Sapin II et évaluation des tiers : repenser les solutions de “screening”

Sapin II et évaluation des tiers : repenser les solutions de “screening”

L’AFA a apporté des précisions importantes concernant l’évaluation des tiers dans le pilier 4 de la loi Sapin II. Il ne s’agit pas seulement des clients et fournisseurs les plus importants, mais de tous les tiers avec lesquels une entreprise est en relation contractuelle directe. Cependant, de nombreuses entreprises se demandent comment aborder cette évaluation, et certaines envisagent d’automatiser le processus grâce à des solutions de “screening”.

Automatiser le pilier 4 : entre efficacité et coûts

Les entreprises souhaitent automatiser le pilier 4 en utilisant des outils informatiques et en faisant appel à des prestataires spécialisés. Ces “screenings” permettent de collecter des informations en ligne, telles que des articles de presse ou des décisions administratives ou judiciaires, concernant les tiers. Cela permet aux entreprises de répondre aux exigences du texte et de l’Agence.

Cependant, bien que louable, cette intention peut s’avérer chronophage et coûteuse, notamment en raison du grand nombre de tiers à évaluer. Les entreprises doivent effectuer des requêtes pour chaque tiers et prendre le temps d’analyser les informations obtenues. Cette tâche peut être complexe, en particulier si les informations sont en langue étrangère ou si elles nécessitent une interprétation minutieuse.

De plus, il est impératif d’analyser attentivement les informations recueillies lors du “screening”, afin de ne pas ignorer des éléments importants qui pourraient nuire à l’entreprise. Ces aspects, souvent négligés par les entreprises, doivent être pris en compte en parallèle du coût financier de ces solutions.

Catégoriser les tiers avant d’utiliser le “screening”

Les récentes recommandations de l’Agence précisent qu’il est essentiel de catégoriser les tiers en fonction de leur niveau de risque, avant d’envisager l’utilisation de solutions techniques. Ainsi, les tiers jugés peu ou pas risqués ne nécessiteront qu’une évaluation simplifiée, tandis que les tiers les plus risqués devront faire l’objet d’une évaluation approfondie.

Par conséquent, plutôt que de recourir systématiquement et de manière irréfléchie au “screening”, il serait préférable de mettre en place une méthode de classification basée sur la cartographie des risques de corruption. Cette approche permettrait de déterminer si un tiers présente un risque faible, moyen ou élevé. En fonction de cette classification, l’entreprise pourra choisir de ne pas effectuer de vérification particulière, d’opter pour un “screening” ou, de manière plus approfondie, de réaliser un audit spécifique avec l’aide de spécialistes.

Cette approche permettrait de concentrer l’énergie et les ressources sur les tiers qui présentent un risque réel, plutôt que de se perdre dans une démarche trop ambitieuse qui pourrait s’avérer inefficace et coûteuse. L’Agence a adopté une position pragmatique et sensée, que de nombreuses entreprises devraient suivre pour sécuriser leurs relations avec les tiers sans se ruiner.

En conclusion, l’évaluation des tiers dans le cadre du pilier 4 de la loi Sapin II nécessite une réflexion approfondie. Les solutions de “screening” peuvent être utiles, mais leur utilisation doit être adaptée à chaque tier en fonction de son niveau de risque. En suivant cette approche, les entreprises pourront obtenir des réponses pertinentes et complètes tout en maîtrisant les coûts et en optimisant leur efficacité.

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L’AFA a apporté des précisions importantes concernant l’évaluation des tiers dans le pilier 4 de la loi Sapin II. Il ne s’agit pas seulement des clients et fournisseurs les plus importants, mais de tous les tiers avec lesquels une entreprise est en relation contractuelle directe. Cependant, de nombreuses entreprises se demandent comment aborder cette évaluation, et certaines envisagent d’automatiser le processus grâce à des solutions de “screening”.

Automatiser le pilier 4 : entre efficacité et coûts

Les entreprises souhaitent automatiser le pilier 4 en utilisant des outils informatiques et en faisant appel à des prestataires spécialisés. Ces “screenings” permettent de collecter des informations en ligne, telles que des articles de presse ou des décisions administratives ou judiciaires, concernant les tiers. Cela permet aux entreprises de répondre aux exigences du texte et de l’Agence.

