Tout ce que vous devez savoir sur l’immatriculation en tant qu’auto-entrepreneur

Tout ce que vous devez savoir sur l’immatriculation en tant qu’auto-entrepreneur

 

Savez-vous que l’immatriculation au registre du commerce est essentielle pour les entreprises et les sociétés ? C’est grâce à cette immatriculation que l’existence et l’identification des sociétés sont confirmées. Si vous souhaitez immatriculer votre entreprise en tant qu’auto-entrepreneur, suivez ces étapes simples et essentielles pour vous lancer dans votre activité !

Les démarches préalables à l’immatriculation

Avant de procéder à l’immatriculation, quelques démarches préalables doivent être effectuées :

  • Si vous exercez une activité réglementée, vérifiez que vous possédez le diplôme ou la licence nécessaire.
  • Assurez-vous que votre nom et prénom figurent sur la boîte aux lettres pour recevoir les documents liés à l’immatriculation.
  • Protégez vos biens immobiliers en effectuant une déclaration d’insaisissabilité, au cas où vous rencontreriez des problèmes financiers.
  • Indiquez l’adresse où vous exercez votre activité au dos du formulaire d’immatriculation.

Les étapes de l’immatriculation en tant qu’auto-entrepreneur

Avant de vous immatriculer, vérifiez si votre activité et le type d’entreprise que vous souhaitez créer sont éligibles au statut d’auto-entrepreneur. Ensuite, choisissez le régime fiscal qui vous convient parmi les deux options suivantes :

  • Le régime micro-fiscal, qui offre un abattement forfaitaire sur le chiffre d’affaires et simplifie le paiement de l’impôt sur le revenu.
  • Le régime réel simplifié, qui consiste à déclarer et payer l’impôt sur le revenu en fonction du bénéfice réel réalisé.

Une fois que vous avez choisi votre régime fiscal, vous devez déclarer votre activité en fournissant des informations sur votre identité, votre activité et vos options fiscales. Après cela, vous recevrez un numéro SIRET qui permettra d’identifier votre entreprise.

Il est également important d’ouvrir un compte bancaire dédié à votre activité et de souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle pour vous protéger des dommages éventuels.

Une fois immatriculé, vous devrez respecter les obligations comptables et fiscales en tenant une comptabilité simplifiée et en effectuant des déclarations de chiffre d’affaires. N’oubliez pas de payer les cotisations sociales et fiscales correspondantes.

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Les documents nécessaires pour l’immatriculation

Le dossier d’immatriculation comprend les éléments suivants :

  • Une photocopie du contrat d’appui au projet d’entreprise (si applicable).
  • Le formulaire de déclaration d’activité commerciale et/ou artisanale.
  • Une déclaration de votre conjoint attestant sa connaissance des risques liés à l’activité (si vous êtes marié).
  • Un justificatif de domicile de votre lieu d’activité.
  • Une copie de votre pièce d’identité.
  • Une copie de la déclaration d’insaisissabilité (si applicable).
  • Un justificatif d’accès à une activité réglementée (si nécessaire).
  • Une déclaration sur l’honneur de non-condamnation.
  • Une attestation de filiation.
  • Une autorisation si le formulaire est signé par une autre personne.

Le centre de formalités selon votre activité

Selon votre activité, vous devrez vous adresser à différents organismes pour votre immatriculation :

  • Pour les professions libérales : l’URSSAF.
  • Pour les activités artisanales : la Chambre des métiers et de l’artisanat (CMA).
  • Pour les activités commerciales ou les prestations de services : la Chambre de commerce et de l’industrie (CCI).
  • Pour les activités agricoles : la Chambre de l’agriculture.
  • Pour les agents commerciaux : le Greffe du tribunal de commerce.

Les différents registres d’immatriculation

En fonction de votre domaine d’activité, vous serez immatriculé dans différents registres :

  • Au Registre du commerce et des sociétés (RCS) pour les activités commerciales.
  • Au Répertoire des métiers (RM) pour les activités artisanales.
  • Dans un registre spécial des agents commerciaux pour les activités d’agent commercial.
  • Dans un répertoire spécifique pour les activités libérales ou agricoles.

