C’est avec le nom de Solocal Group que l’éditeur d’annuaires PagesJaunes Group se lance dans la transition vers le numérique, après une année 2012 marquée par un déclin continu de l’activité des annuaires papier.
Une année difficile pour PagesJaunes
Dans un contexte économique difficile, PagesJaunes a enregistré une baisse de 17% de son bénéfice net en 2012, atteignant 158,5 millions d’euros, tandis que son chiffre d’affaires a légèrement diminué de 3,2%, atteignant 1 milliard d’euros. Selon Jean-Pierre Rémy, le nouveau PDG de l’entreprise, cette baisse du bénéfice s’explique principalement par l’augmentation des charges financières après le refinancement du groupe, l’augmentation des amortissements et une hausse de l’imposition. Malgré cela, il souligne que les résultats annuels de PagesJaunes Group sont conformes aux prévisions et témoignent de la résilience de l’entreprise dans un marché difficile. De plus, les activités numériques représentent désormais plus de 58,4% du chiffre d’affaires consolidé de l’entreprise en 2012, ce qui témoigne de sa capacité à gagner des parts de marché dans ce domaine en constante évolution. En effet, les activités en ligne ont augmenté de 8,3% en 2012, mais cela n’a pas suffi à compenser la chute de 15,1% de l’activité des annuaires imprimés, notamment en raison de l’arrêt des Pages Blanches dans huit départements.
Une dette à réduire
Avec une dette s’élevant à 1,7 milliard d’euros en septembre 2012, l’éditeur d’annuaires a réussi à négocier la restructuration de cette dette à la fin de l’année dernière. Cette dette, qui était de 1,74 milliard d’euros à la fin de septembre, a été reportée jusqu’en septembre 2015. Malgré cela, certains analystes, comme Gilbert Dupont, craignent que le groupe n’ait seulement repoussé ses problèmes financiers à plus tard. Pourtant, Jean-Pierre Rémy est confiant et estime que le groupe dispose du temps nécessaire pour réduire sa dette nette par rapport à son Ebitda à moins de trois. Il reconnaît toutefois que la question du refinancement de la dette en 2015 se posera à un moment donné.
Des perspectives prudentes
En ce qui concerne l’année 2013, Jean-Pierre Rémy se montre prudent, en prévoyant une baisse de 3% à 5% du chiffre d’affaires en raison du ralentissement attendu sur le marché de la publicité en ligne. Bien que la croissance de l’activité numérique, estimée à 5%, ne puisse pas compenser la diminution des annuaires imprimés, qui devrait être similaire à celle de l’année dernière, le PDG estime que le numérique représentera 65% du chiffre d’affaires en 2013 et atteindra 75% en 2015.
Une nouvelle identité pour une nouvelle orientation
Afin de refléter cette transition vers le numérique, le groupe a adopté une nouvelle identité, Solocal Group. Cette nouvelle identité souligne la volonté de l’entreprise de se positionner dans les métiers de la communication et de la mise en relation locales, à la fois sur internet et sur mobile. Parallèlement, un programme interne et externe de transformation de l’entreprise, intitulé “Digital 2015”, sera mis en place pour accompagner cette évolution.
Malgré cela, les perspectives de Solocal Group n’ont pas convaincu les investisseurs. Le titre de l’entreprise a chuté de 12,26% à 2,29 euros, tandis que l’indice CAC 40 était presque stable. Un analyste parisien résume la situation en qualifiant les résultats de l’année 2012 de décevants et les perspectives pour 2013 de peu encourageantes.
En conclusion, Solocal Group, anciennement PagesJaunes Group, se tourne vers le numérique pour faire face aux défis du marché actuel. Malgré les difficultés, l’entreprise est déterminée à réussir sa transition et à s’imposer dans les métiers de la communication locale en ligne et sur mobile.
C’est avec le nom de Solocal Group que l’éditeur d’annuaires PagesJaunes Group se lance dans la transition vers le numérique, après une année 2012 marquée par un déclin continu de l’activité des annuaires papier.
Une année difficile pour PagesJaunes
Dans un contexte économique difficile, PagesJaunes a enregistré une baisse de 17% de son bénéfice net en 2012, atteignant 158,5 millions d’euros, tandis que son chiffre d’affaires a légèrement diminué de 3,2%, atteignant 1 milliard d’euros. Selon Jean-Pierre Rémy, le nouveau PDG de l’entreprise, cette baisse du bénéfice s’explique principalement par l’augmentation des charges financières après le refinancement du groupe, l’augmentation des amortissements et une hausse de l’imposition. Malgré cela, il souligne que les résultats annuels de PagesJaunes Group sont conformes aux prévisions et témoignent de la résilience de l’entreprise dans un marché difficile. De plus, les activités numériques représentent désormais plus de 58,4% du chiffre d’affaires consolidé de l’entreprise en 2012, ce qui témoigne de sa capacité à gagner des parts de marché dans ce domaine en constante évolution. En effet, les activités en ligne ont augmenté de 8,3% en 2012, mais cela n’a pas suffi à compenser la chute de 15,1% de l’activité des annuaires imprimés, notamment en raison de l’arrêt des Pages Blanches dans huit départements.
