étant une composante majeure de tout investissement, il doit aussi définir votre tolérance au risque ainsi que votre capacité à le subir. Pour cela, il vous posera de nombreuses questions : répondez avec la plus grande précision possible.

À lire aussi  Calculer sa capacité d’emprunt : les secrets pour réussir son investissement immobilier

Une fois ces informations réunies, le conseiller en investissement financier disposera de toutes les informations pour vous accompagner. Ensuite, libre à vous de suivre ses conseils.

Diversifier son portefeuille d’investissement est une pratique indispensable si vous voulez diluer le risque et augmenter les chances de rentabilité ! Immobilier, crowdfunding, bourse : quelles catégories de placement choisir ? Vers quel professionnel se tourner ? Ooinvestir vous explique pourquoi il est important d’avoir un portefeuille diversifié et comment le constituer.

En quoi consiste la diversification d’un portefeuille d’investissement ?

Diversifier son portefeuille consiste à détenir des actifs dans plusieurs supports financiers (immobilier, SCPI, crowdfunding, assurance-vie, bourse, etc.). Cette mécanique permet d’investir son argent sans prendre le risque de tout perdre en plaçant ses œufs dans le même panier.

Un investisseur lambda peut choisir de se lancer seul, à condition de bien se familiariser avec et d’investir progressivement, ou de se faire accompagner par un professionnel.

Pour quelles raisons faut-il diversifier votre portefeuille d’investissement ?

Un portefeuille d’investissement diversifié permet de répondre à 2 objectifs majeurs :

  • Diluer le risque inhérent à tout placement ;
  • Augmenter les chances de rentabilité.

Diluer le risque

Dans le monde de l’investissement – que ce soit en bourse, dans l’immobilier ou le crowdfunding – le risque de perte en capital existe sur chaque produit. Mais ce risque comporte aussi un avantage : la volatilité des valeurs et des prix en fait la principale attractivité de ces investissements.

Sauf conjoncture négative, il est relativement rare que tous vos instruments boursiers affichent un mauvais rendement au même moment. Si vous détenez entre 12 et 15 titres dans votre portefeuille, le risque sera confortablement dilué. En revanche, au-delà de 15 titres, la performance sera trop impactée par vos frais, puisque chaque investissement implique des coûts fixes.

Ce constat vaut aussi pour le crowdfunding immobilier. Certains programmes affichent des rendements supérieurs à 10 % quand d’autres ne dépassent pas les 5 % : mieux vaut se constituer un portefeuille équilibré.

Enfin, dans l’immobilier locatif, la rentabilité est étroitement liée à la valeur du marché de votre ville d’implantation. Étudiez bien toutes les caractéristiques !

La diversification reste une question d’équilibre, ne soyez pas trop gourmand.

Augmenter les chances de rentabilité

Une bonne stratégie de diversification se traduit aussi par la possibilité de saisir des opportunités avec des rendements séduisants. En effet, certains produits comme l’assurance-vie ou le crowdfunding augmentent la performance de vos placements mais les risques sont plus élevés. L’immobilier, quant à lui, dépend en fonction de nombreux paramètres qu’il est plus difficile de contrôler.

Comment commencer à diversifier son portefeuille d’investissement ?

Tenté par la diversification ? Tournez-vous vers ces 3 grandes catégories de placements :

  • La bourse ;
  • L’immobilier ;
  • Le crowdfunding.

La bourse

La bourse vous ouvre les portes vers de nombreux placements tels que :

  • Les actions ;
  • Les obligations ;
  • Les organismes communs de placements.

Les actions

Une action désigne un titre de propriété d’une entreprise. En d’autres termes, si vous achetez des actions, vous faites partie des propriétaires de l’entreprise. En contrepartie de votre financement, l’entreprise vous verse des dividendes si elle réalise des bénéfices.

L’achat de ces titres peut se faire par achat direct ou via des placements collectifs. Il existe 2 marchés sur lesquels vous pouvez acheter des actions :

  • Primaire : Une entreprise introduite en bourse propose une action « neuve » et fixe son prix d’émission en accord avec les autorités en charge de la régulation.
  • Secondaire : Ce marché de l’occasion fonctionne sur le principe de l’offre et la demande : d’autres investisseurs proposent leurs actions à la revente.

La durée de vie d’une action dépend de votre objectif. En 2013, l’AMF estimait que sur une durée de 25 années (de 1988 à 2013), le rendement réel moyen annuel d’un investissement (avec réinvestissement des dividendes) se situait à 5,81 %.

En 2015, la banque JP Morgan comparait les rendements de différents placements partagés depuis 1950. Voici la variation du rendement :

  • sur 1 an : entre – 37 % et + 51 % ;
  • sur 5 ans : entre – 2 %, et + 28 % ;
  • sur 20 ans : entre + 6 et + 18 %.

Conclusion : le rendement augmente à mesure que vous conservez vos actions. Leur valeur reste fluctuante et comporte toujours un risque au début mais diminue jusqu’à devenir inexistant (en théorie).

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Les obligations

Une obligation se définit comme une partie de dette émise par une entreprise, une collectivité territoriale ou un État. En d’autres termes, si vous achetez des obligations, vous devenez un créancier de l’emprunteur.

Le remboursement de cette dette intervient de la façon suivante :

  • le débiteur vous rémunère périodiquement ;
  • le capital vous est restitué au terme fixé.

