Avez-vous déjà été confronté à des problèmes d’alcool au volant ? Le Cabinet de Me Régley est là pour vous aider ! Situé dans la région des Hauts-de-France, le Cabinet est une référence incontournable en matière de relaxes pour alcool au volant et conduite en état d’ivresse manifeste. Peu de Cabinets en France peuvent se vanter d’obtenir autant de relaxes pour ces infractions. Vous trouverez ci-dessous les informations les plus pertinentes pour comprendre et faire face à ce type de situation.
1 – La conduite sous l’empire d’un état alcoolique
La conduite sous l’empire d’un état alcoolique est une infraction grave qui peut avoir de lourdes conséquences. Cette infraction se caractérise par une conduite avec un taux d’alcool supérieur à la norme. Selon le taux d’alcool relevé, il peut s’agir d’une contravention ou d’un délit. Il est important de noter qu’il n’y a pas de distinction entre les différents types de permis de conduire. La conduite sous l’empire d’un état alcoolique doit être différenciée de la conduite en état d’ivresse manifeste et du refus de souffler.
2 – Comment est relevé le taux d’alcool ?
Il existe deux méthodes pour relever le taux d’alcool : le dépistage à l’aide d’un éthylotest et la prise de sang.
Le dépistage à l’aide d’un éthylotest est la première opération effectuée par les forces de l’ordre. Il permet de détecter une présomption d’état alcoolique, mais ne fournit pas de taux précis. Il est obligatoire et son absence peut entraîner l’annulation de la procédure.
La vérification du taux d’alcool dans un éthylomètre est la deuxième opération. Elle révèle un taux précis et doit être réalisée avec un éthylomètre homologué. Si cette preuve n’est pas apportée, le tribunal doit relaxer le conducteur.
Il est également possible de relever le taux d’alcool par une prise de sang. Celle-ci doit être effectuée par un médecin ou un interne et suivre une procédure stricte. Une analyse de sang est ensuite réalisée pour révéler le taux d’éthanol dans le sang.
3 – Les conséquences de la conduite sous l’empire d’un état alcoolique
La conduite sous l’empire d’un état alcoolique peut avoir de graves conséquences sur votre permis de conduire. Elle peut entraîner un avis de rétention, une suspension du préfet, une suspension prononcée par le tribunal, une perte de points ou encore l’annulation du permis de conduire. La confiscation du véhicule est également possible dans certains cas.
4 – Les procédures à suivre
Pour juger d’une conduite sous alcool, il existe différentes procédures. Parmi celles-ci, on retrouve l’amende forfaitaire, la composition pénale, l’ordonnance pénale, la CRPC et le Tribunal correctionnel. Chacune de ces procédures a ses propres spécificités et il est important de bien comprendre les conséquences de chacune avant de faire un choix.
5 – Les recours possibles
Il est possible de contester une contravention, une composition pénale, une ordonnance pénale ou une CRPC. Cela vous permettra de faire valoir vos droits et de tenter d’obtenir une relaxe, une absence de suspension ou une suspension moins grave. Il est essentiel d’être bien informé et de se faire accompagner par un avocat spécialisé en droit routier pour maximiser ses chances de succès.
6 – Les résultats obtenus par le Cabinet de Me Régley
Le Cabinet de Me Régley est reconnu pour ses résultats exceptionnels en matière de relaxes pour alcool au volant. Avec de nombreux cas de relaxes obtenues, le Cabinet est une référence dans la région des Hauts-de-France et au niveau national. Consultez les résultats publiés sur le site pour en savoir plus.
7 – Questions fréquentes
Pour répondre à vos questions, voici quelques réponses aux interrogations les plus fréquentes sur les contraventions, les compositions pénales, les ordonnances pénales et les CRPC. Chaque situation est unique, il est donc recommandé de consulter un avocat spécialisé en droit routier pour obtenir des conseils adaptés à votre situation.
N’hésitez pas à contacter le Cabinet de Me Régley au 03 20 15 99 45 / 06 99 93 19 10 pour toute question ou pour obtenir une assistance personnalisée.
Note : les images utilisées dans cet article sont issues de l’article original.