La tension artérielle : Qu’est-ce que c’est ?

La tension artérielle : Qu’est-ce que c’est ?

La tension artérielle, également appelée pression artérielle, mesure la force exercée par le sang sur les parois des artères. Cette pression est essentielle pour l’équilibre du corps. Lorsque la tension est trop élevée, on parle d’hypertension artérielle.

D’où vient la tension artérielle ?

Le sang doit atteindre toutes les parties du corps grâce aux artères, qui sont des tissus dotés de muscles et permettent la circulation du sang grâce à leur élasticité. Pour cela, le cœur essaie de le pomper. Pour maintenir cette circulation sanguine, il faut exercer une pression sur la paroi interne des artères. C’est cet équilibre qui détermine la tension artérielle. Lorsque tout fonctionne correctement, chaque cellule reçoit sa dose d’oxygène et de nutriments.

Cette circulation sanguine dépend également des reins, du cerveau et de certaines hormones. Le contrôle est effectué par le cerveau, qui transmet l’information via le système nerveux. Ce dernier est divisé en deux : le système nerveux sympathique et le parasympathique. Le premier correspond à un rythme cardiaque accéléré, il ordonne aux artères de se comprimer. Le parasympathique fait exactement le contraire. Il demande de ralentir le rythme cardiaque et de dilater les artères. En principe, ils trouvent un équilibre et la pression reste régulée.

Quelles sont les valeurs limites de la tension artérielle ?

Les médecins donnent deux chiffres : le premier, le plus élevé (environ 12), correspond à la pression systolique ; le deuxième correspond à la pression diastolique (environ 8). Elle est mesurée en millimètres de mercure. La mesure doit être effectuée de préférence dans le cabinet du médecin, par un cardiologue ou un médecin généraliste.

À lire aussi  Les aspirateurs laveurs sans fil les plus performants du marché

Une pression inférieure à 10/7 est considérée comme faible. Il ne s’agit pas d’une maladie, mais cela peut provoquer des malaises, des vertiges, des nausées ou des évanouissements.

Au-dessus de 14,5/9, les valeurs sont considérées comme élevées. Pour qu’une personne soit diagnostiquée hypertendue, elle doit mesurer sa pression au repos, en position couchée ou assise, dans un environnement calme, et le résultat doit être répété deux fois, trois minutes après l’évaluation précédente.

Que faire en cas d’hypertension ?

L’hypertension peut être asymptomatique, il est donc recommandé de faire vérifier sa tension artérielle par son médecin au moins une fois par an, éventuellement dans une pharmacie, ou de la surveiller chez soi à l’aide d’un tensiomètre. Pour faire baisser la tension artérielle, le médecin peut prescrire un traitement qui devra généralement être suivi à vie. Il est également recommandé de pratiquer régulièrement une activité physique (la sédentarité étant néfaste pour la santé), de réduire la consommation de sel dans son alimentation et de diminuer la consommation de tabac et d’alcool. Une tension artérielle trop élevée entraîne des risques de complications cardiovasculaires, tels que l’accident vasculaire cérébral (AVC).

La tension artérielle, également appelée pression artérielle, mesure la force exercée par le sang sur les parois des artères. Cette pression est essentielle pour l’équilibre du corps. Lorsque la tension est trop élevée, on parle d’hypertension artérielle.

D’où vient la tension artérielle ?

Le sang doit atteindre toutes les parties du corps grâce aux artères, qui sont des tissus dotés de muscles et permettent la circulation du sang grâce à leur élasticité. Pour cela, le cœur essaie de le pomper. Pour maintenir cette circulation sanguine, il faut exercer une pression sur la paroi interne des artères. C’est cet équilibre qui détermine la tension artérielle. Lorsque tout fonctionne correctement, chaque cellule reçoit sa dose d’oxygène et de nutriments.

À lire aussi  Les aliments indispensables pour obtenir un ventre plat

Cette circulation sanguine dépend également des reins, du cerveau et de certaines hormones. Le contrôle est effectué par le cerveau, qui transmet l’information via le système nerveux. Ce dernier est divisé en deux : le système nerveux sympathique et le parasympathique. Le premier correspond à un rythme cardiaque accéléré, il ordonne aux artères de se comprimer. Le parasympathique fait exactement le contraire. Il demande de ralentir le rythme cardiaque et de dilater les artères. En principe, ils trouvent un équilibre et la pression reste régulée.

Quelles sont les valeurs limites de la tension artérielle ?

Les médecins donnent deux chiffres : le premier, le plus élevé (environ 12), correspond à la pression systolique ; le deuxième correspond à la pression diastolique (environ 8). Elle est mesurée en millimètres de mercure. La mesure doit être effectuée de préférence dans le cabinet du médecin, par un cardiologue ou un médecin généraliste.

Une pression inférieure à 10/7 est considérée comme faible. Il ne s’agit pas d’une maladie, mais cela peut provoquer des malaises, des vertiges, des nausées ou des évanouissements.

Au-dessus de 14,5/9, les valeurs sont considérées comme élevées. Pour qu’une personne soit diagnostiquée hypertendue, elle doit mesurer sa pression au repos, en position couchée ou assise, dans un environnement calme, et le résultat doit être répété deux fois, trois minutes après l’évaluation précédente.

Que faire en cas d’hypertension ?

L’hypertension peut être asymptomatique, il est donc recommandé de faire vérifier sa tension artérielle par son médecin au moins une fois par an, éventuellement dans une pharmacie, ou de la surveiller chez soi à l’aide d’un tensiomètre. Pour faire baisser la tension artérielle, le médecin peut prescrire un traitement qui devra généralement être suivi à vie. Il est également recommandé de pratiquer régulièrement une activité physique (la sédentarité étant néfaste pour la santé), de réduire la consommation de sel dans son alimentation et de diminuer la consommation de tabac et d’alcool. Une tension artérielle trop élevée entraîne des risques de complications cardiovasculaires, tels que l’accident vasculaire cérébral (AVC).

À lire aussi  Chimio : mes astuces pour favoriser la repousse de mes cheveux après un cancer