La bourse peut sembler un monde complexe et incertain, mais il existe des stratégies pour savoir quand il est judicieux de vendre ou d’acheter des titres financiers. Selon un adage boursier, il est préférable d’acheter quand le marché est en baisse et de vendre lorsqu’il est en hausse. Cela signifie qu’il faut identifier les titres avec un potentiel de croissance lorsque le marché les délaisse, puis les vendre avec une plus-value lorsque la demande est forte. Plusieurs indicateurs peuvent aider à repérer les bons moments pour agir.
L’environnement économique
Les crises financières sont rarement anticipées, mais elles sont souvent précédées par une période d’euphorie et une augmentation de l’endettement. Lorsque certains indicateurs passent au rouge, tels que l’endettement excessif des entreprises, une hausse des primes de risque de crédit ou un marché soutenu par un nombre décroissant de titres, cela peut annoncer une crise financière imminente. Cependant, ces signaux sont souvent difficiles à interpréter pour les investisseurs particuliers moins informés que les professionnels. Il est donc recommandé de consulter régulièrement des sites d’informations économiques pour évaluer la psychologie des marchés.
Quand faut-il acheter ?
Avant de se lancer dans l’achat d’un titre financier, il est essentiel de repérer les actions qui ont une valeur intrinsèque intéressante. Dans l’idéal, il est préférable d’acheter des actions dont les multiples de valorisation ne sont pas trop élevés et d’attendre une consolidation ou un creux de marché pour investir. Plusieurs indicateurs peuvent être pris en compte :
- Le price earning ratio (PER) permet de savoir combien de fois le marché capitalise les bénéfices d’une société. Mieux vaut acheter une action lorsque son PER est bas, car elle sera alors moins chère.
- La prime de risque d’une action représente l’écart de rendement attendu par rapport à un actif sans risque. Une augmentation de cette prime peut être un signal négatif, tandis qu’une diminution ou une disparition de la prime peut annoncer une crise imminente.
- Le rendement d’une action, qui correspond au dividende par action rapporté au cours de bourse, est un indicateur positif lorsqu’il est élevé.
Il est également important d’examiner les perspectives de croissance et d’évolution du bénéfice par action avant de passer à l’achat.
Quand faut-il vendre ?
Pour décider du moment optimal pour vendre, il faut prendre en compte deux facteurs principaux : les événements économiques et les seuils techniques.
- Les événements économiques, tels que les publications de résultats ou les fluctuations du marché, peuvent influencer les cours des actions.
- Les seuils techniques, qui sont déterminés par l’analyse graphique, peuvent également indiquer un retournement de tendance. Par exemple, lorsque le cours d’une action ne parvient pas à franchir une résistance, cela peut être un signal de vente.
Il est également important de surveiller les indicateurs financiers. Lorsque le PER d’une action augmente considérablement, il peut être temps de penser à la vendre. Il est essentiel de se fixer un objectif de cours raisonnable, par exemple une plus-value de 15 % sur 12 mois, pour éviter d’être trop gourmand.
Enfin, il est conseillé de ne pas vendre sous la pression et de ne pas se laisser influencer par la psychologie du marché. Avant de céder un titre, il est judicieux de se demander si les fondamentaux de l’entreprise ont changé et si on l’achèterait à nouveau dans les conditions actuelles.
En suivant ces principes, les investisseurs individuels peuvent prendre des décisions éclairées et augmenter leurs chances de succès sur les marchés financiers. N’oubliez pas de rester informé et de rester fidèle à votre stratégie d’investissement.
La bourse peut sembler un monde complexe et incertain, mais il existe des stratégies pour savoir quand il est judicieux de vendre ou d’acheter des titres financiers. Selon un adage boursier, il est préférable d’acheter quand le marché est en baisse et de vendre lorsqu’il est en hausse. Cela signifie qu’il faut identifier les titres avec un potentiel de croissance lorsque le marché les délaisse, puis les vendre avec une plus-value lorsque la demande est forte. Plusieurs indicateurs peuvent aider à repérer les bons moments pour agir.
L’environnement économique
Les crises financières sont rarement anticipées, mais elles sont souvent précédées par une période d’euphorie et une augmentation de l’endettement. Lorsque certains indicateurs passent au rouge, tels que l’endettement excessif des entreprises, une hausse des primes de risque de crédit ou un marché soutenu par un nombre décroissant de titres, cela peut annoncer une crise financière imminente. Cependant, ces signaux sont souvent difficiles à interpréter pour les investisseurs particuliers moins informés que les professionnels. Il est donc recommandé de consulter régulièrement des sites d’informations économiques pour évaluer la psychologie des marchés.
Quand faut-il acheter ?
Avant de se lancer dans l’achat d’un titre financier, il est essentiel de repérer les actions qui ont une valeur intrinsèque intéressante. Dans l’idéal, il est préférable d’acheter des actions dont les multiples de valorisation ne sont pas trop élevés et d’attendre une consolidation ou un creux de marché pour investir. Plusieurs indicateurs peuvent être pris en compte :
- Le price earning ratio (PER) permet de savoir combien de fois le marché capitalise les bénéfices d’une société. Mieux vaut acheter une action lorsque son PER est bas, car elle sera alors moins chère.
- La prime de risque d’une action représente l’écart de rendement attendu par rapport à un actif sans risque. Une augmentation de cette prime peut être un signal négatif, tandis qu’une diminution ou une disparition de la prime peut annoncer une crise imminente.
- Le rendement d’une action, qui correspond au dividende par action rapporté au cours de bourse, est un indicateur positif lorsqu’il est élevé.
Il est également important d’examiner les perspectives de croissance et d’évolution du bénéfice par action avant de passer à l’achat.
Quand faut-il vendre ?
Pour décider du moment optimal pour vendre, il faut prendre en compte deux facteurs principaux : les événements économiques et les seuils techniques.
- Les événements économiques, tels que les publications de résultats ou les fluctuations du marché, peuvent influencer les cours des actions.
- Les seuils techniques, qui sont déterminés par l’analyse graphique, peuvent également indiquer un retournement de tendance. Par exemple, lorsque le cours d’une action ne parvient pas à franchir une résistance, cela peut être un signal de vente.
Il est également important de surveiller les indicateurs financiers. Lorsque le PER d’une action augmente considérablement, il peut être temps de penser à la vendre. Il est essentiel de se fixer un objectif de cours raisonnable, par exemple une plus-value de 15 % sur 12 mois, pour éviter d’être trop gourmand.
Enfin, il est conseillé de ne pas vendre sous la pression et de ne pas se laisser influencer par la psychologie du marché. Avant de céder un titre, il est judicieux de se demander si les fondamentaux de l’entreprise ont changé et si on l’achèterait à nouveau dans les conditions actuelles.
En suivant ces principes, les investisseurs individuels peuvent prendre des décisions éclairées et augmenter leurs chances de succès sur les marchés financiers. N’oubliez pas de rester informé et de rester fidèle à votre stratégie d’investissement.
