Ah, le stress et l’anxiété, ces maudites bêtes noires qui nous pourrissent la vie ! Mais rassurez-vous, chères amies, j’ai quelques astuces bien utiles pour les chasser loin, très loin.
Sociabiliser sans limite
David Gourion le dit haut et fort : “Le lien, l’amitié, et la convivialité sont de puissants anti-stress dans notre vie. Nous devons continuer à sociabiliser.” Alors même si le monde nous pousse à nous isoler, résistons ! Les réunions de famille et les moments partagés avec nos proches sont de véritables trésors pour notre bien-être.
Différer et prendre le contrôle
Les soucis nous collent à la peau, mais ne soyons pas leurs valets ! Nous pouvons choisir de fixer un rendez-vous avec nos angoisses à un moment où nous serons prêts à agir. L’évitement n’est pas la solution, car les soucis reviennent toujours nous hanter. Alors, prenons le contrôle et ne laissons pas nos tourments dicter nos vies.
Prioriser pour mieux respirer
Pour les anxieux, tout semble grave : du moindre ennui du quotidien à la pire catastrophe. Apprenons à classer nos soucis en deux colonnes. Dans la première, mettons les problèmes qui peuvent réellement nous mettre en danger ou menacer nos proches. Pour ceux-ci, prenons le temps de les résoudre et de trouver des solutions. Dans la seconde colonne, laissons les soucis mineurs attendre leur tour.
Trouver sa stratégie anti-stress
Chacun de nous est unique, ma chère. Alors, ne cherchons pas la recette magique qui convient à tous. Pour certains, ce sera le sport, pour d’autres, les arts, la musique ou encore les amis. Trouvons ce qui apaise notre esprit et régule notre stress.
Apprivoiser notre cerveau anxieux
Notre pauvre cerveau anxieux nous joue bien des tours. Il nous fait croire que nos soucis sont inévitables, qu’ils sont une réalité imminente. Mais ne nous laissons pas bernées ! Grâce à la méditation, nous pouvons observer nos inquiétudes, les questionner et les affaiblir. Ainsi, elles ne seront plus que de simples problèmes avec lesquels nous pouvons cohabiter.
Dire adieu à la rumination
La rumination est un marécage où il ne fait pas bon s’éterniser. Elle est douloureuse, inefficace et peut même entraîner des troubles anxieux à long terme. Alors, essayons d’en sortir en posant trois questions cruciales : est-ce que cela éclaircit le problème, est-ce que j’ai trouvé des solutions, est-ce que je me sens soulagée ? Si les réponses sont négatives, nous sommes en train de ruminer. Imaginons notre rumination comme un nuage que nous laissons s’éloigner dans le ciel. Libérons-nous de ce fardeau inutile, ma chère.
Et en bonus, voici quelques petits conseils supplémentaires :
- Soyons comme des chats flexibles, changeons rapidement d’état d’esprit pour assouplir notre attention.
- Pratiquons la méditation de pleine conscience.
- Imaginons le pire scénario pour prendre de la distance.
- Bougeons notre corps, de préférence en pleine nature.
- Bannissons les mots “Et si…” de notre vocabulaire.
- Respirons le matin pour nous offrir une transition et un “reset” comme sur un ordinateur.
- Prévenons nos proches de notre cerveau différent.
- Lisons “Découvrir un sens à sa vie grâce à la logothérapie” de Viktor Emil Frankl, un livre qui nous rappelle l’importance de la dignité.
Ces petits secrets, une fois adoptés, nous aideront à combattre le stress et l’anxiété. Alors, chères amies, partageons-les et vivons pleinement notre vie sans ces ombres qui nous entravent.