Mardi 1er janvier, le distributeur de Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? avait organisé des avant-premières dans toute la France. L’idée était de lancer le bouche-à-oreille avant la sortie de cette comédie française, prévue pour le 30 janvier. Et à en juger par la foule qui s’est rassemblée devant le Gaumont Opéra à 18 heures, le succès était au rendez-vous. La grande salle Art déco était bondée, avec toutes les places prises. Des familles, des groupes d’amis… Tout le monde était là pour passer un bon moment pendant les fêtes de fin d’année. Et à en croire les éclats de rire et les applaudissements nourris à la fin, tout le monde est reparti enchanté. Nous aussi.
Un scénario bien écrit et des répliques qui fusent
Ce deuxième opus est encore meilleur que le premier, sorti en 2014. Le scénario, coécrit par Philippe de Chauveron et Guy Laurent, est particulièrement bien construit. Les répliques fusent et les rebondissements sont nombreux. Certaines scènes, comme celle avec un jambon, le chien Clovis et André Koffi, sont vraiment hilarantes. Entre les clichés racistes, les remarques franchouillardes et l’humour, la frontière est mince, mais les deux scénaristes s’en sortent haut la main.
Cette fois-ci, Claude (Christian Clavier) et Marie Verneuil (Chantal Lauby) sont de nouveau confrontés à une catastrophe. Leurs quatre filles et leurs gendres veulent quitter la France. Odile et David apprennent l’hébreu pour partir en Israël, Chao et Ségolène rêvent de Shanghaï, Isabelle et Rachid veulent devenir avocats à Alger, tandis que Laure et Charles envisagent de s’installer à Bombay, où Charles souhaite faire carrière à Bollywood. André Koffi est tout aussi effondré : sa fille Viviane va se marier avec une femme (Claudia Tagbo). Au passage, on note qu’en Côte d’Ivoire, être lesbienne n’a rien d’évident.
Des acteurs toujours au top
C’est un plaisir de retrouver Christian Clavier dans le rôle du notaire retraité qui lit Le Figaro Magazine et se transforme en Stéphane Bern lorsqu’il fait visiter aux gendres les châteaux de la Loire. À ses côtés, Chantal Lauby est toujours aussi drôle dans le rôle de la grand-mère désespérée. Comme ses filles et Madeleine Koffi, Marie Verneuil est plus maline que les hommes, qui en prennent pour leur grade. Claude Verneuil est aussi têtu qu’André Koffi. David Benichou (Ary Abittan) est un crétin. Chao Ling (Frédéric Chau) est un pleutre. Charles Koffi (Noom Diawara) se met à pleurer dès qu’il faut aider sa femme.
Un succès annoncé au box-office
Produit par Romain Rojtman, Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? promet d’être un grand succès au box-office. La seule question qui se pose est de savoir combien de millions de spectateurs iront le voir. On peut toutefois noter une petite erreur scénaristique. Rojtman est un expert des comédies chez UGC (Joséphine, Les Profs, Ducobu…), mais il n’est sans doute pas un grand spécialiste de l’aéronautique. Lorsque les Verneuil rentrent de Pékin, on les voit à bord d’un A380 en vol dans le ciel, puis dans la cabine. Mais lorsque l’avion atterrit à Roissy-Charles-de-Gaulle, il ne s’agit plus d’un A380. Qu’importe, cela prête à rire aussi.
Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu ? sera en salles le 30 janvier.
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Mardi 1er janvier, le distributeur de Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? avait organisé des avant-premières dans toute la France. L’idée était de lancer le bouche-à-oreille avant la sortie de cette comédie française, prévue pour le 30 janvier. Et à en juger par la foule qui s’est rassemblée devant le Gaumont Opéra à 18 heures, le succès était au rendez-vous. La grande salle Art déco était bondée, avec toutes les places prises. Des familles, des groupes d’amis… Tout le monde était là pour passer un bon moment pendant les fêtes de fin d’année. Et à en croire les éclats de rire et les applaudissements nourris à la fin, tout le monde est reparti enchanté. Nous aussi.
Un scénario bien écrit et des répliques qui fusent
Ce deuxième opus est encore meilleur que le premier, sorti en 2014. Le scénario, coécrit par Philippe de Chauveron et Guy Laurent, est particulièrement bien construit. Les répliques fusent et les rebondissements sont nombreux. Certaines scènes, comme celle avec un jambon, le chien Clovis et André Koffi, sont vraiment hilarantes. Entre les clichés racistes, les remarques franchouillardes et l’humour, la frontière est mince, mais les deux scénaristes s’en sortent haut la main.