Cependant, bien que louable, cette intention peut s’avérer chronophage et coûteuse, notamment en raison du grand nombre de tiers à évaluer. Les entreprises doivent effectuer des requêtes pour chaque tiers et prendre le temps d’analyser les informations obtenues. Cette tâche peut être complexe, en particulier si les informations sont en langue étrangère ou si elles nécessitent une interprétation minutieuse.

De plus, il est impératif d’analyser attentivement les informations recueillies lors du “screening”, afin de ne pas ignorer des éléments importants qui pourraient nuire à l’entreprise. Ces aspects, souvent négligés par les entreprises, doivent être pris en compte en parallèle du coût financier de ces solutions.

Catégoriser les tiers avant d’utiliser le “screening”

Les récentes recommandations de l’Agence précisent qu’il est essentiel de catégoriser les tiers en fonction de leur niveau de risque, avant d’envisager l’utilisation de solutions techniques. Ainsi, les tiers jugés peu ou pas risqués ne nécessiteront qu’une évaluation simplifiée, tandis que les tiers les plus risqués devront faire l’objet d’une évaluation approfondie.

Par conséquent, plutôt que de recourir systématiquement et de manière irréfléchie au “screening”, il serait préférable de mettre en place une méthode de classification basée sur la cartographie des risques de corruption. Cette approche permettrait de déterminer si un tiers présente un risque faible, moyen ou élevé. En fonction de cette classification, l’entreprise pourra choisir de ne pas effectuer de vérification particulière, d’opter pour un “screening” ou, de manière plus approfondie, de réaliser un audit spécifique avec l’aide de spécialistes.

Cette approche permettrait de concentrer l’énergie et les ressources sur les tiers qui présentent un risque réel, plutôt que de se perdre dans une démarche trop ambitieuse qui pourrait s’avérer inefficace et coûteuse. L’Agence a adopté une position pragmatique et sensée, que de nombreuses entreprises devraient suivre pour sécuriser leurs relations avec les tiers sans se ruiner.

En conclusion, l’évaluation des tiers dans le cadre du pilier 4 de la loi Sapin II nécessite une réflexion approfondie. Les solutions de “screening” peuvent être utiles, mais leur utilisation doit être adaptée à chaque tier en fonction de son niveau de risque. En suivant cette approche, les entreprises pourront obtenir des réponses pertinentes et complètes tout en maîtrisant les coûts et en optimisant leur efficacité.

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Automatiser le pilier 4 : entre efficacité et coûts

Les entreprises souhaitent automatiser le pilier 4 en utilisant des outils informatiques et en faisant appel à des prestataires spécialisés. Ces “screenings” permettent de collecter des informations en ligne, telles que des articles de presse ou des décisions administratives ou judiciaires, concernant les tiers. Cela permet aux entreprises de répondre aux exigences du texte et de l’Agence.

Cependant, bien que louable, cette intention peut s’avérer chronophage et coûteuse, notamment en raison du grand nombre de tiers à évaluer. Les entreprises doivent effectuer des requêtes pour chaque tiers et prendre le temps d’analyser les informations obtenues. Cette tâche peut être complexe, en particulier si les informations sont en langue étrangère ou si elles nécessitent une interprétation minutieuse.

De plus, il est impératif d’analyser attentivement les informations recueillies lors du “screening”, afin de ne pas ignorer des éléments importants qui pourraient nuire à l’entreprise. Ces aspects, souvent négligés par les entreprises, doivent être pris en compte en parallèle du coût financier de ces solutions.

Catégoriser les tiers avant d’utiliser le “screening”

Les récentes recommandations de l’Agence précisent qu’il est essentiel de catégoriser les tiers en fonction de leur niveau de risque, avant d’envisager l’utilisation de solutions techniques. Ainsi, les tiers jugés peu ou pas risqués ne nécessiteront qu’une évaluation simplifiée, tandis que les tiers les plus risqués devront faire l’objet d’une évaluation approfondie.