Il en existe différents types :

  • à taux fixe : la rémunération est constante jusqu’au terme de l’obligation ;
  • à taux variable : la rémunération est calculée selon 2 taux : un 1er fixe et un 2nd qui dépend de l’évolution d’un taux du marché ;
  • à coupon zéro ou unique : la rémunération est capitalisée et le versement se fait à son terme ;
  • convertibles en actions : la société émettrice prévoit de les transformer contre des actions de la société émettrice.

Les placements en obligations affichent des rendements modérés moyennant quelques risques, notamment sur celles à taux variable qui peuvent perdre en rentabilité en cas d’inflation.

Les organismes communs de placements (OCP)

Ces produits d’épargne fonctionnent comme de véritables portefeuilles collectifs. L’avantage ? Ils sont gérés par une société de gestion (bancaire ou financier) et contrôlés par l’AMF (Autorité des marchés financiers). Vous en trouverez de plusieurs sortes :

  • les sociétés d’investissement à capital variable (SICAV) ouvrent leurs portes à des actionnaires et leur constituent des portefeuilles de valeurs mobilières ;
  • les fonds communs de placement (FCP) se différencient des SICAV car ce sont des copropriétés et non des sociétés. L’investisseur devient donc un associé et non un actionnaire ;
  • les fonds d’investissements alternatif (FIA) constituent un choix très judicieux si vous voulez investir dans un secteur en particulier comme l’immobilier (SCPI, les OPCI, etc.) ou l’innovation (FCPI) ;
  • les ETF (ou trackers) sont des placements qui suivent l’évolution d’un indice boursier (de marché ou de stratégie) en continu. Ce produit peut aussi bénéficier de l’effet de levier afin de multiplier les tendances de l’indice qu’il suit. Les ETF peuvent donc être des solutions entraînant de gros gains ou causant une importante perte en capital.

Les matières premières font partie des supports moins conventionnels. Leur cours se caractérise notamment par une grande volatilité. Un conseil : n’y placez pas plus de 10 % de votre portefeuille au risque de perdre trop d’argent.

L’immobilier

L’immobilier demeure l’un des placements préférés des Français. Il a donc tout à fait sa place dans un portefeuille d’investissement.

L’immobilier locatif

L’investissement immobilier locatif répond à de nombreux objectifs comme se constituer un patrimoine, percevoir un revenu complémentaire, réduire son imposition grâce aux dispositifs fiscaux existants ou encore réaliser une plus-value financière.

Placement de sécurité, l’immobilier locatif rassure. D’abord parce qu’il constitue un bien qui peut être vendu à tout moment (même en cours de bail) ou qui permet d’héberger des proches. Ensuite parce qu’il permet d’obtenir une rentabilité fixe et durable.

Néanmoins, les risques de vacance locative, de non-paiement du loyer et la contrainte de la gestion peuvent freiner certains investisseurs.

La SCPI

L’investissement en pierre-papier écarte les risques de l’immobilier locatif puisque l’investisseur achète des parts dans une société de gestion et non un bien. Ainsi partagé, le risque est fortement dilué. Côté rentabilité, ce placement affichait un taux séduisant de 4,18 % net de charges en 2020.

Les SCPI se décomposent en 3 grandes familles :

  • la SCPI de rendement qui regroupe l’immobilier d’entreprise ;
  • la SCPI fiscale qui possède des biens conformes aux dispositifs de défiscalisation (loi Pinel, loi Malraux, loi Denormandie et déficit foncier) ;
  • la SCPI de plus-value, qui se concentre dans l’immobilier résidentiel pour optimiser la plus-value.

Le crowdfunding

Pour densifier votre portefeuille, avez-vous pensé au crowdfunding ? Ce dispositif de collecte permet à un porteur de projet de mobiliser des fonds pour financer un projet grâce à une plateforme Internet.

Simple, accessible à tous les profils et d’une durée relativement courte, ce type de financement séduit aussi par certaines perspectives de rentabilité : jusqu’à 10 % sur certains projets !

Immobilier, transition écologique, généraliste : il existe des plateformes dans de nombreux secteurs. Lequel vous tentera le plus ?

Le placement en crowdlending peut aussi s’inscrire dans une stratégie de diversification. La différence ? Il s’agit d’un prêt (« lend ») avec des intérêts versés périodiquement.

À quel professionnel faire appel pour aider dans la diversification de votre portefeuille d’investissement ?

Si certains investisseurs font cavaliers seuls dans le milieu du trading, d’autres choisissent de se faire accompagner par des professionnels. Le plus adapté pour élaborer une stratégie de diversification ? Le conseiller en investissement financier (CIF).

Cet intermédiaire vous conseille sur les meilleures façons de placer votre épargne. Son expertise porte sur les actions, les instruments financiers à terme, les services d’investissement ou encore les opérations de biens (œuvres d’art, panneaux, solaires, etc.).

Tournez-vous uniquement vers des professionnels possédant le statut de CIF et immatriculé au registre ORIAS.

Avant de commencer sa prestation, un CIF doit d’abord connaître votre situation financière, étudier vos objectifs d’investissement ainsi que vos connaissances et votre expérience en la matière. Le risque étant une composante majeure de tout investissement, il doit aussi définir votre tolérance au risque ainsi que votre capacité à le subir. Pour cela, il vous posera de nombreuses questions : répondez avec la plus grande précision possible.

Une fois ces informations réunies, le conseiller en investissement financier disposera de toutes les informations pour vous accompagner. Ensuite, libre à vous de suivre ses conseils.