Cette fois-ci, Claude (Christian Clavier) et Marie Verneuil (Chantal Lauby) sont de nouveau confrontés à une catastrophe. Leurs quatre filles et leurs gendres veulent quitter la France. Odile et David apprennent l’hébreu pour partir en Israël, Chao et Ségolène rêvent de Shanghaï, Isabelle et Rachid veulent devenir avocats à Alger, tandis que Laure et Charles envisagent de s’installer à Bombay, où Charles souhaite faire carrière à Bollywood. André Koffi est tout aussi effondré : sa fille Viviane va se marier avec une femme (Claudia Tagbo). Au passage, on note qu’en Côte d’Ivoire, être lesbienne n’a rien d’évident.
Des acteurs toujours au top
C’est un plaisir de retrouver Christian Clavier dans le rôle du notaire retraité qui lit Le Figaro Magazine et se transforme en Stéphane Bern lorsqu’il fait visiter aux gendres les châteaux de la Loire. À ses côtés, Chantal Lauby est toujours aussi drôle dans le rôle de la grand-mère désespérée. Comme ses filles et Madeleine Koffi, Marie Verneuil est plus maline que les hommes, qui en prennent pour leur grade. Claude Verneuil est aussi têtu qu’André Koffi. David Benichou (Ary Abittan) est un crétin. Chao Ling (Frédéric Chau) est un pleutre. Charles Koffi (Noom Diawara) se met à pleurer dès qu’il faut aider sa femme.
Un succès annoncé au box-office
Produit par Romain Rojtman, Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? promet d’être un grand succès au box-office. La seule question qui se pose est de savoir combien de millions de spectateurs iront le voir. On peut toutefois noter une petite erreur scénaristique. Rojtman est un expert des comédies chez UGC (Joséphine, Les Profs, Ducobu…), mais il n’est sans doute pas un grand spécialiste de l’aéronautique. Lorsque les Verneuil rentrent de Pékin, on les voit à bord d’un A380 en vol dans le ciel, puis dans la cabine. Mais lorsque l’avion atterrit à Roissy-Charles-de-Gaulle, il ne s’agit plus d’un A380. Qu’importe, cela prête à rire aussi.
Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu ? sera en salles le 30 janvier.
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Mardi 1er janvier, le distributeur de Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? avait organisé des avant-premières dans toute la France. L’idée était de lancer le bouche-à-oreille avant la sortie de cette comédie française, prévue pour le 30 janvier. Et à en juger par la foule qui s’est rassemblée devant le Gaumont Opéra à 18 heures, le succès était au rendez-vous. La grande salle Art déco était bondée, avec toutes les places prises. Des familles, des groupes d’amis… Tout le monde était là pour passer un bon moment pendant les fêtes de fin d’année. Et à en croire les éclats de rire et les applaudissements nourris à la fin, tout le monde est reparti enchanté. Nous aussi.
Un scénario bien écrit et des répliques qui fusent
Ce deuxième opus est encore meilleur que le premier, sorti en 2014. Le scénario, coécrit par Philippe de Chauveron et Guy Laurent, est particulièrement bien construit. Les répliques fusent et les rebondissements sont nombreux. Certaines scènes, comme celle avec un jambon, le chien Clovis et André Koffi, sont vraiment hilarantes. Entre les clichés racistes, les remarques franchouillardes et l’humour, la frontière est mince, mais les deux scénaristes s’en sortent haut la main.
Cette fois-ci, Claude (Christian Clavier) et Marie Verneuil (Chantal Lauby) sont de nouveau confrontés à une catastrophe. Leurs quatre filles et leurs gendres veulent quitter la France. Odile et David apprennent l’hébreu pour partir en Israël, Chao et Ségolène rêvent de Shanghaï, Isabelle et Rachid veulent devenir avocats à Alger, tandis que Laure et Charles envisagent de s’installer à Bombay, où Charles souhaite faire carrière à Bollywood. André Koffi est tout aussi effondré : sa fille Viviane va se marier avec une femme (Claudia Tagbo). Au passage, on note qu’en Côte d’Ivoire, être lesbienne n’a rien d’évident.