Par conséquent, plutôt que de recourir systématiquement et de manière irréfléchie au “screening”, il serait préférable de mettre en place une méthode de classification basée sur la cartographie des risques de corruption. Cette approche permettrait de déterminer si un tiers présente un risque faible, moyen ou élevé. En fonction de cette classification, l’entreprise pourra choisir de ne pas effectuer de vérification particulière, d’opter pour un “screening” ou, de manière plus approfondie, de réaliser un audit spécifique avec l’aide de spécialistes.

Cette approche permettrait de concentrer l’énergie et les ressources sur les tiers qui présentent un risque réel, plutôt que de se perdre dans une démarche trop ambitieuse qui pourrait s’avérer inefficace et coûteuse. L’Agence a adopté une position pragmatique et sensée, que de nombreuses entreprises devraient suivre pour sécuriser leurs relations avec les tiers sans se ruiner.

En conclusion, l’évaluation des tiers dans le cadre du pilier 4 de la loi Sapin II nécessite une réflexion approfondie. Les solutions de “screening” peuvent être utiles, mais leur utilisation doit être adaptée à chaque tier en fonction de son niveau de risque. En suivant cette approche, les entreprises pourront obtenir des réponses pertinentes et complètes tout en maîtrisant les coûts et en optimisant leur efficacité.

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Automatiser le pilier 4 : entre efficacité et coûts

Les entreprises souhaitent automatiser le pilier 4 en utilisant des outils informatiques et en faisant appel à des prestataires spécialisés. Ces “screenings” permettent de collecter des informations en ligne, telles que des articles de presse ou des décisions administratives ou judiciaires, concernant les tiers. Cela permet aux entreprises de répondre aux exigences du texte et de l’Agence.

Cependant, bien que louable, cette intention peut s’avérer chronophage et coûteuse, notamment en raison du grand nombre de tiers à évaluer. Les entreprises doivent effectuer des requêtes pour chaque tiers et prendre le temps d’analyser les informations obtenues. Cette tâche peut être complexe, en particulier si les informations sont en langue étrangère ou si elles nécessitent une interprétation minutieuse.

De plus, il est impératif d’analyser attentivement les informations recueillies lors du “screening”, afin de ne pas ignorer des éléments importants qui pourraient nuire à l’entreprise. Ces aspects, souvent négligés par les entreprises, doivent être pris en compte en parallèle du coût financier de ces solutions.

Catégoriser les tiers avant d’utiliser le “screening”

Les récentes recommandations de l’Agence précisent qu’il est essentiel de catégoriser les tiers en fonction de leur niveau de risque, avant d’envisager l’utilisation de solutions techniques. Ainsi, les tiers jugés peu ou pas risqués ne nécessiteront qu’une évaluation simplifiée, tandis que les tiers les plus risqués devront faire l’objet d’une évaluation approfondie.

Par conséquent, plutôt que de recourir systématiquement et de manière irréfléchie au “screening”, il serait préférable de mettre en place une méthode de classification basée sur la cartographie des risques de corruption. Cette approche permettrait de déterminer si un tiers présente un risque faible, moyen ou élevé. En fonction de cette classification, l’entreprise pourra choisir de ne pas effectuer de vérification particulière, d’opter pour un “screening” ou, de manière plus approfondie, de réaliser un audit spécifique avec l’aide de spécialistes.

Cette approche permettrait de concentrer l’énergie et les ressources sur les tiers qui présentent un risque réel, plutôt que de se perdre dans une démarche trop ambitieuse qui pourrait s’avérer inefficace et coûteuse. L’Agence a adopté une position pragmatique et sensée, que de nombreuses entreprises devraient suivre pour sécuriser leurs relations avec les tiers sans se ruiner.

En conclusion, l’évaluation des tiers dans le cadre du pilier 4 de la loi Sapin II nécessite une réflexion approfondie. Les solutions de “screening” peuvent être utiles, mais leur utilisation doit être adaptée à chaque tier en fonction de son niveau de risque. En suivant cette approche, les entreprises pourront obtenir des réponses pertinentes et complètes tout en maîtrisant les coûts et en optimisant leur efficacité.