Une dette à réduire
Avec une dette s’élevant à 1,7 milliard d’euros en septembre 2012, l’éditeur d’annuaires a réussi à négocier la restructuration de cette dette à la fin de l’année dernière. Cette dette, qui était de 1,74 milliard d’euros à la fin de septembre, a été reportée jusqu’en septembre 2015. Malgré cela, certains analystes, comme Gilbert Dupont, craignent que le groupe n’ait seulement repoussé ses problèmes financiers à plus tard. Pourtant, Jean-Pierre Rémy est confiant et estime que le groupe dispose du temps nécessaire pour réduire sa dette nette par rapport à son Ebitda à moins de trois. Il reconnaît toutefois que la question du refinancement de la dette en 2015 se posera à un moment donné.
Des perspectives prudentes
En ce qui concerne l’année 2013, Jean-Pierre Rémy se montre prudent, en prévoyant une baisse de 3% à 5% du chiffre d’affaires en raison du ralentissement attendu sur le marché de la publicité en ligne. Bien que la croissance de l’activité numérique, estimée à 5%, ne puisse pas compenser la diminution des annuaires imprimés, qui devrait être similaire à celle de l’année dernière, le PDG estime que le numérique représentera 65% du chiffre d’affaires en 2013 et atteindra 75% en 2015.
Une nouvelle identité pour une nouvelle orientation
Afin de refléter cette transition vers le numérique, le groupe a adopté une nouvelle identité, Solocal Group. Cette nouvelle identité souligne la volonté de l’entreprise de se positionner dans les métiers de la communication et de la mise en relation locales, à la fois sur internet et sur mobile. Parallèlement, un programme interne et externe de transformation de l’entreprise, intitulé “Digital 2015”, sera mis en place pour accompagner cette évolution.
Malgré cela, les perspectives de Solocal Group n’ont pas convaincu les investisseurs. Le titre de l’entreprise a chuté de 12,26% à 2,29 euros, tandis que l’indice CAC 40 était presque stable. Un analyste parisien résume la situation en qualifiant les résultats de l’année 2012 de décevants et les perspectives pour 2013 de peu encourageantes.
En conclusion, Solocal Group, anciennement PagesJaunes Group, se tourne vers le numérique pour faire face aux défis du marché actuel. Malgré les difficultés, l’entreprise est déterminée à réussir sa transition et à s’imposer dans les métiers de la communication locale en ligne et sur mobile.
C’est avec le nom de Solocal Group que l’éditeur d’annuaires PagesJaunes Group se lance dans la transition vers le numérique, après une année 2012 marquée par un déclin continu de l’activité des annuaires papier.
Une année difficile pour PagesJaunes
Dans un contexte économique difficile, PagesJaunes a enregistré une baisse de 17% de son bénéfice net en 2012, atteignant 158,5 millions d’euros, tandis que son chiffre d’affaires a légèrement diminué de 3,2%, atteignant 1 milliard d’euros. Selon Jean-Pierre Rémy, le nouveau PDG de l’entreprise, cette baisse du bénéfice s’explique principalement par l’augmentation des charges financières après le refinancement du groupe, l’augmentation des amortissements et une hausse de l’imposition. Malgré cela, il souligne que les résultats annuels de PagesJaunes Group sont conformes aux prévisions et témoignent de la résilience de l’entreprise dans un marché difficile. De plus, les activités numériques représentent désormais plus de 58,4% du chiffre d’affaires consolidé de l’entreprise en 2012, ce qui témoigne de sa capacité à gagner des parts de marché dans ce domaine en constante évolution. En effet, les activités en ligne ont augmenté de 8,3% en 2012, mais cela n’a pas suffi à compenser la chute de 15,1% de l’activité des annuaires imprimés, notamment en raison de l’arrêt des Pages Blanches dans huit départements.
Une dette à réduire
Avec une dette s’élevant à 1,7 milliard d’euros en septembre 2012, l’éditeur d’annuaires a réussi à négocier la restructuration de cette dette à la fin de l’année dernière. Cette dette, qui était de 1,74 milliard d’euros à la fin de septembre, a été reportée jusqu’en septembre 2015. Malgré cela, certains analystes, comme Gilbert Dupont, craignent que le groupe n’ait seulement repoussé ses problèmes financiers à plus tard. Pourtant, Jean-Pierre Rémy est confiant et estime que le groupe dispose du temps nécessaire pour réduire sa dette nette par rapport à son Ebitda à moins de trois. Il reconnaît toutefois que la question du refinancement de la dette en 2015 se posera à un moment donné.
Des perspectives prudentes
En ce qui concerne l’année 2013, Jean-Pierre Rémy se montre prudent, en prévoyant une baisse de 3% à 5% du chiffre d’affaires en raison du ralentissement attendu sur le marché de la publicité en ligne. Bien que la croissance de l’activité numérique, estimée à 5%, ne puisse pas compenser la diminution des annuaires imprimés, qui devrait être similaire à celle de l’année dernière, le PDG estime que le numérique représentera 65% du chiffre d’affaires en 2013 et atteindra 75% en 2015.