Des acteurs toujours au top
C’est un plaisir de retrouver Christian Clavier dans le rôle du notaire retraité qui lit Le Figaro Magazine et se transforme en Stéphane Bern lorsqu’il fait visiter aux gendres les châteaux de la Loire. À ses côtés, Chantal Lauby est toujours aussi drôle dans le rôle de la grand-mère désespérée. Comme ses filles et Madeleine Koffi, Marie Verneuil est plus maline que les hommes, qui en prennent pour leur grade. Claude Verneuil est aussi têtu qu’André Koffi. David Benichou (Ary Abittan) est un crétin. Chao Ling (Frédéric Chau) est un pleutre. Charles Koffi (Noom Diawara) se met à pleurer dès qu’il faut aider sa femme.
Un succès annoncé au box-office
Produit par Romain Rojtman, Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? promet d’être un grand succès au box-office. La seule question qui se pose est de savoir combien de millions de spectateurs iront le voir. On peut toutefois noter une petite erreur scénaristique. Rojtman est un expert des comédies chez UGC (Joséphine, Les Profs, Ducobu…), mais il n’est sans doute pas un grand spécialiste de l’aéronautique. Lorsque les Verneuil rentrent de Pékin, on les voit à bord d’un A380 en vol dans le ciel, puis dans la cabine. Mais lorsque l’avion atterrit à Roissy-Charles-de-Gaulle, il ne s’agit plus d’un A380. Qu’importe, cela prête à rire aussi.
Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu ? sera en salles le 30 janvier.
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Mardi 1er janvier, le distributeur de Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? avait organisé des avant-premières dans toute la France. L’idée était de lancer le bouche-à-oreille avant la sortie de cette comédie française, prévue pour le 30 janvier. Et à en juger par la foule qui s’est rassemblée devant le Gaumont Opéra à 18 heures, le succès était au rendez-vous. La grande salle Art déco était bondée, avec toutes les places prises. Des familles, des groupes d’amis… Tout le monde était là pour passer un bon moment pendant les fêtes de fin d’année. Et à en croire les éclats de rire et les applaudissements nourris à la fin, tout le monde est reparti enchanté. Nous aussi.
Un scénario bien écrit et des répliques qui fusent
Ce deuxième opus est encore meilleur que le premier, sorti en 2014. Le scénario, coécrit par Philippe de Chauveron et Guy Laurent, est particulièrement bien construit. Les répliques fusent et les rebondissements sont nombreux. Certaines scènes, comme celle avec un jambon, le chien Clovis et André Koffi, sont vraiment hilarantes. Entre les clichés racistes, les remarques franchouillardes et l’humour, la frontière est mince, mais les deux scénaristes s’en sortent haut la main.
Cette fois-ci, Claude (Christian Clavier) et Marie Verneuil (Chantal Lauby) sont de nouveau confrontés à une catastrophe. Leurs quatre filles et leurs gendres veulent quitter la France. Odile et David apprennent l’hébreu pour partir en Israël, Chao et Ségolène rêvent de Shanghaï, Isabelle et Rachid veulent devenir avocats à Alger, tandis que Laure et Charles envisagent de s’installer à Bombay, où Charles souhaite faire carrière à Bollywood. André Koffi est tout aussi effondré : sa fille Viviane va se marier avec une femme (Claudia Tagbo). Au passage, on note qu’en Côte d’Ivoire, être lesbienne n’a rien d’évident.
Des acteurs toujours au top
C’est un plaisir de retrouver Christian Clavier dans le rôle du notaire retraité qui lit Le Figaro Magazine et se transforme en Stéphane Bern lorsqu’il fait visiter aux gendres les châteaux de la Loire. À ses côtés, Chantal Lauby est toujours aussi drôle dans le rôle de la grand-mère désespérée. Comme ses filles et Madeleine Koffi, Marie Verneuil est plus maline que les hommes, qui en prennent pour leur grade. Claude Verneuil est aussi têtu qu’André Koffi. David Benichou (Ary Abittan) est un crétin. Chao Ling (Frédéric Chau) est un pleutre. Charles Koffi (Noom Diawara) se met à pleurer dès qu’il faut aider sa femme.
Un succès annoncé au box-office
Produit par Romain Rojtman, Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? promet d’être un grand succès au box-office. La seule question qui se pose est de savoir combien de millions de spectateurs iront le voir. On peut toutefois noter une petite erreur scénaristique. Rojtman est un expert des comédies chez UGC (Joséphine, Les Profs, Ducobu…), mais il n’est sans doute pas un grand spécialiste de l’aéronautique. Lorsque les Verneuil rentrent de Pékin, on les voit à bord d’un A380 en vol dans le ciel, puis dans la cabine. Mais lorsque l’avion atterrit à Roissy-Charles-de-Gaulle, il ne s’agit plus d’un A380. Qu’importe, cela prête à rire aussi.
Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu ? sera en salles le 30 janvier.
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