Les spécificités de l’immatriculation au RCS

L’immatriculation au RCS est légèrement différente des autres registres. Elle impose des exigences liées au chiffre d’affaires généré par votre activité. Les seuils à ne pas dépasser sont les suivants :

  • 176 200 € pour les activités commerciales dans l’achat et la vente, la restauration ou l’hébergement.
  • 72 600 € pour les prestations de services et les professions libérales dépendantes des BNC (Bénéfices non commerciaux) ou BIC (Bénéfices industriels et commerciaux).

Les obligations après l’immatriculation

Une fois votre entreprise immatriculée, vous avez certaines obligations à respecter :

  • Souscrire une assurance professionnelle, surtout si vous exercez dans le secteur du bâtiment.
  • Suivre les spécificités liées à votre activité professionnelle, comme la formation ou l’obtention d’un diplôme si votre activité est réglementée.
  • Créer votre société si vous dépassez les seuils de franchises TVA et de chiffres d’affaires pendant deux années consécutives.

Questions/réponses sur l’immatriculation

L’immatriculation est-elle gratuite ?

Oui, l’immatriculation est gratuite pour la plupart des domaines d’activités. Seuls les agents commerciaux doivent payer une somme de 26 € pour l’immatriculation de leur entreprise ou société.

Pourquoi l’immatriculation est-elle obligatoire pour les auto-entrepreneurs ?

L’immatriculation au RCS en tant qu’auto-entrepreneur est obligatoire pour exercer une activité commerciale sans recourir à des formes sociales comme la SAS, le SASU ou la SARL. Cette obligation permet d’identifier et de vérifier l’authenticité de votre entreprise, évitant ainsi les abus.

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Comment vérifier si une personne est bien auto-entrepreneur ?

Il est possible de vérifier si une personne est auto-entrepreneur de deux manières :

  • En utilisant son numéro d’identification SIRET pour vérifier son enregistrement dans le registre des établissements.
  • En consultant des sites comme www.societe.com ou entreprises.lefigaro.fr pour obtenir des informations sur le statut et l’activité de l’entreprise.

Si vous ne trouvez pas votre entreprise sur infogreffe, cela peut être dû à une activité exclusivement artisanale ou libérale.

Ces étapes essentielles vous permettront de vous lancer en tant qu’auto-entrepreneur en toute légalité. N’oubliez pas de respecter vos obligations et de vérifier l’authenticité des autres auto-entrepreneurs.

 

Savez-vous que l’immatriculation au registre du commerce est essentielle pour les entreprises et les sociétés ? C’est grâce à cette immatriculation que l’existence et l’identification des sociétés sont confirmées. Si vous souhaitez immatriculer votre entreprise en tant qu’auto-entrepreneur, suivez ces étapes simples et essentielles pour vous lancer dans votre activité !

Les démarches préalables à l’immatriculation

Avant de procéder à l’immatriculation, quelques démarches préalables doivent être effectuées :

  • Si vous exercez une activité réglementée, vérifiez que vous possédez le diplôme ou la licence nécessaire.
  • Assurez-vous que votre nom et prénom figurent sur la boîte aux lettres pour recevoir les documents liés à l’immatriculation.
  • Protégez vos biens immobiliers en effectuant une déclaration d’insaisissabilité, au cas où vous rencontreriez des problèmes financiers.
  • Indiquez l’adresse où vous exercez votre activité au dos du formulaire d’immatriculation.

Les étapes de l’immatriculation en tant qu’auto-entrepreneur

Avant de vous immatriculer, vérifiez si votre activité et le type d’entreprise que vous souhaitez créer sont éligibles au statut d’auto-entrepreneur. Ensuite, choisissez le régime fiscal qui vous convient parmi les deux options suivantes :

  • Le régime micro-fiscal, qui offre un abattement forfaitaire sur le chiffre d’affaires et simplifie le paiement de l’impôt sur le revenu.
  • Le régime réel simplifié, qui consiste à déclarer et payer l’impôt sur le revenu en fonction du bénéfice réel réalisé.

Une fois que vous avez choisi votre régime fiscal, vous devez déclarer votre activité en fournissant des informations sur votre identité, votre activité et vos options fiscales. Après cela, vous recevrez un numéro SIRET qui permettra d’identifier votre entreprise.

Il est également important d’ouvrir un compte bancaire dédié à votre activité et de souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle pour vous protéger des dommages éventuels.