Une nouvelle identité pour une nouvelle orientation
Afin de refléter cette transition vers le numérique, le groupe a adopté une nouvelle identité, Solocal Group. Cette nouvelle identité souligne la volonté de l’entreprise de se positionner dans les métiers de la communication et de la mise en relation locales, à la fois sur internet et sur mobile. Parallèlement, un programme interne et externe de transformation de l’entreprise, intitulé “Digital 2015”, sera mis en place pour accompagner cette évolution.
Malgré cela, les perspectives de Solocal Group n’ont pas convaincu les investisseurs. Le titre de l’entreprise a chuté de 12,26% à 2,29 euros, tandis que l’indice CAC 40 était presque stable. Un analyste parisien résume la situation en qualifiant les résultats de l’année 2012 de décevants et les perspectives pour 2013 de peu encourageantes.
En conclusion, Solocal Group, anciennement PagesJaunes Group, se tourne vers le numérique pour faire face aux défis du marché actuel. Malgré les difficultés, l’entreprise est déterminée à réussir sa transition et à s’imposer dans les métiers de la communication locale en ligne et sur mobile.
C’est avec le nom de Solocal Group que l’éditeur d’annuaires PagesJaunes Group se lance dans la transition vers le numérique, après une année 2012 marquée par un déclin continu de l’activité des annuaires papier.
Une année difficile pour PagesJaunes
Dans un contexte économique difficile, PagesJaunes a enregistré une baisse de 17% de son bénéfice net en 2012, atteignant 158,5 millions d’euros, tandis que son chiffre d’affaires a légèrement diminué de 3,2%, atteignant 1 milliard d’euros. Selon Jean-Pierre Rémy, le nouveau PDG de l’entreprise, cette baisse du bénéfice s’explique principalement par l’augmentation des charges financières après le refinancement du groupe, l’augmentation des amortissements et une hausse de l’imposition. Malgré cela, il souligne que les résultats annuels de PagesJaunes Group sont conformes aux prévisions et témoignent de la résilience de l’entreprise dans un marché difficile. De plus, les activités numériques représentent désormais plus de 58,4% du chiffre d’affaires consolidé de l’entreprise en 2012, ce qui témoigne de sa capacité à gagner des parts de marché dans ce domaine en constante évolution. En effet, les activités en ligne ont augmenté de 8,3% en 2012, mais cela n’a pas suffi à compenser la chute de 15,1% de l’activité des annuaires imprimés, notamment en raison de l’arrêt des Pages Blanches dans huit départements.
Une dette à réduire
Avec une dette s’élevant à 1,7 milliard d’euros en septembre 2012, l’éditeur d’annuaires a réussi à négocier la restructuration de cette dette à la fin de l’année dernière. Cette dette, qui était de 1,74 milliard d’euros à la fin de septembre, a été reportée jusqu’en septembre 2015. Malgré cela, certains analystes, comme Gilbert Dupont, craignent que le groupe n’ait seulement repoussé ses problèmes financiers à plus tard. Pourtant, Jean-Pierre Rémy est confiant et estime que le groupe dispose du temps nécessaire pour réduire sa dette nette par rapport à son Ebitda à moins de trois. Il reconnaît toutefois que la question du refinancement de la dette en 2015 se posera à un moment donné.
Des perspectives prudentes
En ce qui concerne l’année 2013, Jean-Pierre Rémy se montre prudent, en prévoyant une baisse de 3% à 5% du chiffre d’affaires en raison du ralentissement attendu sur le marché de la publicité en ligne. Bien que la croissance de l’activité numérique, estimée à 5%, ne puisse pas compenser la diminution des annuaires imprimés, qui devrait être similaire à celle de l’année dernière, le PDG estime que le numérique représentera 65% du chiffre d’affaires en 2013 et atteindra 75% en 2015.
Une nouvelle identité pour une nouvelle orientation
Afin de refléter cette transition vers le numérique, le groupe a adopté une nouvelle identité, Solocal Group. Cette nouvelle identité souligne la volonté de l’entreprise de se positionner dans les métiers de la communication et de la mise en relation locales, à la fois sur internet et sur mobile. Parallèlement, un programme interne et externe de transformation de l’entreprise, intitulé “Digital 2015”, sera mis en place pour accompagner cette évolution.
Malgré cela, les perspectives de Solocal Group n’ont pas convaincu les investisseurs. Le titre de l’entreprise a chuté de 12,26% à 2,29 euros, tandis que l’indice CAC 40 était presque stable. Un analyste parisien résume la situation en qualifiant les résultats de l’année 2012 de décevants et les perspectives pour 2013 de peu encourageantes.
En conclusion, Solocal Group, anciennement PagesJaunes Group, se tourne vers le numérique pour faire face aux défis du marché actuel. Malgré les difficultés, l’entreprise est déterminée à réussir sa transition et à s’imposer dans les métiers de la communication locale en ligne et sur mobile.