Une fois immatriculé, vous devrez respecter les obligations comptables et fiscales en tenant une comptabilité simplifiée et en effectuant des déclarations de chiffre d’affaires. N’oubliez pas de payer les cotisations sociales et fiscales correspondantes.

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Les documents nécessaires pour l’immatriculation

Le dossier d’immatriculation comprend les éléments suivants :

  • Une photocopie du contrat d’appui au projet d’entreprise (si applicable).
  • Le formulaire de déclaration d’activité commerciale et/ou artisanale.
  • Une déclaration de votre conjoint attestant sa connaissance des risques liés à l’activité (si vous êtes marié).
  • Un justificatif de domicile de votre lieu d’activité.
  • Une copie de votre pièce d’identité.
  • Une copie de la déclaration d’insaisissabilité (si applicable).
  • Un justificatif d’accès à une activité réglementée (si nécessaire).
  • Une déclaration sur l’honneur de non-condamnation.
  • Une attestation de filiation.
  • Une autorisation si le formulaire est signé par une autre personne.

Le centre de formalités selon votre activité

Selon votre activité, vous devrez vous adresser à différents organismes pour votre immatriculation :

  • Pour les professions libérales : l’URSSAF.
  • Pour les activités artisanales : la Chambre des métiers et de l’artisanat (CMA).
  • Pour les activités commerciales ou les prestations de services : la Chambre de commerce et de l’industrie (CCI).
  • Pour les activités agricoles : la Chambre de l’agriculture.
  • Pour les agents commerciaux : le Greffe du tribunal de commerce.

Les différents registres d’immatriculation

En fonction de votre domaine d’activité, vous serez immatriculé dans différents registres :

  • Au Registre du commerce et des sociétés (RCS) pour les activités commerciales.
  • Au Répertoire des métiers (RM) pour les activités artisanales.
  • Dans un registre spécial des agents commerciaux pour les activités d’agent commercial.
  • Dans un répertoire spécifique pour les activités libérales ou agricoles.

Les spécificités de l’immatriculation au RCS

L’immatriculation au RCS est légèrement différente des autres registres. Elle impose des exigences liées au chiffre d’affaires généré par votre activité. Les seuils à ne pas dépasser sont les suivants :

  • 176 200 € pour les activités commerciales dans l’achat et la vente, la restauration ou l’hébergement.
  • 72 600 € pour les prestations de services et les professions libérales dépendantes des BNC (Bénéfices non commerciaux) ou BIC (Bénéfices industriels et commerciaux).

Les obligations après l’immatriculation

Une fois votre entreprise immatriculée, vous avez certaines obligations à respecter :

  • Souscrire une assurance professionnelle, surtout si vous exercez dans le secteur du bâtiment.
  • Suivre les spécificités liées à votre activité professionnelle, comme la formation ou l’obtention d’un diplôme si votre activité est réglementée.
  • Créer votre société si vous dépassez les seuils de franchises TVA et de chiffres d’affaires pendant deux années consécutives.

Questions/réponses sur l’immatriculation

L’immatriculation est-elle gratuite ?

Oui, l’immatriculation est gratuite pour la plupart des domaines d’activités. Seuls les agents commerciaux doivent payer une somme de 26 € pour l’immatriculation de leur entreprise ou société.

Pourquoi l’immatriculation est-elle obligatoire pour les auto-entrepreneurs ?

L’immatriculation au RCS en tant qu’auto-entrepreneur est obligatoire pour exercer une activité commerciale sans recourir à des formes sociales comme la SAS, le SASU ou la SARL. Cette obligation permet d’identifier et de vérifier l’authenticité de votre entreprise, évitant ainsi les abus.

Comment vérifier si une personne est bien auto-entrepreneur ?

Il est possible de vérifier si une personne est auto-entrepreneur de deux manières :

  • En utilisant son numéro d’identification SIRET pour vérifier son enregistrement dans le registre des établissements.
  • En consultant des sites comme www.societe.com ou entreprises.lefigaro.fr pour obtenir des informations sur le statut et l’activité de l’entreprise.

Si vous ne trouvez pas votre entreprise sur infogreffe, cela peut être dû à une activité exclusivement artisanale ou libérale.

Ces étapes essentielles vous permettront de vous lancer en tant qu’auto-entrepreneur en toute légalité. N’oubliez pas de respecter vos obligations et de vérifier l’authenticité des autres auto-entrepreneurs.